Chaque année en France, environ 295 000 personnes sont victimes de violences exercées par un conjoint ou un ex-conjoint.
Cela pourrait être le cas d’une amie, une soeur, une collègue….
Les signes qui doivent vous alerter :
- Des marques visibles de violences physiques (bien que les violences conjugales sont souvent invisibles : violences sexuelles, psychologiques….).
- Le changement de comportement de la victime (isolement, repli sur elle-même…).
- Si le couple a des enfants, un comportement agité ou trop sage de ceux-ci.
Comment réagir si j’ai des doutes ?
Il ne faut surtout pas bousculer la personne afin de ne pas rompre le lien.
1/ Poser des questions ouvertes telles que : Comment ça se passe avec ton conjoint ? J'ai l'impression que tu vis un moment difficile, est-ce que tout va bien ?
2/ Faire preuve de compréhension
Si la victime ne souhaite pas porter plainte ou quitter son conjoint, cela peut paraître difficile à entendre mais sachez montrer votre soutien quelle que soit sa décision.
3/ Se rendre disponible
Afin de ne pas laisser la victime isolée avec son agresseur, appelez-la régulièrement, passez la voir….
4/ Inciter la victime à se tourner vers des professionnels :
- 3919 : ligne téléphonique ouverte 24 heures sur 24 garantissant l’anonymat.
- Associations locales de soutien aux victime de violences conjugales.
- arretonslesviolences.gouv.fr : chat en ligne d’aide aux victimes géré par la police et la gendarmerie.
Cela pourrait être le cas d’une amie, une soeur, une collègue….
Les signes qui doivent vous alerter :
- Des marques visibles de violences physiques (bien que les violences conjugales sont souvent invisibles : violences sexuelles, psychologiques….).
- Le changement de comportement de la victime (isolement, repli sur elle-même…).
- Si le couple a des enfants, un comportement agité ou trop sage de ceux-ci.
Comment réagir si j’ai des doutes ?
Il ne faut surtout pas bousculer la personne afin de ne pas rompre le lien.
1/ Poser des questions ouvertes telles que : Comment ça se passe avec ton conjoint ? J'ai l'impression que tu vis un moment difficile, est-ce que tout va bien ?
2/ Faire preuve de compréhension
Si la victime ne souhaite pas porter plainte ou quitter son conjoint, cela peut paraître difficile à entendre mais sachez montrer votre soutien quelle que soit sa décision.
3/ Se rendre disponible
Afin de ne pas laisser la victime isolée avec son agresseur, appelez-la régulièrement, passez la voir….
4/ Inciter la victime à se tourner vers des professionnels :
- 3919 : ligne téléphonique ouverte 24 heures sur 24 garantissant l’anonymat.
- Associations locales de soutien aux victime de violences conjugales.
- arretonslesviolences.gouv.fr : chat en ligne d’aide aux victimes géré par la police et la gendarmerie.
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