• il y a 2 ans
Tout commence avec les Midterms. Biden (où plutôt ceux qui le manipulent) est condamné à la cohabitation avec les Républicains. Conséquences : une rhétorique sans doute moins guerrière à l’égard de la Chine. Pendant ce temps, la Chine revend à l’Europe le gaz russe que celle-ci prétend refuser en raison de la guerre en Ukraine, tandis que le pays est sous perfusion d’argent occidental depuis Maïdan.
Pour l’heure, c’est la hausse des taux et la fin de l’argent magique mais les marchés sont dans l’attente d’une grande décision de la Banque fédérale. Cette hausse se produit dans un contexte de récession pour lutter contre l’inflation : comment faire du profit lorsque les dividendes sont à 2% et les taux à 5% ?
Avec le QE, les investisseurs ont acheté n’importe quel actif de basse qualité, mais nous connaissons la plus forte inflation depuis 46 ans et la plus forte récession depuis 30 ans. A cela s’ajoutent le coût exorbitant de la transition énergétique : "une dinguerie" généralisée pour laquelle aucune prévision n’a été faite.
Mais les Banques centrale disposent d’un outil dont l’utilisation est annoncée : tout convertir en monnaie numérique avec un retour de l’argent magique avec des pertes pour les épargnants (25%) et des menaces sur les retraites. Que vaut en effet l’euro ? La perte de confiance est possible, surtout si la situation sociale se dégrade consécutivement à l’inflation. Une situation potentiellement explosive et, en prime, une société du contrôle, après le passe sanitaire, le passe climatique et le passe monétaire du contrôle de votre docilité énergétique par exemple. Un provisoire annoncé comme tel pour la nécessité du moment, mais amené à s’inscrire dans la durée.

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