Les franciliens n’ont plus une aussi bonne qualité de vie qu’avant. C’est du moins ce qu’avance l’Insee. Dans son dernier rapport, elle définit la «qualité de vie» grâce à 35 indicateurs parmi lesquels figurent la sécurité, l'éducation, l'emploi, l'environnement, ou l’accès aux transports.
Or une dégradation de ces indicateurs est observée dans 75 % des territoires franciliens.
C'est tout particulièrement le cas en Seine-Saint-Denis, dans le nord des Yvelines et dans le sud-est du Val-d’Oise. Des zones marquées notamment par des taux de chômage élevés, 14,3 % en moyenne, deux fois plus élevés que dans toute l’Île-de-France.
Dans la métropole du Grand Paris, l’important coût de la vie et une délinquance plus fréquente font baisser la note.
Tout comme le réseau de transports en commun, bien développé, mais avec des trajets souvent très long. Près de la moitié des actifs de la métropole du Grand Paris résident à plus de trente minutes de leur lieu de travail.
Or une dégradation de ces indicateurs est observée dans 75 % des territoires franciliens.
C'est tout particulièrement le cas en Seine-Saint-Denis, dans le nord des Yvelines et dans le sud-est du Val-d’Oise. Des zones marquées notamment par des taux de chômage élevés, 14,3 % en moyenne, deux fois plus élevés que dans toute l’Île-de-France.
Dans la métropole du Grand Paris, l’important coût de la vie et une délinquance plus fréquente font baisser la note.
Tout comme le réseau de transports en commun, bien développé, mais avec des trajets souvent très long. Près de la moitié des actifs de la métropole du Grand Paris résident à plus de trente minutes de leur lieu de travail.
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