Au lendemain de l'adoption en première lecture par l'Assemblée d'un texte pénalisant la diffusion malveillante d'images des forces de l'ordre, des manifestations ont débuté samedi à l'appel notamment de syndicats de journalistes pour le retrait de ce qu'ils jugent être une "atteinte à la liberté d'expression" et à "l'Etat de droit".
Des mobilisations étaient prévues dans une vingtaine de villes, la principale d'entre elle au Trocadéro en début d'après-midi.
A Lille, un millier de manifestants se sont rassemblés samedi matin, dénonçant la proposition de loi "sécurité globale", aux cris de "Même pas drone", "Orwell was right", "floutage de gueule".
Un autre millier était dans la rue à Rennes, avec des pancartes: "Baissez vos armes, nous baisserons nos téléphones", "L'appareil photo lui n'a jamais tué personne", "Sécurité globale, impunité totale". Un millier de personnes a également défilé à Montpellier.
Des mobilisations étaient prévues dans une vingtaine de villes, la principale d'entre elle au Trocadéro en début d'après-midi.
A Lille, un millier de manifestants se sont rassemblés samedi matin, dénonçant la proposition de loi "sécurité globale", aux cris de "Même pas drone", "Orwell was right", "floutage de gueule".
Un autre millier était dans la rue à Rennes, avec des pancartes: "Baissez vos armes, nous baisserons nos téléphones", "L'appareil photo lui n'a jamais tué personne", "Sécurité globale, impunité totale". Un millier de personnes a également défilé à Montpellier.
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