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00:00 - Et est-ce que, exceptionnellement, comme celui-ci, c'est le plus bas,
00:02 c'est pas dû à autre chose que...
00:04 - À l'alimentation.
00:06 - Il y a des scandales. Ça arrête pas, les scandales.
00:08 - Ah oui.
00:09 - Le plus de légende, il n'y a que des scandales.
00:10 Ça aussi, c'est lourd.
00:11 - T'as raison.
00:12 - Ça, c'est compliqué.
00:13 - Tu penses que ça joue, le faire des limonades ?
00:15 - Oui, ça jouait beaucoup.
00:16 Parce qu'en fait, beaucoup de scandales se sont mis.
00:18 Il y a eu la légende, la triche, qui a été énorme.
00:20 C'est ce qui a fait le plus mal dans l'esport de Colombie-Britannique.
00:22 Ça, ça les a mis par terre. Ça, c'est clair et net.
00:29 Derrière, l'avant-dernière saison, bon, c'était moyen,
00:30 mais il y avait encore un petit peu des scandales,
00:31 avec ce Port-François, le pompier, bon, peu importe.
00:33 Et là, là, Brognière, ça a mis tout le monde par terre.
00:35 Je pense que là, lui, c'est le scandale qui a fait du mal.
00:38 - Oui, Denis Brognière, tu penses que les gens...
00:40 - Il y a une solidarité avec les femmes.
00:41 Il y a beaucoup de femmes qui doivent dire, lui,
00:42 il n'est pas question que je revoie sa tête.
00:44 Je le vois, les réseaux, sa voix, je la supporte plus.
00:46 Son comportement, je le supporte plus.
00:48 - Ça n'a pas fait un énorme buzz, mine de rien, je trouve.
00:50 - Ça a été drôlement étouffé, quand même,
00:51 parce que moi, je trouve que c'est un gros scandale.
00:53 Il y a des dommages collatéraux.
00:55 N'allez pas demander à Charlotte et à Jean-Luc, son mari,
00:57 dans quel état ils sont, Jean-Luc,
00:58 que sa femme se fasse insulter.
00:59 - Charlotte, elle est incroyable.
01:00 - Et Jean-Luc, sa femme se fasse insulter.
01:02 Dans la vie normale, ça ne se passe pas pareil.
01:04 Allez demander à la jeune fille qui est toujours en psychiatrie,
01:07 là, depuis juillet. C'est compliqué.
01:09 Ils ne peuvent même pas l'interviewer.
01:11 Ils ne peuvent même pas parler.
01:12 - Toi, Pascal, dis la vérité.
01:13 Tu as entendu des gens qui ont dit
01:14 "Je ne regarderai pas Koh-Lanta à cause de ça."
01:16 - Pourquoi d'habitude, je ne m'en bats pas ?
01:17 - Non, ce que tu as entendu des gens qui t'ont dit
01:19 "Je ne regarderai pas à cause de ça."
01:20 - Depuis quelque temps, il s'avère que...
01:22 Moi, j'ai fait 2016 à la télé.
01:24 J'avais un mec en face de moi super humain, très discret,
01:27 pas de réseaux sociaux.
01:28 Il était calme et on le respectait aussi
01:31 parce qu'il n'intervenait pas.
01:32 On ne le voyait pas.
01:33 C'était sur le jeu, sinon on ne le voyait pas.
01:35 Et en 2018, quand j'ai refait le deuxième Koh-Lanta,
01:38 ce n'était plus du tout le même personnage.
01:40 Il s'était étoffé, il a évolué.
01:43 On a vu son évolution en tant qu'animateur.
01:45 Il prend beaucoup de place.
01:46 Et là, ça reste que ma vision.
01:49 Il a pété les boulons.
01:51 En 2018, il avait déjà pété les boulons.
01:53 La tête, elle est devenue comme ça.
01:55 Et ses comportements, il les a déjà eus quand même
01:57 avec des joueurs, avec d'autres personnes.
01:59 Donc aujourd'hui, ce qu'il arrive, je vous dis la vérité,
02:02 quand c'est arrivé il y a quelques semaines,
02:04 je me suis dit "Putain, enfin, ça y est, ça sort comment il est."
02:08 Mais soyons honnêtes maintenant.
02:09 Ce qui est autour de la table n'est pas au courant de son comportement.
02:12 Soyons honnêtes.
02:13 Moi, je l'ai rencontré, moi, Pascal.
02:15 Moi, ça fait très longtemps que je ne l'ai pas vu, Denis.
02:17 Et je vais te dire, Denis, il a été un amour avec moi
02:19 parce que c'est lui qui a fait la première émission de TPMP à l'époque, en 2012.
02:24 C'est lui qui avait accepté de faire la première émission de TPMP.
02:27 Donc franchement, j'étais comme un fou.
02:29 Il avait dit oui alors que personne n'avait déjà vu l'émission sur France 4.
02:32 Donc je me suis dit "Ce mec-là est un amour."
02:33 Et c'est vrai que je l'ai recroisé deux, trois fois.
02:35 On s'est joué en tournoi de tennis.
02:36 Malheureusement, il a perdu.
02:38 Et c'est vrai qu'il était énervé.
02:39 Mais bon, ça, je peux comprendre.
02:43 Mais sinon, ça fait des années que je ne l'ai pas vu, moi.
02:47 Et à chaque fois que je l'ai vu, il était hyper sympathique avec moi.
02:49 Je ne l'ai pas vu depuis…
02:51 On est où en 2022 ?
02:52 Je ne l'ai pas vu depuis huit ans.
02:54 Voilà, depuis sept, huit ans.
02:56 Je ne l'ai plus vu depuis.
02:57 – Non mais là où tu dis "Pardon, c'est pas pour mentir,
02:59 je n'ai jamais rencontré de ma vie."
03:01 Quand tu dis "Tout le monde savait."
03:03 – Moi, je l'ai vécu sur le jeu, en fait.
03:05 Toujours, je reste dans mon analyse.
03:07 Et ce que j'ai vu, et ce que j'ai vraiment vu,
03:09 c'est que vous êtes un physique qui prend de la place.
03:14 Et là, il ne va pas s'affronter.
03:16 J'ai eu le cas sur l'orientation, il a reculé.
03:19 Mais après, derrière, il vous punit après, par contre.
03:22 On ne va pas rentrer dans les détails, ce qu'il a fait avec moi.
03:24 On s'en fout, je ne suis pas là pour régler ça.
03:26 Mais avec les femmes, avec la femme, entre guillemets,
03:29 là, il a un pouvoir par-dessus.
03:30 Et là, il se laisse aller, quoi.
03:32 – Pourquoi toi, il t'a fait des coups ?
03:35 – Non, mais je n'ai pas envie.
03:37 On dirait que je reviens ici pour en parler.
03:39 Moi, c'est fini, c'est fait.
03:41 Tu sais, tu n'as rien.
03:42 La publication, il fait des lives, il ne veut pas me parler.
03:44 Je m'en fous, ce n'est pas grave.
03:45 C'est fini, moi, c'est loin, tout ça.
03:47 – Pascal, j'adore.
03:48 – Non, mais je n'ai pas envie d'en parler, il m'a piqué ma femme.
03:50 Je m'en fous, je n'en ai rien à foutre.
03:52 – Non, mais c'est le premier live, il n'a pas fait, c'est pas bon.
03:55 – Oui, un jour, oui, j'étais tranquillement oui.
03:58 – Non, il m'a dit tout à l'heure que tu étais tranquille.
04:00 – Non, mais c'est ça, je m'en fous, où tu passes ?
04:02 Je suis tranquillement au Totem, il m'a dit tu l'as dans ton cul.
04:05 Je m'en fous, je n'ai pas envie de le dire.
04:07 Je n'ai pas envie de rentrer là-dedans.
04:09 [Rires et applaudissements]
04:13 Il est au Totem, il m'a dit dans ton cul.
04:15 Mais ce n'est pas vous les autres, comment vous faites ?
04:16 Je n'en ai rien à foutre, je n'ai pas envie de revenir là-dessus.
04:18 Voilà, c'est rien.
04:19 Non, mais c'est vrai, quoi, c'est vrai, mon Pascal.
04:21 – Non, mais moi, je me rappelle de la fois que j'étais chroniqueur,
04:24 juste avant de rentrer ici, il y avait des personnes avec moi,
04:26 des chroniqueurs auto, et tout le monde, certains en ont parlé,
04:29 et on avait ras-le-bol.
04:30 – Il y en a qui sont là encore ce soir ?
04:32 – Je ne dénonce personne.
04:33 – Non, parce qu'on a eu beaucoup de déchets.
04:36 – Non, on a eu beaucoup de chroniqueurs qui sont…
04:38 – Certains sont là, certains ne sont plus là,
04:40 mais quand j'ai chopé la conversation, je me suis dit, mais vous parlez d'autant.
04:42 – Tu veux que je te dise la vérité ?
04:43 Gilles Vernez.
04:44 – Non, je n'étais pas là.
04:45 – Oh non, tu n'étais pas là, non, c'est vrai.
04:47 [Rires]
04:49 – Pascal, je suis fan.
04:51 – Non, mais la première fois qu'on a parlé de ça,
04:54 c'était lors de la diffusion du documentaire de Marie Portolano,
04:57 c'est la première fois qu'on a un peu évoqué ça,
04:59 mais de très très loin, sans citer Charlotte.
05:02 – A grave, on ne va pas dire qui elle est, mais quoi.
05:04 – Arrête de passer ton temps à dire, on ne va pas dire qu'elle dit quoi,
05:06 et tu dis, alors tu dis quoi ?
05:08 – Tu sais que c'est le perso, tu te fous de la merde.
05:10 – Tu sais que je suis allé sur la torture ?
05:12 – Non, mais c'est vrai, mais de toute façon…
05:14 – Mais peu importe, tu ne me le fais pas parler,
05:15 il y a beaucoup de gens qui le savent.
05:16 – Vous allez m'avouer les 5 000 euros, j'ai pas envie de le dire.
05:18 – Il continue comme moi, mais beaucoup de gens le savent.
05:20 – Et en trancien candidat aussi, vous vous le dites ou pas ?
05:22 – Comment ?
05:23 – En trancien candidat de Colombes à Paris.
05:24 – En trancien candidat, je n'en parle à personne.
05:25 – Ah ok.
05:26 – Donc c'est compliqué, oui.
05:27 – Il y a une nuance quand même, est-ce que c'est quelqu'un de colérique,
05:28 avec un gros caractère, comme c'est souvent le cas dans le milieu,
05:30 et ça à la rigueur, ça peut être normal,
05:31 est-ce que c'est quelqu'un qui harcèle vraiment ?
05:33 C'est ça la question qu'on se pose.
05:34 – Mais on ne peut pas appeler du harcèlement, c'est-à-dire que si vous n'êtes pas d'accord avec lui,
05:37 c'est ou la punition, ou alors il se passe ce qui s'est passé avec Charlotte et les autres personnes, c'est tout.
05:42 – C'est quoi une punition ?
05:43 – C'est vrai, la punition, il te met le totem dans le cul.
05:45 – En goulet, en veste, normal.
05:46 – Il y a des joueurs qui l'ont mal pris, à ma saison, à ma…
05:50 On ne peut pas être sérieux, hein, avec le Messi, il m'a dit,
05:54 depuis qu'il a mis la boucle, on ne le tient plus.
05:56 [Rires]
05:58 – Surtout pas de punition.
05:59 – La même saison où je ne suis pas allé à la finale, et d'autres personnes,
06:02 la finale devait être à Paris, et elle a été mise au cinéma, le Grand Rex.
06:06 – Ça paraît.
06:07 – Il y a Jérémy, Ravier, plusieurs joueurs.
06:09 Quand il a su ça, il s'en est pris entre guillemets à Ravier, il a mis plus bas que terre.
06:14 Ravier en a pleuré, Ravier m'appelle, me dit, il m'a même enlevé de Twitter,
06:18 il punit avec ses outils, c'est…
06:20 – Il adore Ravier.
06:21 – Alors certains, enlever de Twitter, on est puni, c'est pas grave,
06:22 mais pour certains, c'est très lourd.
06:24 Pour les joueurs de Koh-Lanta, ça frôle un peu une secte.
06:27 On est puni, on n'a plus Donny Brunière qui vous suit,
06:29 on n'a plus Donny Brunière qui vous parle, c'est très lourd.
06:32 – On revient.
06:33 – Voilà, c'est ça qu'il faut mettre dans le contexte.
06:34 Koh-Lanta, c'est vraiment un monde à part,
06:36 on n'est pas comme toutes les autres émissions, c'est à part.
06:38 [Musique]