Le président américain Donald Trump a accepté (sans surprise) cette nuit, dans les jardins de la Maison Blanche, la nomination de son parti comme candidat à un second mandat, en clôture de la convention républicaine. "Mes compatriotes, ce soir, avec un coeur plein de reconnaissance et un optimisme sans limite, j'accepte cette nomination pour la présidence des Etats-Unis", a-t-il lancé devant un parterre d'un millier d'invités, après un discours de sa fille et conseillère, Ivanka Trump.
A moins de 70 jours de l'élection, Donald Trump a clôturé la convention républicaine en dénonçant la "faiblesse" de son adversaire, résumant son bilan à une série de "trahisons" et de "gaffes", et le présentant comme une marionnette de la "gauche radicale". "Il a passé toute sa carrière du mauvais côté de l'histoire", a-t-il lancé en évoquant l'ancien vice-président de Barack Obama, élu pour la première fois au Sénat il y a près d'un demi-siècle.
"Personne ne sera en sécurité dans l'Amérique de Biden", a ajouté le milliardaire républicain dans un contexte de superposition de crises - sanitaire, économique, sociale - et de tensions raciales qui rendent l'issue du scrutin du 3 novembre imprévisible. Dans un discours combatif, mais pas aussi sombre que celui prononcé il y a quatre ans, il a longuement vanté son action face au Covid-19 et prédit la fin prochaine de la pandémie. "Nous produirons un vaccin avant la fin de l'année, et peut-être même plus tôt!", a-t-il lancé dans une allusion à une possible annonce de taille avant le scrutin présidentiel où il briguera un second mandat de quatre ans.
"Nous vaincrons le virus, mettrons fin à la pandémie et émergerons plus forts que jamais", a encore assuré le 45e président américain, très critiqué pour ses atermoiements face à la pandémie dont il a longtemps promis qu'elle disparaîtrait par "miracle". Les Américains n'apprécient guère la façon dont Donald Trump gère cette crise sanitaire sans précédent, qui a fait plus de 180.000 morts aux Etats-Unis. Selon la moyenne des sondages établie par le site FiveThirtyEight, 58,2% désapprouvent sa réponse face à la pandémie (38,7% approuvent).
A moins de 70 jours de l'élection, Donald Trump a clôturé la convention républicaine en dénonçant la "faiblesse" de son adversaire, résumant son bilan à une série de "trahisons" et de "gaffes", et le présentant comme une marionnette de la "gauche radicale". "Il a passé toute sa carrière du mauvais côté de l'histoire", a-t-il lancé en évoquant l'ancien vice-président de Barack Obama, élu pour la première fois au Sénat il y a près d'un demi-siècle.
"Personne ne sera en sécurité dans l'Amérique de Biden", a ajouté le milliardaire républicain dans un contexte de superposition de crises - sanitaire, économique, sociale - et de tensions raciales qui rendent l'issue du scrutin du 3 novembre imprévisible. Dans un discours combatif, mais pas aussi sombre que celui prononcé il y a quatre ans, il a longuement vanté son action face au Covid-19 et prédit la fin prochaine de la pandémie. "Nous produirons un vaccin avant la fin de l'année, et peut-être même plus tôt!", a-t-il lancé dans une allusion à une possible annonce de taille avant le scrutin présidentiel où il briguera un second mandat de quatre ans.
"Nous vaincrons le virus, mettrons fin à la pandémie et émergerons plus forts que jamais", a encore assuré le 45e président américain, très critiqué pour ses atermoiements face à la pandémie dont il a longtemps promis qu'elle disparaîtrait par "miracle". Les Américains n'apprécient guère la façon dont Donald Trump gère cette crise sanitaire sans précédent, qui a fait plus de 180.000 morts aux Etats-Unis. Selon la moyenne des sondages établie par le site FiveThirtyEight, 58,2% désapprouvent sa réponse face à la pandémie (38,7% approuvent).
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