Derrière ces murs aussi, l'épidémie dicte sa loi. Pour être capable de réagir à n'importe quelle crise, les 250 hommes du RAID, basés à Bièvres, ont dû s'adapter.
Les équipes ont été séparées pour éviter le scénario vécu par leurs collègues de l'antenne du RAID à Nancy, où les trois quarts des effectifs ont contracté le coronavirus.
Les équipes ont été séparées pour éviter le scénario vécu par leurs collègues de l'antenne du RAID à Nancy, où les trois quarts des effectifs ont contracté le coronavirus.
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