Le 12 décembre 2015, les 195 délégations nationales présentes à la COP21 signaient l’Accord de Paris sur le climat. Objectif principal : maintenir le réchauffement de la planète «nettement en dessous de 2°C par rapport aux niveaux pré-industriels».
Mais cinq ans plus tard, l’inquiétude des scientifiques est patente. L’Antarctique enregistre des températures record, la superficie de la banquise arctique vient d’atteindre un minimum historique, les tempêtes et les cyclones se déchainent, les sécheresses extrêmes et les incendies géants frappent partout.
Les États-Unis, la Chine et l’Europe jouent un rôle-clé dans l’entraînement de la communauté internationale sur la voie de la soutenabilité. Mais le respect des objectifs environnementaux n’est pas du seul ressort de ces trois puissances. D’autres pays comme l’Inde, la Russie ou le Japon sont tout autant concernés par le réchauffement climatique. Et chez chacun demeure une même tension entre volontarisme politique et conservatisme économique.
Mais cinq ans plus tard, l’inquiétude des scientifiques est patente. L’Antarctique enregistre des températures record, la superficie de la banquise arctique vient d’atteindre un minimum historique, les tempêtes et les cyclones se déchainent, les sécheresses extrêmes et les incendies géants frappent partout.
Les États-Unis, la Chine et l’Europe jouent un rôle-clé dans l’entraînement de la communauté internationale sur la voie de la soutenabilité. Mais le respect des objectifs environnementaux n’est pas du seul ressort de ces trois puissances. D’autres pays comme l’Inde, la Russie ou le Japon sont tout autant concernés par le réchauffement climatique. Et chez chacun demeure une même tension entre volontarisme politique et conservatisme économique.
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