Les chercheurs de l'Université de Duke affirme que les produits à base de viande et leurs substituts ne sont pas "nutritionnellement interchangeables".
L'équipe pense que leur découverte pourrait permettre aux consommateurs d'être mieux informés concernant leur régime alimentaire.
"Si on regarde derrière le rideau grâce à la metabolomique et qu'on s'intéresse aux profils nutritionnels, on découvre une large différence entre les produits à base de viande et leurs substituts." Stephan van Vliet, co-auteur de l'étude, via The Independent.
Les chercheurs ont comparé 18 échantillons de "viandes à base de végétaux" aux même nombre d'échantillons de bœuf nourri à l'herbe.
L'équipe a montré que 171 des 190 métabolites mesurés variaient entre les deux échantillons.
Le bœuf contenant 22 métabolites que son remplaçant ne possède pas.
Le substitut contenait, de son côté, 31 métabolites introuvables dans la vraie viande.
Plusieurs métabolites importants pour la santé humaine étaient absents du substitut végétal ou en moins grande quantité.
"Il est important que les consommateurs ne voient pas ces produits comme interchangeables. Non pas pour dire que l'un peut être meilleur que l'autre. Les nourritures végétales et animales sont complémentaires puisqu'elles ne fournissent pas les mêmes nutriments." Stephan van Vliet, co-auteur de l'étude, via The Independent.
Les scientifiques poursuivent leurs recherches pour démontrer les effets à long et court terme de métabolites particuliers présents dans la viande et ses substituts végétaux.
L'équipe pense que leur découverte pourrait permettre aux consommateurs d'être mieux informés concernant leur régime alimentaire.
"Si on regarde derrière le rideau grâce à la metabolomique et qu'on s'intéresse aux profils nutritionnels, on découvre une large différence entre les produits à base de viande et leurs substituts." Stephan van Vliet, co-auteur de l'étude, via The Independent.
Les chercheurs ont comparé 18 échantillons de "viandes à base de végétaux" aux même nombre d'échantillons de bœuf nourri à l'herbe.
L'équipe a montré que 171 des 190 métabolites mesurés variaient entre les deux échantillons.
Le bœuf contenant 22 métabolites que son remplaçant ne possède pas.
Le substitut contenait, de son côté, 31 métabolites introuvables dans la vraie viande.
Plusieurs métabolites importants pour la santé humaine étaient absents du substitut végétal ou en moins grande quantité.
"Il est important que les consommateurs ne voient pas ces produits comme interchangeables. Non pas pour dire que l'un peut être meilleur que l'autre. Les nourritures végétales et animales sont complémentaires puisqu'elles ne fournissent pas les mêmes nutriments." Stephan van Vliet, co-auteur de l'étude, via The Independent.
Les scientifiques poursuivent leurs recherches pour démontrer les effets à long et court terme de métabolites particuliers présents dans la viande et ses substituts végétaux.
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