Environ 500 000 moules vertes de Nouvelle-Zélande (Perna canaliculus) ont été retrouvées “cuites” par le soleil.
Ces morts massives sont le résultat de deux phénomènes : un climat chaud et des marées basses en milieu de journée.
Résultat : des centaine de milliers de moules mortes sur les rochers, leurs coquilles béantes et leur chair brûlée.
La région connaît actuellement un épisode de chaleur et de sécheresse exceptionnel pour la saison.
Ces zones soumises aux marées sont déjà des endroits où la vie est compliquée.
Entre 1981 et 2018, la température de la mer dans les quatre régions océaniques de la Nouvelle-Zélande ont augmenté.
On estime cette augmentation de 0,1° à 0,2° C par décennie.
Les moules sont écologiquement très importantes pour l’environnement côtier de la Nouvelle-Zélande.
Il est probable qu’elles disparaissent des zones récifales selon un biologiste, car les conditions deviennent défavorables.
Ces morts massives sont le résultat de deux phénomènes : un climat chaud et des marées basses en milieu de journée.
Résultat : des centaine de milliers de moules mortes sur les rochers, leurs coquilles béantes et leur chair brûlée.
La région connaît actuellement un épisode de chaleur et de sécheresse exceptionnel pour la saison.
Ces zones soumises aux marées sont déjà des endroits où la vie est compliquée.
Entre 1981 et 2018, la température de la mer dans les quatre régions océaniques de la Nouvelle-Zélande ont augmenté.
On estime cette augmentation de 0,1° à 0,2° C par décennie.
Les moules sont écologiquement très importantes pour l’environnement côtier de la Nouvelle-Zélande.
Il est probable qu’elles disparaissent des zones récifales selon un biologiste, car les conditions deviennent défavorables.
Category
🗞
News