Toute personne présentant âgée de 50 ans et plus, souffrant de comorbidités peut se rendre sans rendez-vous au 84, rue Curial dans le XIXe arrondissement de Paris. Ce centre de vaccination temporaire ouvert depuis jeudi fermera ses portes samedi soir. À l’étage, un médecin bénévole détermine si le patient est éligible à la vaccination et peut recevoir dans la foulée, sa première injection du vaccin AstraZeneca.
« Nous avons voulu installer ce centre dans un quartier populaire pour aller chercher les gens au bas de l’heure immeuble. Beaucoup sont éligibles à la vaccination, sans le savoir en raison de la fracture sociale ou Internet » explique Anne-Claire Boux, adjointe à la Maire de Paris, chargée de la politique de la Ville.
Porte à porte
« C’est pour aller à la rencontre de ces populations, que nous avons fait du porte à porte et distribué des prospectus sur les marchés et dans les boîtes aux lettres ». Cette campagne de communication semble avoir fonctionné. Vendredi matin, beaucoup de candidats à la vaccination avaient appris l’existence du centre au marché ou par un voisin.
Accompagnée de François Dagnau, maire du XIXe, Anne Hidalgo s’est rendue sur place vers midi. « Nous étions conscients que beaucoup de personnes n’allaient pas se faire vacciner parce qu’elles n’ont pas de médecin ou ne vont pas sur Doctolib » a-t-elle expliqué. « C’est pourquoi nous avons voulu ouvrir ce centre ».
Elle en a profité pour réaffirmer qu’elle s’était prononcée « contre le confinement à Paris », et proposer des solutions comme « multiplier par quatre le nombre de vaccins ». Anne Hidalgo s’est félicitée d’avoir été entendue par le gouvernement, qui l’a averti « de l’arrivée de 11 000 doses supplémentaires du vaccin Pfizer, jeudi soir ».
11 000 doses qui sont au nombre de « 12 000 finalement », selon son adjointe, en charge de la santé Anne Souyris. « Ses doses seront décongelées cette nuit et distribuées tout le week-end ».
« Compte tenu de la situation sanitaire très préoccupante, les centres parisiens fonctionneront à plein régime tout le week-end, dimanche compris, avec une amplitude horaire exceptionnelle » écrit la Ville de paris dans un communiqué.
« Nous avons voulu installer ce centre dans un quartier populaire pour aller chercher les gens au bas de l’heure immeuble. Beaucoup sont éligibles à la vaccination, sans le savoir en raison de la fracture sociale ou Internet » explique Anne-Claire Boux, adjointe à la Maire de Paris, chargée de la politique de la Ville.
Porte à porte
« C’est pour aller à la rencontre de ces populations, que nous avons fait du porte à porte et distribué des prospectus sur les marchés et dans les boîtes aux lettres ». Cette campagne de communication semble avoir fonctionné. Vendredi matin, beaucoup de candidats à la vaccination avaient appris l’existence du centre au marché ou par un voisin.
Accompagnée de François Dagnau, maire du XIXe, Anne Hidalgo s’est rendue sur place vers midi. « Nous étions conscients que beaucoup de personnes n’allaient pas se faire vacciner parce qu’elles n’ont pas de médecin ou ne vont pas sur Doctolib » a-t-elle expliqué. « C’est pourquoi nous avons voulu ouvrir ce centre ».
Elle en a profité pour réaffirmer qu’elle s’était prononcée « contre le confinement à Paris », et proposer des solutions comme « multiplier par quatre le nombre de vaccins ». Anne Hidalgo s’est félicitée d’avoir été entendue par le gouvernement, qui l’a averti « de l’arrivée de 11 000 doses supplémentaires du vaccin Pfizer, jeudi soir ».
11 000 doses qui sont au nombre de « 12 000 finalement », selon son adjointe, en charge de la santé Anne Souyris. « Ses doses seront décongelées cette nuit et distribuées tout le week-end ».
« Compte tenu de la situation sanitaire très préoccupante, les centres parisiens fonctionneront à plein régime tout le week-end, dimanche compris, avec une amplitude horaire exceptionnelle » écrit la Ville de paris dans un communiqué.
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