Paillotes sacrifiées : Le maire de Vias Jordan DARTIER monte au créneau
L’état a en effet pris un décret en 2019 pour instaurer sur certaines parties du littoral Français des espaces « dits remarquables » sur lesquels les concessions de plage ne seraient plus autorisées.
C’est le cas à Vias comme à Agde, Sète et Portiragnes ou Marseillan où au hasard des situations certaines paillottes pourraient être condamnées disparaitre.
C’est ce que le préfet Thierry LELEU avait fermement signifié en Mai dernier aux maires du littotal.
Ardent défenseur de l’attractivité touristique et des intérêts économiques de sa commune, Jordan DARTIER a immédiatement mis son talent et sa robe d’avocat au service de son écharpe municipale pour monter au créneau.
Après plusieurs années d’existence les paillotes Viassoises font désormais partie du paysage et sont parfaitement intégrées au littoral d’une des stations touristiques majeures de notre cote Languedocienne.
Une économie qui ne peux plus se passer, dans une situation concurrentiell, de cette attractivité polyvalente majeure.
Jordan DARTIER met en l’avant l’économie mais reviens avec finesse sur le fait que si le domaine public maritime est bien la propriété de l’État via le domaine public maritime, il revient aux communes d’en assurer l’entretien.
Ces concessions permettent également aux communes au travers des baux d’occupation précaire des concessions de plage de participer au financement de cet entretien.
Des redevances qui participent à la gestion de l’entretien des plages dans leur ensemble, la gestion du cordon dunaire dans la bande des 300 mètres, le nettoyage quotidien des plages, la mise à disposition des chenaux et balises sans compter la participation active à la surveillance des plages dont la commune est l’un des co-financeurs.
Le coté économico-social ne serait pas non plus épargné par ces disparitions puisque ce sont près de de 25 emplois qui seraient supprimés dans une commune très impactée par la problématique du chômage.
Les services publics offerts par ces concessions sont également mis en exergue.
Jordan DARTIER est combattif sur ce sujet aujourd’hui sensible.
Il en appelle à ses collègues d’Agde et Sète à résister face à cette agression des services de l’État et à s’inscrire dans une même démarche revendicative.
Les arguments sont nombreux et la fougue de l’avocat s’en trouve ragaillardie .. « Si on me supprime une seule concession de plage à Vias, je n’entretiendrai plus les plages de ma commune sur un domaine public qui appartient à L’état ! » … « Les concessions de plage ont un intérêt vital et un cercle vertueux pour seulement 20 % du territoire occupé et on vient « emmerder» les Français » … « Il faut arrêter de nuire au développement des collectivités»
L’état a en effet pris un décret en 2019 pour instaurer sur certaines parties du littoral Français des espaces « dits remarquables » sur lesquels les concessions de plage ne seraient plus autorisées.
C’est le cas à Vias comme à Agde, Sète et Portiragnes ou Marseillan où au hasard des situations certaines paillottes pourraient être condamnées disparaitre.
C’est ce que le préfet Thierry LELEU avait fermement signifié en Mai dernier aux maires du littotal.
Ardent défenseur de l’attractivité touristique et des intérêts économiques de sa commune, Jordan DARTIER a immédiatement mis son talent et sa robe d’avocat au service de son écharpe municipale pour monter au créneau.
Après plusieurs années d’existence les paillotes Viassoises font désormais partie du paysage et sont parfaitement intégrées au littoral d’une des stations touristiques majeures de notre cote Languedocienne.
Une économie qui ne peux plus se passer, dans une situation concurrentiell, de cette attractivité polyvalente majeure.
Jordan DARTIER met en l’avant l’économie mais reviens avec finesse sur le fait que si le domaine public maritime est bien la propriété de l’État via le domaine public maritime, il revient aux communes d’en assurer l’entretien.
Ces concessions permettent également aux communes au travers des baux d’occupation précaire des concessions de plage de participer au financement de cet entretien.
Des redevances qui participent à la gestion de l’entretien des plages dans leur ensemble, la gestion du cordon dunaire dans la bande des 300 mètres, le nettoyage quotidien des plages, la mise à disposition des chenaux et balises sans compter la participation active à la surveillance des plages dont la commune est l’un des co-financeurs.
Le coté économico-social ne serait pas non plus épargné par ces disparitions puisque ce sont près de de 25 emplois qui seraient supprimés dans une commune très impactée par la problématique du chômage.
Les services publics offerts par ces concessions sont également mis en exergue.
Jordan DARTIER est combattif sur ce sujet aujourd’hui sensible.
Il en appelle à ses collègues d’Agde et Sète à résister face à cette agression des services de l’État et à s’inscrire dans une même démarche revendicative.
Les arguments sont nombreux et la fougue de l’avocat s’en trouve ragaillardie .. « Si on me supprime une seule concession de plage à Vias, je n’entretiendrai plus les plages de ma commune sur un domaine public qui appartient à L’état ! » … « Les concessions de plage ont un intérêt vital et un cercle vertueux pour seulement 20 % du territoire occupé et on vient « emmerder» les Français » … « Il faut arrêter de nuire au développement des collectivités»
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