Caméra au poing, cœur bien accroché, ça y est, nous sommes prêts à le rencontrer. Qui ça ? Messmer, l’hypnotiseur québécois qui, depuis le 19 octobre dernier, remplit Bobino avec son spectacle… hallucinant.Celui-là même qui a fait tomber Charlotte Le Bon comme une masse sur le plateau du Grand journal. Je suis sceptique et pas prête à livrer mon corps à la science. Nous avons donc trouvé un cobaye pour cette expérience hors du commun… J’ai nommé le beau, le grand… Christophe Beaugrand ! OK, c’était facile !
Christophe Beaugrand :
“Quand Messmer commence à parler, on est d’emblée fasciné parce qu’il a une tonalité de voix très grave, très posée. On se sent en confiance, malgré tout. Mais le pire, c’est qu’avec sa douceur apparente, il prend possession de vous en une poignée de secondes (en tout bien tout honneur ! En tout cas, je crois !)Ensuite, on a l’impression d’entrer dans un monde parallèle, on flotte entre deux eaux, un peu vaseux : vous êtes conscient qu’il vous parle et qu’il vous demande de faire des choses parfois ridicules mais vous vous exécutez quand même. Les yeux fermés, vous êtes transporté ailleurs. Et pour couronner le tout, Messmer m’a demandé de parler en japonais… langue dont je ne maîtrise évidemment pas un mot. Du coup, j’ai baragouiné n’importe quoi. Mais je serais curieux de savoir si ça signifiait quelque chose : si ça se trouve, j’ai balancé des horreurs en japonais !En tout cas, c’est décidé, la prochaine fois que j’ai rendez-vous avec mon patron pour négocier une augmentation, je demande à Messmer dem’accompagner !”Par Pauline Arnal et Sandrine Rouxel>> Retrouvez l'intégralité de ce reportage, avec les commentaires et impressions de Christophe Beaugrand également dans votre Public 497, en vente cette semaine.Toute reproduction interdite sans la mention Public
Christophe Beaugrand :
“Quand Messmer commence à parler, on est d’emblée fasciné parce qu’il a une tonalité de voix très grave, très posée. On se sent en confiance, malgré tout. Mais le pire, c’est qu’avec sa douceur apparente, il prend possession de vous en une poignée de secondes (en tout bien tout honneur ! En tout cas, je crois !)Ensuite, on a l’impression d’entrer dans un monde parallèle, on flotte entre deux eaux, un peu vaseux : vous êtes conscient qu’il vous parle et qu’il vous demande de faire des choses parfois ridicules mais vous vous exécutez quand même. Les yeux fermés, vous êtes transporté ailleurs. Et pour couronner le tout, Messmer m’a demandé de parler en japonais… langue dont je ne maîtrise évidemment pas un mot. Du coup, j’ai baragouiné n’importe quoi. Mais je serais curieux de savoir si ça signifiait quelque chose : si ça se trouve, j’ai balancé des horreurs en japonais !En tout cas, c’est décidé, la prochaine fois que j’ai rendez-vous avec mon patron pour négocier une augmentation, je demande à Messmer dem’accompagner !”Par Pauline Arnal et Sandrine Rouxel>> Retrouvez l'intégralité de ce reportage, avec les commentaires et impressions de Christophe Beaugrand également dans votre Public 497, en vente cette semaine.Toute reproduction interdite sans la mention Public
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😹
Amusant