Depuis toujours, l’homme a dû faire face à la mort de ses congénères.
Mais les pratiques funéraires ont évolué au fil des siècles.
Elles dépendent de l’époque, des croyances d’une société, du statut social du défunt voire même parfois de sa volonté.
Mais si les archéologues n’ont pas trouvé de consensus sur la datation du tout premier rite funéraire, ils s’accordent à dire que les hommes préhistoriques ont été les premiers à développer des coutumes pour rendre hommage à un défunt.
L'une des plus anciennes sépultures de la Préhistoire se trouve dans une grotte en Israël, et date de
plus de 100 000 ans.
À partir du Néolithique (9000 avant J-C), l’Homo Sapiens se sédentarise et les pratiques funéraires se complexifient.
Les structures deviennent de plus en plus élaborées comme les tumulus.
Il commence à dédier des espaces aux restes des défunts à proximité des maison puis peu à peu, vont apparaître les premières constructions monumentales, en pierre ou en terre.
C’est la naissance des premiers "villages pour les morts" : les nécropoles.
Différente pratiques apparaissent : Le défunt est enterré seul ou dans des fosses collectives, en pleine terre ou dans des grottes, dans des coffres en bois ou en pierre…. Certaines populations procèdent même à la crémation.
Vers 4500 avant notre ère, des vases étaient déposés sur les tombes en hommage aux défunts.
Les femmes et les plus jeunes étaient entourés d’objets de la vie quotidienne.
Les personnage importants, eux, se voyaient ériger des constructions de dolmens, de cairns ou de tertres.
À la fin du Néolithique (vers 3300 avant J-C), des centaines de personnes étaient inhumés dans la même fosse.
Les communautés ont commencé à réorganiser de façon régulière ces tombes collectives en regroupant les ossements (tibias alignés, crânes empilés…).
Jusqu’à présent, les
archéologues n’ont pas
réussi à affirmer que ces
pratiques étaient liées à
des croyances religieuses.
Mais les pratiques funéraires ont évolué au fil des siècles.
Elles dépendent de l’époque, des croyances d’une société, du statut social du défunt voire même parfois de sa volonté.
Mais si les archéologues n’ont pas trouvé de consensus sur la datation du tout premier rite funéraire, ils s’accordent à dire que les hommes préhistoriques ont été les premiers à développer des coutumes pour rendre hommage à un défunt.
L'une des plus anciennes sépultures de la Préhistoire se trouve dans une grotte en Israël, et date de
plus de 100 000 ans.
À partir du Néolithique (9000 avant J-C), l’Homo Sapiens se sédentarise et les pratiques funéraires se complexifient.
Les structures deviennent de plus en plus élaborées comme les tumulus.
Il commence à dédier des espaces aux restes des défunts à proximité des maison puis peu à peu, vont apparaître les premières constructions monumentales, en pierre ou en terre.
C’est la naissance des premiers "villages pour les morts" : les nécropoles.
Différente pratiques apparaissent : Le défunt est enterré seul ou dans des fosses collectives, en pleine terre ou dans des grottes, dans des coffres en bois ou en pierre…. Certaines populations procèdent même à la crémation.
Vers 4500 avant notre ère, des vases étaient déposés sur les tombes en hommage aux défunts.
Les femmes et les plus jeunes étaient entourés d’objets de la vie quotidienne.
Les personnage importants, eux, se voyaient ériger des constructions de dolmens, de cairns ou de tertres.
À la fin du Néolithique (vers 3300 avant J-C), des centaines de personnes étaient inhumés dans la même fosse.
Les communautés ont commencé à réorganiser de façon régulière ces tombes collectives en regroupant les ossements (tibias alignés, crânes empilés…).
Jusqu’à présent, les
archéologues n’ont pas
réussi à affirmer que ces
pratiques étaient liées à
des croyances religieuses.
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