Dominique Eddé : "Le Liban a été soumis à toutes les ingérences les plus négatives et les plus néfastes. On ne peut pas feindre, tout d'un coup, d'être un pays indépendant où un chef d'État étranger viendrait s'ingérer."

L'Heure des Pros 2 (Émission du 30/10/2024)

Face à l'Info (Émission du 30/10/2024)

Énorme tension entre Benjamin Duhamel et Yassine Belattar sur BFMTV : "On arrête les attaques..."

"J'ai été spectatrice d'un désastre": Le témoignage d'une touriste française coincée dans un magasin près de Valence

Inondations en Espagne: les recherches se poursuivent à Letur dans la province d'Albacete

Judith Waintraub : «La branche des sciences humaines et sociales du CNRS est la plus idéologisée»

Hélitreuillages, rues transformées en torrent… les images des crues en Espagne

Star Academy : En larmes, Patrice Maktav évoque son divorce douloureux avec Lucie Bernardoni

Dominique Eddé : "Comment voulez-vous que nous mettions nos espoirs dans un pouvoir bricolé avec les mêmes, et par les mêmes que ceux qui portent la responsabilité, trente ans durant, d'une faillite monumentale ?"

Dominique Eddé : "Le quotidien des Libanais, pour ceux qui souffrent le plus, est une humiliation du lever au coucher de la journée"

Walid Joumblatt : "Emmanuel Macron nous a tendu une perche qu'on a ratée" #le79inter

Procès des assistants RN : Louis Aliot patauge dans la frangipane... - Le Billet de Matthieu Noël

Chico, légendaire guitariste des Gypsies, "si on croit en la vie, on a tout pour avancer"

Je suis une "bonne personne" (les guillemets, c'est pour l'ironie) - Marie de Brauer

Miraculous vue par Tania Dutel - La chronique de Tania Dutel

Que faire quand le harcèlement passe du numérique au physique ? La chronique de Manon Mariani

La France devient moche ! Ahmed Sparrow

Dominique Eddé : "A l'intérieur de chaque Libanais ou Libanaise, il y a un état de sidération intérieur, un mélange de rage, de douleur, de mutisme parfois. Beaucoup d'amis sont dans un état entre "on ne veut plus vivre" et "on ne veut pas mourir"."

Dominique Eddé : "Vous entendez peut-être dans ma voix une grande tristesse doublée de colère, et je crois que ces deux sentiments sont assez partagés"

Sibylle Rizk : "Il faut que cette transition se fasse de la façon la plus pacifique possible, mais aujourd'hui ceux qui sont aux commandes refusent cela"

Jean Kassir, activiste libanais : "Tous les Libanais sont d'accord sur le fait que cette classe politique est criminelle et ne peut pas être réformée"

Camille Emmanuelle : "Certains proches de victimes ont un risque d'oubli de soi, de ne pas écouter leur corps, leur psyché."

Karim Emile Bitar : "La colère est bien présente, mais on n'a pas encore trouvé les mécanismes qui permettraient de transformer l'essai politiquement, de prendre les manettes de pouvoir pour un véritable changement de régime"

Suliane Brahim sur le documentaire "Anais s'en va-t-en guerre" : "On s'est beaucoup inspiré d'elle

Camille Emmanuelle : "Quand Luz m'a envoyé un message en me disant "il y a un carnage", je suis sortie en mettant du rouge à lèvres. J'imaginais pas que ce soit possible. C'est quelque chose de prosaïque qui se mélange avec quelque chose de tragique."