#comprendreréforme #retraites #Réformepensions
https://gotopnews.com/post/1332358
Anna Kurth / AFP Anna Kurth / AFP Politique - Allons-y. Ce mardi 10 janvier, Élisabeth Borne remonte le voile sur la réforme des pensions, bien que ses principales orientations, telles que la baisse de l'âge légal, soient déjà connues. La conférence de presse du Premier ministre prévu à 17h30.Donne le début d'une semaine décisive pour l'avenir de ce texte controversé, puisque les syndicats se réunissent le soir pour décider du suivi. Avec, sauf l'immense surprise, un front d'unité unique à la clé avec l'organisation d'une démonstration commune probablement avant le 23 janvier, lorsque le texte sera présenté au Conseil des ministres. Du côté politique aussi, les choses accélèrent. «Il est important que le premier jour de mobilisation soit un succès. Pour cela, la mobilisation du monde du travail doit bien fonctionner et la mieux placée pour choisir la date idéale dans ce sens, ce sont les syndicats. Donc, faites-les faire leLe meilleur. Ils ont toute ma confiance et nous soutiendrons la date à laquelle ils s'arrêteront ", a déclaré le HuffPost Marine Tondelier, le nouveau patron d'Eelv. Quant à la date du 17 janvier, un cadre élevé de l'écrou le justifiait par la nécessité de "ne pas glisser" face à un texte "qui se produira rapidement" .pour quelques jours plus tard, le 21 janvier, c'était la France rebellequi organisera sa "marche pour nos pensions" à elle seule espérant rassembler toutes les forces opposées au texte défendu par Élisabeth Borne.Cense65 et 65% s'opposent également à un départ à 64 ans. L'option de vitesse Si le calendrier des litiges commence à peine, celui d'examiner le texte conserve toujours une part de l'imprécision. Une option de vitesse qui offre plusieurs avantages. Autre avantage: limiter le temps d'examen à 50 jours maximum, y compris le Sénat. Une navette parlementaire rapide qui pourrait commencer à partir de la semaine du 6 février et qui prendrait les délais fixés par Emmanuel Macron. Il veut que le projet soit adopté en mars pour qu'il soitpeut entrer en vigueur en été. L'inconvénient de cette hypothèse est que l'exécutif aurait besoin d'un deuxième texte pour que toutes ses mesures adoptent, car tout dans cette réforme n'est pas d'un ordre budgétaire.. À moins, entre-temps, la rue oblige le gouvernement à revoir sa copie. La bataille n'a fait que commencer.
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Anna Kurth / AFP Anna Kurth / AFP Politique - Allons-y. Ce mardi 10 janvier, Élisabeth Borne remonte le voile sur la réforme des pensions, bien que ses principales orientations, telles que la baisse de l'âge légal, soient déjà connues. La conférence de presse du Premier ministre prévu à 17h30.Donne le début d'une semaine décisive pour l'avenir de ce texte controversé, puisque les syndicats se réunissent le soir pour décider du suivi. Avec, sauf l'immense surprise, un front d'unité unique à la clé avec l'organisation d'une démonstration commune probablement avant le 23 janvier, lorsque le texte sera présenté au Conseil des ministres. Du côté politique aussi, les choses accélèrent. «Il est important que le premier jour de mobilisation soit un succès. Pour cela, la mobilisation du monde du travail doit bien fonctionner et la mieux placée pour choisir la date idéale dans ce sens, ce sont les syndicats. Donc, faites-les faire leLe meilleur. Ils ont toute ma confiance et nous soutiendrons la date à laquelle ils s'arrêteront ", a déclaré le HuffPost Marine Tondelier, le nouveau patron d'Eelv. Quant à la date du 17 janvier, un cadre élevé de l'écrou le justifiait par la nécessité de "ne pas glisser" face à un texte "qui se produira rapidement" .pour quelques jours plus tard, le 21 janvier, c'était la France rebellequi organisera sa "marche pour nos pensions" à elle seule espérant rassembler toutes les forces opposées au texte défendu par Élisabeth Borne.Cense65 et 65% s'opposent également à un départ à 64 ans. L'option de vitesse Si le calendrier des litiges commence à peine, celui d'examiner le texte conserve toujours une part de l'imprécision. Une option de vitesse qui offre plusieurs avantages. Autre avantage: limiter le temps d'examen à 50 jours maximum, y compris le Sénat. Une navette parlementaire rapide qui pourrait commencer à partir de la semaine du 6 février et qui prendrait les délais fixés par Emmanuel Macron. Il veut que le projet soit adopté en mars pour qu'il soitpeut entrer en vigueur en été. L'inconvénient de cette hypothèse est que l'exécutif aurait besoin d'un deuxième texte pour que toutes ses mesures adoptent, car tout dans cette réforme n'est pas d'un ordre budgétaire.. À moins, entre-temps, la rue oblige le gouvernement à revoir sa copie. La bataille n'a fait que commencer.
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