La solitude ou les ruptures amoureuses seraient plus dangereuses pour les hommes que pour les femmes.
D’après une étude danoise menée auprès de 5 000 participants âgés entre 48 et 62 ans.
la santé mentale et physique se dégraderait avec le nombre d’années passées seul et le nombre cumulé de ruptures.
Cela induirait une baisse de l’immunité avec une augmentation du risque de mortalité à court terme.
"Chez les hommes, les niveaux les plus élevés de marqueurs inflammatoires ont été trouvés chez ceux qui avaient connu le plus de ruptures de couple. Ils présentaient des taux de marqueurs inflammatoires 17% plus élevés que ceux du groupe de référence. De même, les niveaux de marqueurs inflammatoires étaient jusqu'à 12% plus élevés dans le groupe qui avait passé le plus d'années à vivre seul (7 ou plus)." Conclusions de l’étude
Si l’impact cardiovasculaire et inflammatoire peut varier selon le sexe, c’est notamment en raison de leurs différences de comportements.
Un homme aura tendance à extérioriser en adoptant des conduites à risques (consommation d’alcool par exemple), tandis que les femmes intériorisent (et sont ainsi davantage sujettes aux formes de dépression).
D’après une étude danoise menée auprès de 5 000 participants âgés entre 48 et 62 ans.
la santé mentale et physique se dégraderait avec le nombre d’années passées seul et le nombre cumulé de ruptures.
Cela induirait une baisse de l’immunité avec une augmentation du risque de mortalité à court terme.
"Chez les hommes, les niveaux les plus élevés de marqueurs inflammatoires ont été trouvés chez ceux qui avaient connu le plus de ruptures de couple. Ils présentaient des taux de marqueurs inflammatoires 17% plus élevés que ceux du groupe de référence. De même, les niveaux de marqueurs inflammatoires étaient jusqu'à 12% plus élevés dans le groupe qui avait passé le plus d'années à vivre seul (7 ou plus)." Conclusions de l’étude
Si l’impact cardiovasculaire et inflammatoire peut varier selon le sexe, c’est notamment en raison de leurs différences de comportements.
Un homme aura tendance à extérioriser en adoptant des conduites à risques (consommation d’alcool par exemple), tandis que les femmes intériorisent (et sont ainsi davantage sujettes aux formes de dépression).
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