Le jeune homme a été tué vendredi soir, quartier des Dervallières. Il s’agit de la quatrième victime morte par balle, en un peu plus d’un an, à Nantes.
Pendant de longues minutes, les médecins du Samu et les pompiers ont pratiqué des massages cardiaques, pour tenter de la réanimer. En vain. L’homme est mort au pied d’un immeuble de la rue Nicolas-Poussin, quartier des Dervallières à Nantes, vendredi 11 octobre, aux alentours de 18h. Son corps a été transporté dans l’ambulance des pompiers, en direction de l’hôpital.
Quelques minutes auparavant, la victime avait été blessée par balle. « Deux tirs », selon un témoin qui aurait entendu les détonations. Un autre voisin, plus affirmatif, a crié « Il s’est pris deux balles ».
Quels sont les motifs de cette 56e fusillade, à Nantes ? Les circonstances restent encore nébuleuses. Mais un fusil à pompe a été saisi sur place. Le procureur de la République, Pierre Sennès, est arrivé rapidement sur les lieux. Contacté vendredi soir, il n’a pas souhaité s’exprimer, pour l’heure.
C’est le quatrième décès en un peu plus d’un an, à Nantes, après l’homicide volontaire d’un jeune lors de l’été 2018 à Bellevue, le meurtre de Mancef, 24 ans, dans un bar à chicha du centre-ville de Nantes, et d’Esteban, 18 ans, au pied d’une tour à Saint-Herblain, début août.
Pendant de longues minutes, les médecins du Samu et les pompiers ont pratiqué des massages cardiaques, pour tenter de la réanimer. En vain. L’homme est mort au pied d’un immeuble de la rue Nicolas-Poussin, quartier des Dervallières à Nantes, vendredi 11 octobre, aux alentours de 18h. Son corps a été transporté dans l’ambulance des pompiers, en direction de l’hôpital.
Quelques minutes auparavant, la victime avait été blessée par balle. « Deux tirs », selon un témoin qui aurait entendu les détonations. Un autre voisin, plus affirmatif, a crié « Il s’est pris deux balles ».
Quels sont les motifs de cette 56e fusillade, à Nantes ? Les circonstances restent encore nébuleuses. Mais un fusil à pompe a été saisi sur place. Le procureur de la République, Pierre Sennès, est arrivé rapidement sur les lieux. Contacté vendredi soir, il n’a pas souhaité s’exprimer, pour l’heure.
C’est le quatrième décès en un peu plus d’un an, à Nantes, après l’homicide volontaire d’un jeune lors de l’été 2018 à Bellevue, le meurtre de Mancef, 24 ans, dans un bar à chicha du centre-ville de Nantes, et d’Esteban, 18 ans, au pied d’une tour à Saint-Herblain, début août.
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