En l’espace d’à peine 3 ans, la culotte menstruelle a conquis le coeur des Françaises.
Ce marché explose grâce à des arguments de taille : la culotte menstruelle est jugée plus éthique, plus confortable, plus économique que les protections périodiques jetables.
En effet, depuis quelques années, la composition chimique des tampons et serviettes hygiéniques inquiète dans un contexte où les menstruations sont devenues un véritable sujet de société.
Les culottes menstruelles, qui coûtent en moyenne une trentaine d’euros, permettent d’absorber les règles tout au long de la journée (se portent environ 12h).
À ce jour, il existe plus d’une vingtaine de marques qui en commercialisent et le marché s’élargit même avec le développement de maillots de bain et de leggings menstruels.
Si le marché est majoritairement en ligne, la commercialisation en boutique se démocratise.
Les grandes marques de textile se mettent elles aussi à en proposer (DIM, Etam) et on en trouve même dans les rayons de supermarché (Monoprix).
D’après Future Market Insights, le marché des culottes menstruelles devraient progresser de 15,8% entre 2020 et 2030.
La société Plim qui a lancé ses premières culottes menstruelles en 2018 a connu une croissance de plus de 25% par an pour un total de 650 000 clientes en 2021.
Encore plus frappant : la marque Moods a connu une croissance de plus de 100% au premier trimestre 2021 par rapport à l’année précédente (après une croissance de 800% entre 2019 et 2020).
Mais comme pour tout marché porteur, il existe des arnaques avec des fausses promesses de "Made in France" à très bas coût pour des produits qui n’absorbent que très peu.
Ce marché explose grâce à des arguments de taille : la culotte menstruelle est jugée plus éthique, plus confortable, plus économique que les protections périodiques jetables.
En effet, depuis quelques années, la composition chimique des tampons et serviettes hygiéniques inquiète dans un contexte où les menstruations sont devenues un véritable sujet de société.
Les culottes menstruelles, qui coûtent en moyenne une trentaine d’euros, permettent d’absorber les règles tout au long de la journée (se portent environ 12h).
À ce jour, il existe plus d’une vingtaine de marques qui en commercialisent et le marché s’élargit même avec le développement de maillots de bain et de leggings menstruels.
Si le marché est majoritairement en ligne, la commercialisation en boutique se démocratise.
Les grandes marques de textile se mettent elles aussi à en proposer (DIM, Etam) et on en trouve même dans les rayons de supermarché (Monoprix).
D’après Future Market Insights, le marché des culottes menstruelles devraient progresser de 15,8% entre 2020 et 2030.
La société Plim qui a lancé ses premières culottes menstruelles en 2018 a connu une croissance de plus de 25% par an pour un total de 650 000 clientes en 2021.
Encore plus frappant : la marque Moods a connu une croissance de plus de 100% au premier trimestre 2021 par rapport à l’année précédente (après une croissance de 800% entre 2019 et 2020).
Mais comme pour tout marché porteur, il existe des arnaques avec des fausses promesses de "Made in France" à très bas coût pour des produits qui n’absorbent que très peu.
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