Certains ont essayé de s'en passer comme c'est le cas de Georges Perec qui, en 1969, s'est fixé pour objectif d'écrire son roman "La Disparition" sans le moindre "e".
D'autres le trouvent
indispensable !
Mais une chose est sûre : la langue française sans le "e" ne serait pas la même !
Suivant les régions, les moeurs ou les personnes, on a tendance à mâcher le "e" ("d'grés" pour "degrés" / "f'melle" pour "femelle") ou au contraire à en abuser ("peneu" pour "pneu" / "exeprès" pour "exprès").
Le "e" peut aussi servir d'élément de jonction, permettant ainsi de séparer trop de consonnes à la suite : comportEment, appartEment, fortEment, samEdi, etc.
Enfin, on retrouve aussi beaucoup le "e" quand on fait usage du verlan : "keuf" pour "flic", "reus" pour "soeur", etc.
Mais le "e" reste la lettre de la discrétion : en effet, elle est plus utilisée à l'écrit.
Le "e" illustre ainsi la complexité de la langue française, et reste une lettre à part entière !
D'autres le trouvent
indispensable !
Mais une chose est sûre : la langue française sans le "e" ne serait pas la même !
Suivant les régions, les moeurs ou les personnes, on a tendance à mâcher le "e" ("d'grés" pour "degrés" / "f'melle" pour "femelle") ou au contraire à en abuser ("peneu" pour "pneu" / "exeprès" pour "exprès").
Le "e" peut aussi servir d'élément de jonction, permettant ainsi de séparer trop de consonnes à la suite : comportEment, appartEment, fortEment, samEdi, etc.
Enfin, on retrouve aussi beaucoup le "e" quand on fait usage du verlan : "keuf" pour "flic", "reus" pour "soeur", etc.
Mais le "e" reste la lettre de la discrétion : en effet, elle est plus utilisée à l'écrit.
Le "e" illustre ainsi la complexité de la langue française, et reste une lettre à part entière !
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