Caroline Delage, productrice d’ « Une vie d’écart » : « le grand âge peut faire peur, mais tout le monde est concerné »
Une expérience intergénérationnelle dans un EPHAD : pendant 6 semaines des enfants de maternelle sont venus tous les jours pour passer du temps avec les pensionnaires. L’objectif : filmer ce qui se créé entre eux. La série commence demain soir sur Canal + et est réalisée par Matthieu Marès-Savelli.
Caroline Delage explique la genèse de cette idée : « l’intergénérationnel est dans l’air du temps, c’est utile pour tout le monde ».
Ici ce qui change c’est la durée : 6 semaines, et la régularité des visites : les enfants sont venus tous les jours.
La productrice poursuite : « La vieillesse peut faire peur, mais à 4 ou 5 ans les enfants n’ont pas de tabou, le lien est très spontané ».
La série a été tournée avant le COVID, la crise sanitaire a interrompu le processus. Caroline Delage raconte que les instituteurs ont continué d’encourager les enfants à leur écrire, le lien n’est pas rompu.
Le but était de faire du bien à des personnes âgées, leur apporter du réconfort et de la vie, et se pencher sur le sujet du grand âge et de la dépendance, plus que jamais d’actualité. Les enfants se sont aussi transformés au contact des pensionnaires de l’EPHAD : « tout le monde y gagne » raconte Caroline Delage.
Le concept n’a pas été simple à vendre au diffuseur, mais l’universalité du sujet fait qu’un public très large peut être touché.
Une expérience intergénérationnelle dans un EPHAD : pendant 6 semaines des enfants de maternelle sont venus tous les jours pour passer du temps avec les pensionnaires. L’objectif : filmer ce qui se créé entre eux. La série commence demain soir sur Canal + et est réalisée par Matthieu Marès-Savelli.
Caroline Delage explique la genèse de cette idée : « l’intergénérationnel est dans l’air du temps, c’est utile pour tout le monde ».
Ici ce qui change c’est la durée : 6 semaines, et la régularité des visites : les enfants sont venus tous les jours.
La productrice poursuite : « La vieillesse peut faire peur, mais à 4 ou 5 ans les enfants n’ont pas de tabou, le lien est très spontané ».
La série a été tournée avant le COVID, la crise sanitaire a interrompu le processus. Caroline Delage raconte que les instituteurs ont continué d’encourager les enfants à leur écrire, le lien n’est pas rompu.
Le but était de faire du bien à des personnes âgées, leur apporter du réconfort et de la vie, et se pencher sur le sujet du grand âge et de la dépendance, plus que jamais d’actualité. Les enfants se sont aussi transformés au contact des pensionnaires de l’EPHAD : « tout le monde y gagne » raconte Caroline Delage.
Le concept n’a pas été simple à vendre au diffuseur, mais l’universalité du sujet fait qu’un public très large peut être touché.
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