"Mon père est associé à de la pédophilie" s'insurge le fils de Claude François !

  • l’année dernière
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Transcription
00:00 Et ça ressort depuis des années déjà, Mathieu, en réalité.
00:03 – Oui.
00:04 – En fait, je trouve ça scandaleux.
00:05 Je le fais juste parce qu'il n'est plus là pour se défendre,
00:08 et parce qu'en plus la loi ne me permet pas
00:10 de pouvoir faire des procédures de diffamation.
00:12 – Oui.
00:13 – Et donc tout le monde peut impunément dire, raconter, calomnier,
00:17 comme forcé, et c'est exactement ce qui se passe.
00:20 Mon père est associé à la pédophilie,
00:24 donc ça revient à le mettre dans le même sac que Marc Butroust,
00:29 et encore une fois, ce qu'on a vu, je vous invite à regarder
00:31 la définition du mot pédophilie.
00:33 – Absolument.
00:34 – Et on est impuissant, voilà.
00:36 Donc, en fait, ce que je voudrais, c'est que j'espère qu'on est dans une société
00:40 qui a un petit peu plus de sens moral, civil, et de savoir-vivre,
00:46 parce qu'encore une fois, il n'est plus là pour se défendre.
00:48 Je sais qui était mon père, et c'est honteux, en fait,
00:53 d'avoir encore ces adjectifs associés à son nom.
00:56 – Alors, vous avez raison qu'on n'est pas dans une société très nuancée aujourd'hui,
01:00 ni d'ailleurs à la télévision, et je m'en excuse, c'est vrai que…
01:03 Mais, juste deux dernières questions.
01:05 Ce magazine dont on parle, qu'il avait créé, et on disait qu'il prenait lui-même
01:09 les mannequins en photo, voilà, c'était…
01:14 il prenait des mannequins très jeunes en photo,
01:16 il aimait bien les jolies filles jeunes, on va dire.
01:19 – Il aimait bien les jolies filles.
01:21 Il se trouve qu'il y avait des jeunes, des moins jeunes, mais…
01:25 – Dans "Absolu", il n'y avait pas beaucoup de meufs de 35 ans ?
01:28 – C'était des jeunes femmes.
01:30 Il y avait des filles, on sait, autour de 20-25 ans, voilà,
01:34 peut-être même un peu plus, mais on ne parle dans aucun cas d'enfants.
01:38 – D'accord, d'accord.
01:39 – Arrêtons.
01:40 – Mais c'est bien, c'est très bien de vous entendre,
01:42 parce que j'entends beaucoup de gens qui sont parfois aussi un peu complotistes
01:45 et qui disent n'importe quoi, votre avis m'intéresse beaucoup.
01:47 Et j'ai une dernière question, je ne vais pas vous déranger,
01:49 mais c'est de vous que ça doit sortir.
01:51 Il y a eu cette soi-disant enquête de la police belge
01:54 qui avait enquêté sur votre sœur, qui serait née d'une femme qui avait 14 ans.
02:00 – Non, alors 15 ans, 15 ans, effectivement.
02:04 – 15 ans quand elle a accouché, 14 ans quand elle a été enceinte.
02:06 – 15 ans quand elle a accouché, donc elle avait 14 ans.
02:08 – Je ne me suis jamais exprimé là-dessus à la télévision,
02:11 je ne veux pas le faire sur téléphone, ça ne peut pas se faire en une minute.
02:14 L'histoire est compliquée.
02:16 Je peux vous dire ce que…
02:18 Voilà, je ne me suis pas exprimé parce que j'ai parlé à la maman.
02:23 Et j'ai compris qu'en réalité Julie était une femme fragile.
02:28 C'était délicat pour moi de rentrer en interaction dans cette histoire.
02:32 Mais on peut en gros dire que c'était un manque de vigilance.
02:38 Et ce que je peux vous assurer, c'est que mon père ne connaissait pas
02:41 l'âge de sa maman quand il l'a rencontrée, qu'elle était formée,
02:45 qu'elle parlait quatre langues, qu'il avait tout lieu de croire
02:48 qu'elle était beaucoup plus vieille que ce qu'elle était en réalité.
02:52 – Et je vous crois, et ça m'a dit de ne vous poser que des questions là-dessus
02:55 parce qu'il y a tellement de choses que j'aime chez votre père.
02:57 Mais c'est très important pour moi aussi d'entendre votre avis à vous
03:01 parce que c'est votre père et vous…
03:02 – Je vais vous donner une histoire, vous allez tout comprendre.
03:06 Un jour, elle lui a donné son âge.
03:08 Elle lui dit "mais tu crois que j'ai quel âge ?"
03:10 Et quand elle lui a dit "j'ai 15 ans", c'est elle qui me le raconte,
03:13 il est devenu blême, il l'a regardé et il lui a dit "mais t'es folle,
03:16 tu finis sans taule, elle est flamande".
03:20 Donc la taule, elle ne savait pas ce que ça voulait dire, c'est l'argot français.
03:24 Et quand elle me raconte ça, ça ne s'invente pas.
03:27 – Je l'entends. J'ai mes deux dernières questions
03:31 et après je vous promets que si vous voulez venir en plateau,
03:33 on ne fera que danser et tout parce que je ne peux pas dire que…
03:36 – Oui, c'est mieux dans ce cas-là.
03:37 – Parce que votre père, c'est une icône.
03:39 – La réalité de mon père aujourd'hui, c'est ça, c'est qu'il fait chanter les gens,
03:41 il les rend heureux.
03:43 – Exactement. Eh bien moi le premier, là ça je ne l'ai pas inventé.
03:47 Qu'est-ce que je voulais vous dire ? Deux questions.
03:48 Est-ce que votre soeur, vous la voyez ou jamais ?
03:50 – Non.
03:51 – Bon, et j'ai une dernière question qui est moyennement agréable.
03:55 Après je vous jure, vous venez en plateau, on déjeune ensemble,
03:58 on est les meilleurs amis.
03:59 Il y a Dani qui a dit dans un documentaire sur Arte, quand je l'ai regardé,
04:02 c'était quelqu'un de formidable mais très colérique.
04:05 Elle dit "un jour je l'ai vu sortir de l'Olympia, des coulisses de l'Olympia,
04:08 il avait une secrétaire qui lui tenait son verre d'eau, un miroir,
04:13 le miroir était trop bas, il l'a pris, il lui a éclaté sur la tête".
04:16 C'était un personnage particulier quand même ?
04:19 – Je n'étais pas là pour… qu'est-ce que je vous dis là-dessus ?
04:23 – D'accord.
04:24 – Je n'étais pas là.
04:25 Après il était colérique, oui, parce que…
04:27 et en fait il avait trois emplois du temps dans la même journée.
04:29 Il était Rostat, il était homme d'affaires et il était artiste.
04:33 Et chacun de ses rôles avait des plannings bien chargés.
04:36 Et donc bien sûr que ça rend insupportable le manque d'attention,
04:40 de rigueur et puis de l'exigence dans laquelle il était.
04:42 Il l'a voulu, en soutenant de la part de tout son entourage,
04:46 donc ça pouvait l'excréder par moments,
04:48 mais j'ai déjà du taper qui que ce soit avec un miroir sur la tête.
04:52 – J'ai une question de Laurent, mais déjà je voulais vous remercier
04:54 parce que je trouve ça très beau la manière dont vous défendez votre père
04:56 et je trouve ça très très bien.
04:58 – Il n'y avait pas que des défauts, mais… – Bien sûr.
05:01 – Enfin, que des qualités, je veux dire, mais là on en fait un monstre régulièrement.
05:06 – Mais c'est pour ça que je voulais vous entendre,
05:07 parce que ce n'est pas un monstre pour moi du tout,
05:09 je peux vous promettre que c'est là où vous avez raison.
05:11 Et puis je pense que quand on est à ce niveau d'exigence
05:13 et qu'on est premier, pour rester premier c'est une anxiété tous les jours.
05:16 Laurent, tu as une question ?
05:17 – Claude, salut, c'est Laurent Fontaine, j'ai juste une question à te poser
05:19 qui n'a rien à voir, j'entends depuis des années,
05:21 j'ai envie d'avoir ton avis sur le sujet que les droits,
05:23 comme d'habitude, ont été cédés à un milliardaire français.
05:27 Est-ce que c'est vrai ou pas vrai ?
05:29 – Non, alors c'est une partie des droits, c'est un catalogue éditorial
05:33 qui a été cédé à un consortium d'investisseurs français,
05:38 qui désert très bien la plupart des copyrights aux États-Unis.
05:41 Donc c'est géré par Emmanuel de Burton et Michel Duval,
05:44 c'est une société qui s'appelle Because,
05:46 c'est des anciens de chez Virgin Music,
05:48 c'est très bien géré et j'en suis heureux.
05:52 – Bon, bonnes infos. – Très bien.
05:54 [Musique]

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