• il y a 2 ans
On peut dire que sur le terrain pourri du matérialisme et du cynisme spécifiques à nos Etats occidentaux, depuis une cinquantaine d'années, les libertés étaient en recul constant... Les Etats et les groupes d'influence avaient passé leur temps à mettre en place des mesures liberticides en tous genre : lois mémorielles, lois condamnant telle ou telle pratique, censure de fait, bureaucratie étouffante... Ce sont les atteintes anciennes. Toutefois, elles étaient contenues par l'existence de frontières, le cloisonnement des oligarchies et surtout les limites de la technique. Mais depuis 2020, les progrès informatiques conjugués à la mondialisation des élites ont entraîné une aggravation spectaculaire de la situation avec un recul sans précédent des libertés. Ces mesures brutales et traumatisantes sont les confinements, le traçage des populations, les pass sanitaire ou vaccinal, les QR codes, les centres de rétention, les interventions policières à domicile, les persécutions de certaines catégories de citoyens. Enfin, si l'on ne réagit pas énergiquement et massivement avant qu'il ne soit trop tard, de nouveaux assauts plus graves encore risquent d'être portés aux libertés collectives et individuelles. Ce sont tous les sinistres projets tels identité numérique, reconnaissance faciale, censure des idées déviantes, blocage à distances des comptes bancaires ou de la liberté d'aller et venir, terreur climatique justifiant tous les abus et toutes les restrictions. C'est l'arrivée d'un véritable esclavage planétaire, sans doute le plus odieux de toute l'histoire de l'humanité.
Arrivé à ce stade de l'analyse, la pratique démocratique montre que les foules une fois manipulées par une habile "ingénierie sociale" ne sont pas du tout défavorables à cette tyrannie nouvelle. La loi et la démocratie sont en train de devenir les fondements du despotisme numérique. La grande question est de savoir si l'on peut fonder un Etat moderne sur autre chose que le mythe de la volonté populaire.

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