TÉLÉVISION - Depuis trois ans, Hélène Darroze emmène l’un de ses candidats en finale de Top Chef. Cette année, c’est le cas de Louise Bourrat qui affronte Arnaud Delvenne, de la brigade de Glenn Viel, ce mercredi 15 juin sur M6.
La Franco-portugaise de 27 ans, qui est ravie d’arriver en finale, espère remporter cette treizième saison pour elle et pour sa cheffe de brigade. L’occasion de se demander s’il faut forcément être dans l’équipe d’Hélène Darroze pour remporter le concours culinaire, comme Mohamed Cheikh en 2021 et David Gallienne en 2020.
“Est-ce que le truc jamais 2 sans 3 marche à chaque fois ? Mais du coup, c’est peut-être mort pour l’année prochaine”, s’amuse Louise Bourrat au HuffPost dans une interview vidéo à voir en tête d’article. Selon elle, le chef ou la cheffe de brigade n’est pas l’un des seuls paramètres qui peut expliquer l’arrivée d’un candidat en finale.
Il en existerait plusieurs parmi lesquels, “beaucoup de hasard et de chance” souligne-t-elle. Un sentiment partagé par Arnaud, le protégé de Glenn Viel. “Il y en a qui sont partis très tôt alors qu’on les voyait aller beaucoup plus loin. Et je vais prendre mon cas, je me voyais partir bien plus tôt”.
Toujours selon le finaliste belge, “être le meilleur” n’est pas le plus important. “Il y a une question de temps et de compréhension avec le chef. Il y a aussi le physique et le mental qui peuvent parfois ne pas être présents. Parfois, tu évites une balle et c’est l’autre qui la prend. Il ne faut pas être le meilleur, il faut être le plus résistant mentalement je pense.”
Si arriver en finale de “Top Chef” peut également être de “la chance”, Louise tient à préciser que la cuisine est avant tout “subjective”. “Cela dépend aussi du chef dégustant. Notre cuisine ne va pas forcément parler à n’importe qui.”
Un avis partagé par Arnaud: “Par exemple, Céline Dion ne parle pas à tout le monde. Ça n’en fait pas une mauvaise chanteuse. Il y a des gens qui aiment et d’autres qui n’aiment pas. C’est pareil pour nos plats: il y a des gens qui vont aimer et des gens qui ne vont pas aimer”.
Si les candidats doivent tenir compte de tous ces critères, les deux finalistes s’accordent à dire que la relation avec leur propre chef de brigade est aussi un élément capital. “On a vraiment eu tous les quatre une relation assez fusionnelle”, souligne Louise. “Je ne pense pas que c’était juste un chef de brigade avec un candidat. Je pense qu’il y a eu une réelle osmose”, ajoute Arnaud.
Interrogé sur le lien actuel qu’il entretient avec son chef, Arnaud confirme être toujours en contact: “Même encore aujourd’hui, Glenn Viel m’appelle et m’envoie des SMS. C’est comme un frère.”
La Franco-portugaise de 27 ans, qui est ravie d’arriver en finale, espère remporter cette treizième saison pour elle et pour sa cheffe de brigade. L’occasion de se demander s’il faut forcément être dans l’équipe d’Hélène Darroze pour remporter le concours culinaire, comme Mohamed Cheikh en 2021 et David Gallienne en 2020.
“Est-ce que le truc jamais 2 sans 3 marche à chaque fois ? Mais du coup, c’est peut-être mort pour l’année prochaine”, s’amuse Louise Bourrat au HuffPost dans une interview vidéo à voir en tête d’article. Selon elle, le chef ou la cheffe de brigade n’est pas l’un des seuls paramètres qui peut expliquer l’arrivée d’un candidat en finale.
Il en existerait plusieurs parmi lesquels, “beaucoup de hasard et de chance” souligne-t-elle. Un sentiment partagé par Arnaud, le protégé de Glenn Viel. “Il y en a qui sont partis très tôt alors qu’on les voyait aller beaucoup plus loin. Et je vais prendre mon cas, je me voyais partir bien plus tôt”.
Toujours selon le finaliste belge, “être le meilleur” n’est pas le plus important. “Il y a une question de temps et de compréhension avec le chef. Il y a aussi le physique et le mental qui peuvent parfois ne pas être présents. Parfois, tu évites une balle et c’est l’autre qui la prend. Il ne faut pas être le meilleur, il faut être le plus résistant mentalement je pense.”
Si arriver en finale de “Top Chef” peut également être de “la chance”, Louise tient à préciser que la cuisine est avant tout “subjective”. “Cela dépend aussi du chef dégustant. Notre cuisine ne va pas forcément parler à n’importe qui.”
Un avis partagé par Arnaud: “Par exemple, Céline Dion ne parle pas à tout le monde. Ça n’en fait pas une mauvaise chanteuse. Il y a des gens qui aiment et d’autres qui n’aiment pas. C’est pareil pour nos plats: il y a des gens qui vont aimer et des gens qui ne vont pas aimer”.
Si les candidats doivent tenir compte de tous ces critères, les deux finalistes s’accordent à dire que la relation avec leur propre chef de brigade est aussi un élément capital. “On a vraiment eu tous les quatre une relation assez fusionnelle”, souligne Louise. “Je ne pense pas que c’était juste un chef de brigade avec un candidat. Je pense qu’il y a eu une réelle osmose”, ajoute Arnaud.
Interrogé sur le lien actuel qu’il entretient avec son chef, Arnaud confirme être toujours en contact: “Même encore aujourd’hui, Glenn Viel m’appelle et m’envoie des SMS. C’est comme un frère.”
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