DELPHINE JUBILLAR - "On lâche rien". Un an après la disparition de Delphine Jubillar, dont le mari est soupçonné de l'avoir tuée, la colère et l'émotion étaient palpables dimanche à la marche blanche à Cagnac-les-Mines (Tarn) qui a réuni près de 300 proches et anonymes ce 19 décembre.
"Delphine, Louis, Elyah, Justice et Vérité, On vous aime", pouvait-on lire sur une grande banderole blanche déployée par les amis de l'infirmière de 33 ans, en référence aussi à ses deux enfants.
Face au lac de la petite commune tarnaise, où habitait le couple Jubillar au moment de la disparition dans la nuit du 15 au 16 décembre, les participants à la marche blanche brandissent des photos de Delphine et des rubans blancs.
"Nous sommes ses amies, cousines, sa famille et des inconnus. Nous sommes Delphine, parce que ce qui t'es arrivé aurait pu nous arriver et ne doit plus arriver. Nous sommes toutes avec toi, toutes ces femmes en couple, mariées, qui souhaitent divorcer, toutes celles qui ont peur, qui n'osent pas", déclare au micro Hélène, une de ses amies, peinant à retenir ses sanglots.
"Delphine, Louis, Elyah, Justice et Vérité, On vous aime", pouvait-on lire sur une grande banderole blanche déployée par les amis de l'infirmière de 33 ans, en référence aussi à ses deux enfants.
Face au lac de la petite commune tarnaise, où habitait le couple Jubillar au moment de la disparition dans la nuit du 15 au 16 décembre, les participants à la marche blanche brandissent des photos de Delphine et des rubans blancs.
"Nous sommes ses amies, cousines, sa famille et des inconnus. Nous sommes Delphine, parce que ce qui t'es arrivé aurait pu nous arriver et ne doit plus arriver. Nous sommes toutes avec toi, toutes ces femmes en couple, mariées, qui souhaitent divorcer, toutes celles qui ont peur, qui n'osent pas", déclare au micro Hélène, une de ses amies, peinant à retenir ses sanglots.
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