Chris Whitty, le médecin chef de l’Angleterre vient d’affirmer que les prochaines semaines allaient être « les pires » de toute la période pandémique pour la NHS, le système de santé outre-Manche.
Face à une vague épidémique inédite, le système britannique doit faire face, avec de moins en moins de lits, d’infirmiers et de budget pour suivre les malades sortis de l’hôpital.
C’est une course contre la montre qui s’est mise en place pour vacciner le maximum de personnes avant l’arrivée du printemps.
« Ce qui nous limite pour l’instant c’est le nombre de vaccins disponibles dans notre pays. Il faut savoir que, pour chaque personne qui bénéficie d’une seconde injection, une autre personne n’aura pas accès à une première injonction » détaille Chris Whitty. Or, la première injection étant la plus importante, il est possible de « décaler la seconde de quelques semaines », « pour maximiser le nombre de personnes vaccinées », explique le médecin chef de l’Angleterre.
Face à une vague épidémique inédite, le système britannique doit faire face, avec de moins en moins de lits, d’infirmiers et de budget pour suivre les malades sortis de l’hôpital.
C’est une course contre la montre qui s’est mise en place pour vacciner le maximum de personnes avant l’arrivée du printemps.
« Ce qui nous limite pour l’instant c’est le nombre de vaccins disponibles dans notre pays. Il faut savoir que, pour chaque personne qui bénéficie d’une seconde injection, une autre personne n’aura pas accès à une première injonction » détaille Chris Whitty. Or, la première injection étant la plus importante, il est possible de « décaler la seconde de quelques semaines », « pour maximiser le nombre de personnes vaccinées », explique le médecin chef de l’Angleterre.
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