Librement inspiré de différents faits réels, Rouge suit le personnage de Nour, campée par Zita Hanrot. Cette dernière vient d’être embauchée comme infirmière dans l’usine chimique où travaille son père, délégué syndical et pivot de l’entreprise depuis toujours. Alors que l’usine est en plein contrôle sanitaire, une journaliste mène l’enquête sur la gestion des déchets.
Les deux jeunes femmes vont peu à peu découvrir que cette usine, pilier de l’économie locale, cache bien des secrets. Entre mensonges sur les rejets polluants, dossiers médicaux trafiqués ou accidents dissimulés, Nour va devoir choisir : se taire ou trahir son père pour faire éclater la vérité.
Après la comédie Good Luck Algeria, le metteur en scène Farid Bentoumi opère un virage à 180 degrés avec ce thriller sur fond de désastre écologique. Le film, qui fait partie de la Sélection Officielle Cannes 2020, est inspiré du scandale des boues rouges rejetées par l'usine Alteo de Gardanne, située dans les Bouches-du-Rhône. Ces "boues rouges" sont créées par le rejet des déchets toxiques du complexe dans la Méditérranée.
"Cela fait plusieurs années que le gouvernement et la préfecture leur demandent d’arrêter de polluer la mer. Mais cette usine, c’est aussi 500 emplois à la clé, ce qui n’est pas rien dans un endroit comme Gardanne déjà marqué par le chômage. Lorsque j’ai vu les photos de cette usine et ses boues rouges, j’ai trouvé ça très frappant en termes cinématographiques. J’ai transposé mon histoire dans ce type d’usine qui existe aussi ailleurs dans le monde. Je me suis ensuite beaucoup documenté sur d’autres histoires d’usines polluantes, d’autres destins de lanceurs d’alerte", confie le réalisateur Farid Bentoumi.
Lauréate du César du meilleur espoir pour Fatima, Zita Hanrot interprète Nour, la lanceuse d'alerte. Epaulée par une journaliste (Céline Sallette), elle va devoir faire face à son père, Sami Bouajila, et un patron implacable, Olivier Gourmet. Ce thriller, qui fait écho au récent Dark Waters avec Mark Ruffalo, ou à Erin Brockovich seule contre tous, sortira en salles le 25 novembre prochain.
Les deux jeunes femmes vont peu à peu découvrir que cette usine, pilier de l’économie locale, cache bien des secrets. Entre mensonges sur les rejets polluants, dossiers médicaux trafiqués ou accidents dissimulés, Nour va devoir choisir : se taire ou trahir son père pour faire éclater la vérité.
Après la comédie Good Luck Algeria, le metteur en scène Farid Bentoumi opère un virage à 180 degrés avec ce thriller sur fond de désastre écologique. Le film, qui fait partie de la Sélection Officielle Cannes 2020, est inspiré du scandale des boues rouges rejetées par l'usine Alteo de Gardanne, située dans les Bouches-du-Rhône. Ces "boues rouges" sont créées par le rejet des déchets toxiques du complexe dans la Méditérranée.
"Cela fait plusieurs années que le gouvernement et la préfecture leur demandent d’arrêter de polluer la mer. Mais cette usine, c’est aussi 500 emplois à la clé, ce qui n’est pas rien dans un endroit comme Gardanne déjà marqué par le chômage. Lorsque j’ai vu les photos de cette usine et ses boues rouges, j’ai trouvé ça très frappant en termes cinématographiques. J’ai transposé mon histoire dans ce type d’usine qui existe aussi ailleurs dans le monde. Je me suis ensuite beaucoup documenté sur d’autres histoires d’usines polluantes, d’autres destins de lanceurs d’alerte", confie le réalisateur Farid Bentoumi.
Lauréate du César du meilleur espoir pour Fatima, Zita Hanrot interprète Nour, la lanceuse d'alerte. Epaulée par une journaliste (Céline Sallette), elle va devoir faire face à son père, Sami Bouajila, et un patron implacable, Olivier Gourmet. Ce thriller, qui fait écho au récent Dark Waters avec Mark Ruffalo, ou à Erin Brockovich seule contre tous, sortira en salles le 25 novembre prochain.
Category
🎥
Court métrage