LE COUPLE PELISSARD CONVERTI DANS LE X, ILS RÈGLENT LEURS COMPTES AVEC LES CHRONIQUEURS DE TPMP !

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DANS LA GOSSIP SPHÈRE AUJOURD’HUI   ✨Découvert dans l'émission "Famille nombreuse", le couple Pélissard a récemment fait parler d'eux pour s'être reconverti dans le X.   ✨Les parents de huit enfants reviennent sans aucun tabou sur l'épanouissement de leur couple à travers cette nouvelle activité malgré les nombreuses critiques qu'ils ont reçues suite à l'annonce de cette nouvelle.   ✨ Suite aux critiques des chroniqueurs de TPMP le couple Pélissard règle ses comptes sans mâcher ses mots !   Pour suivre toute l’actualité d'Amandine et Alexandre Pélissard :  https://www.instagram.com/famille.pel... https://mym.fans/Amandefan https://swame.com/amandefan   Réagis en commentaire à cette vidéo !  Pour plus d’infos people tous nos articles sont ici ➡️ https://www.officielles.fr   Abonnez-vous à nos réseaux   TIKTOK : https://vm.tiktok.com/ZMLuRTN2L/ INSTAGRAM : https://instagram.com/gossiproomoff?u... FACEBOOK : https://www.facebook.com/GossipRoom/

Transcript

00:00 Je pense que Géraldine Maillet, comme beaucoup des donneuses d'Olson de son type,

00:06 sont les premières qui devraient balayer devant leurs portes.

00:09 On ressent quand même qu'il y a quelque chose de très enfoui en elle, de très haineux.

00:13 Moi je l'invite plutôt à se recentrer sur elle-même et peut-être à faire une petite thérapie,

00:17 ça lui ferait pas de mal je pense.

00:18 C'est vrai qu'il y a quelques mois de ça, on a annoncé officiellement

00:23 avoir changé de voie professionnelle, dirons-nous.

00:28 En tout cas, on nous a connus au travers d'émissions de Famille Nombreuse sur TF1

00:31 pendant quasiment trois ans.

00:33 Et c'est vrai qu'aujourd'hui, on s'est donc réorientés vers des contenus

00:39 un petit peu plus dessinés aux adultes, des contenus de charme et des contenus X,

00:44 au travers de plateformes privées notamment.

00:46 On pensait pas à se reconvertir de façon à proprement dire depuis très longtemps.

00:51 C'est vrai qu'on avait déjà pensé à rejoindre des plateformes privées depuis un petit moment,

00:55 sans vraiment concrétiser.

00:57 Un jour, on s'est lancés.

00:59 Alex au début me disait "oui, après si tu veux, vas-y toi, moi je verrai, je sais pas trop".

01:03 Puis finalement, s'est pris au jeu les deux et on s'est redécouverts

01:08 vraiment quelque chose qui nous anime, qui nous fait vibrer.

01:12 Sachant qu'on a déjà toujours eu une sexualité très débridée,

01:15 on a toujours été très libérés dans notre façon d'être.

01:18 C'était pas un secret pour personne.

01:20 Mais là, c'est vrai que c'est un autre cap

01:23 et on est vraiment ravis du choix qu'on a fait.

01:25 Amaudine m'en avait parlé et en fait, comme elle m'a dit,

01:28 c'est soit on se lance tous les deux, soit on fait rien.

01:31 Alors je lui ai dit "bon, vas-y, de toute façon, moi ça me plaît".

01:36 Et puis c'est pour ça que je lui ai dit "vas-y, on fonce".

01:38 Disons que moi je me voyais pas vraiment me lancer là-dedans sans mon mari.

01:41 En fait, c'est vraiment quelque chose...

01:43 Paradoxalement, ça m'aurait dérangée de faire ça toute seule.

01:46 Par respect vis-à-vis de mon mari déjà.

01:49 Et puis...

01:50 Je sais pas, peut-être par pudeur, ça peut paraître bizarre ce que je dis,

01:54 mais c'est vrai que je me voyais pas faire ça toute seule.

01:57 Non, je suis pas jaloux du tout.

01:59 En fait, comme on fait ça tous les deux,

02:02 et puis je sais que c'est qu'avec ma femme...

02:06 Alors non, après bon, c'est vrai qu'elle est belle

02:09 et c'est vrai que beaucoup de monde la regarde.

02:12 Des fois tu t'énerves, frère.

02:13 Oui.

02:14 Il y a des gens qui envoient des messages qui veulent du réel

02:16 et puis ça, ça m'énerve.

02:17 Je dis "non, pas de réel, ça s'interdit".

02:20 C'est vrai qu'on a souvent des propositions pour des rencontres réelles,

02:23 pour des prestations sexuelles tarifées, dirons-nous.

02:27 Donc ça, ça fait pas partie du tout de la carte de ce que l'on propose.

02:33 Et c'est vrai que nous, une de nos prérogatives, tous les deux,

02:37 c'est que c'est tous les deux et personne d'autre.

02:41 Alors, en médias privés, ce qui revient le plus, c'est quoi ?

02:44 Bah, les tapes, les tapes, beaucoup.

02:48 Préliminaires aussi.

02:50 Toi seule ?

02:51 Moi seule.

02:52 Mais beaucoup nous deux, quand même, on en demande beaucoup tous les deux.

02:55 Après, grosso modo, on accepte à peu près tout,

02:59 enfin tout ce qu'on veut bien faire.

03:01 Mais il y a des choses, évidemment, qui dépassent un peu les bornes

03:04 et qu'on ne fera jamais.

03:06 L'autre fois, on t'a fait demander de me mettre une couche,

03:09 que je fasse mes besoins dedans et que tu me changes ma couche.

03:14 Ou alors que je me fasse pipi dessus

03:17 et qu'on fasse l'amour avec ma culotte pleine d'urine.

03:20 Oui, mais c'est...

03:23 Faut y penser, hein !

03:24 Non, non, tout ce qui est ***, tout ce qui est ***, on ne fait pas du tout.

03:26 Non, non, pas du tout.

03:27 - Ça, c'est pas notre truc. - Du tout, du tout.

03:29 Alors, nous, on est sur Mime et sur Swim.

03:31 On n'est pas sur OnlyFans, Mime et Swim.

03:33 Et c'est vrai qu'on a eu d'autres propositions,

03:34 parce que c'est a priori encore d'autres, des plateformes privées.

03:36 On nous contacte beaucoup, évidemment.

03:38 Ça nous prend déjà énormément de temps parce que nous, la particularité,

03:41 et ça, je sais qu'on est...

03:44 Enfin, du côté des personnalités un peu connues qui sont sur ces plateformes,

03:47 très peu répondent eux-mêmes aux demandes de médias privés.

03:49 Sur les plateformes, vous avez du personnel, donc, de ces plateformes

03:52 qui vous proposent de répondre à votre place en médias privés

03:55 pour vous soulager de cette tâche,

03:56 parce que c'est très chronophage, ça nous prend énormément de temps.

04:00 Mais nous, notre particularité, je pense, c'est qu'on répond nous-mêmes

04:02 et on ne va absolument pas déléguer ça, quoi.

04:04 C'est important pour nous.

04:05 Ce qui est la partie messages, donc, voilà, vraiment,

04:08 de répondre des messages, réponse aux demandes,

04:10 ça prend énormément de temps.

04:12 - Ça, on fait ça la journée ?

04:13 - Ça, on peut le faire la journée,

04:14 parce que c'est que des réponses écrites,

04:16 donc on le fait sur les temps d'école des enfants,

04:18 dès lors qu'on est un peu au cas,

04:20 mais je pense que ça peut nous prendre jusqu'à 6-7 heures par jour, facilement,

04:23 puisqu'on se retrouve des fois avec 400 messages à traiter,

04:26 donc, sur une seule plateforme.

04:28 Et après, le soir, une fois qu'on est tous les deux,

04:31 on tourne notre contenu, du coup...

04:33 - Ça commence vers 22h30, minimum.

04:35 - Ouais.

04:36 En fait, c'est pas on pose le téléphone, on tourne.

04:39 On va poser le téléphone peut-être vers 21h,

04:41 et on met play, et puis on laisse tourner, on laisse tourner, on laisse tourner,

04:44 et souvent, il se passe rien avant 22h30, 23h,

04:46 mais en fait, on fait vraiment les choses de façon spontanée,

04:49 on fait pas les choses de façon scénarisée, quoi.

04:54 On est un couple, donc on fait ça comme on fait ça d'habitude, quoi.

04:58 Alors ça, c'est vrai que c'est vraiment une question qui revient souvent.

05:00 Comment vous faites pour concilier votre vie pro avec votre vie de parent ?

05:03 Ben, comme on a toujours fait, en fait.

05:05 Je pense que quand on faisait des placements de produits à 24h,

05:07 c'était peut-être même plus chronophage,

05:09 et j'étais même moins disponible pour mes enfants.

05:12 Là, en plus, on est vraiment tous les deux,

05:14 il y a un pan pour tout, je pense que n'importe qui,

05:15 quand il va au travail, il a pas ses enfants sous le bras.

05:18 Donc on tourne nos vidéos, voilà, quand les enfants sont couchés.

05:23 Et là, d'ailleurs, mon envisage de louer même un studio, là, dans notre ville

05:27 pour pouvoir faire des contenus même à l'extérieur, justement,

05:30 parce que ça fonctionne bien,

05:32 et puis justement, on peut commencer à envisager ce genre de projet-là.

05:37 Et non, non, c'est très simple pour nous, en fait.

05:38 On fait la part des choses, on est parents,

05:40 et à côté de ça, c'est notre travail,

05:43 et tout s'enchaîne très bien dans la journée.

05:45 Seulement Léo est au courant, notre fils-énigme,

05:47 puisque les autres n'ont pas l'âge du tout d'être au courant

05:49 de ce genre de site ou de l'existence de ce genre de plateforme.

05:54 Léo a 17 ans, et après, ça va de 3 ans à 10 ans.

05:57 Donc on se doute bien qu'ils ont autre chose à faire que d'être au courant

06:02 qu'il y ait des plateformes privées ou je sais pas quoi qui existent.

06:04 Donc c'est vrai que ça ne les concerne absolument pas.

06:06 Nos enfants, ils n'ont pas un libre accès sur Internet,

06:09 ils ne sont pas en roue libre sur Google,

06:10 donc c'est vrai qu'on fait très attention à ce qu'ils font.

06:12 On a des contrôles parentaux.

06:13 Il y a des contrôles parentaux,

06:15 et ils ne vont évidemment pas sur les sites Google, Languedoc.

06:19 Enfin voilà, c'est très cadré, ils n'ont pas accès au Net.

06:22 Je pense qu'après, c'est notre rôle d'être parents

06:23 qui est le rôle de tous les parents, en fait.

06:26 Les enfants n'ont pas accès au porno, quand on nous dit...

06:28 Et si on leur en parle dans la cour de réécrit,

06:30 déjà, c'est dans une cour de récréation d'école primaire.

06:33 Il y a des enfants qui parlent de porno,

06:34 je pense qu'il y a un vrai problème d'éducation,

06:36 parce qu'en tant que parents, on est éducateurs.

06:38 Donc, ça veut dire que des enfants ont entendu parler

06:40 de la bouche de leurs parents,

06:42 ou qu'ils ont eu accès justement à des contenus

06:44 à l'intérieur de moins de 18 ans.

06:45 Donc, c'est qu'il y a un vrai problème.

06:47 Et là, du coup, on prend le problème à l'endroit.

06:49 Léo, comment il a réagi, du coup, quand vous lui avez annoncé ?

06:52 Alors, on ne lui a pas annoncé à Léo, on lui a demandé.

06:55 Donc, on lui a demandé si on avait à l'avant,

06:57 parce que c'est un ado de 17 ans.

06:59 On s'est dit que forcément, comme il est au lycée,

07:00 et puis qu'il a quand même une porte ouverte sur le net, etc.,

07:05 que les petits n'ont pas,

07:06 on ne voulait pas qu'il soit au courant d'une autre façon,

07:10 et qu'il se sente, entre guillemets, trahi ou mal à l'aise, etc.

07:13 Donc, on lui a demandé si on avait à l'avant.

07:14 Et Léo, il nous a dit "Bon non, les ultras, on les fait kiffer,

07:17 moi, je m'en fous, enfin, je ne me fais pas harceler,

07:19 personne ne m'en parle, enfin, il y a beaucoup d'a priori".

07:23 On se dit "Oui, forcément, ils vont être harcelés, forcément".

07:25 Bah non, en fait, non, on ne va pas vous dire que oui,

07:27 si ce n'est pas le cas, quoi.

07:28 Alors déjà, comment on a réagi à tous les commentaires négatifs ?

07:31 Comme on a toujours fait, on s'en fout complètement.

07:33 Vraiment, nous, on a toujours été une famille très critiquée,

07:36 déjà depuis le début de notre, on va dire, de nos débuts dans la télé.

07:40 Sinon, au-delà de ça, quand j'entends "Oui, ça va traumatiser les enfants",

07:44 en fait, il n'y a pas lieu qu'ils soient traumatisés d'aucune façon qu'ils soient,

07:47 puisque, encore une fois, je pense que c'est aux parents de protéger leurs enfants.

07:51 Tout est conciliable, il y a plein d'acteurs de films ***, etc.,

07:54 qui ont des enfants, et je veux dire, personne n'est traumatisé de rien.

07:57 Alors, on vous dit, oui, l'empreinte sur Internet, que ça les sera.

08:00 Effectivement, peut-être qu'il y aura des contenus qui resteront sur Internet,

08:03 on n'est pas dupes.

08:04 Après, nous, c'est vrai qu'on met une énergie folle, justement,

08:07 pour contrer toutes ces leaks, toutes ces fuites, puisque c'est ça,

08:10 en fait, les Urlalois, c'est eux, c'est pas nous.

08:12 C'est eux qui braquent nos contenus, qui les diffusent, et c'est interdit.

08:15 - Et qui les revendent, même. - Et qui les revendent.

08:17 C'est un vrai trafic.

08:18 Donc, on a embauché quelqu'un, justement,

08:20 qui se charge de nettoyer le Net tous les jours.

08:23 Néanmoins, si l'on demeure qu'il reste des contenus sur le Net,

08:27 encore une fois, nos enfants, quand ils seront en âge de le savoir et de le comprendre,

08:30 on leur expliquera exactement ce qu'on a fait avec Léo.

08:32 Tu sais que nous, on est des parents carrés, on aime bien nos enfants,

08:37 on s'occupe très bien de nos enfants.

08:39 Alors, c'est juste des gens qui ne nous connaissent pas,

08:43 qui nous critiquent, qui disent des choses, mais en fait, ils ne nous connaissent pas.

08:48 Alors moi, je sais comment on est, je sais comment on s'occupe très bien de nos enfants.

08:52 Et après, le reste, je ne m'en fous.

08:54 C'est vrai que quand on a été sur le plateau de TPMP,

08:57 durant trois soirs, ça a été un peu notre procès,

08:59 on se serait cru aux assises avec leur petit panneau,

09:01 comme s'ils avaient le droit de vivre au nom de leur famille.

09:04 Et moi, ce qui me dérange beaucoup, en fait, c'est que dans un débat,

09:06 justement, ce qui est enrichissant, c'est la divergence d'opinion

09:10 et la mixité des avis et des réponses qu'on a.

09:13 Par contre, quand on a des gens en face de soi qui vous ressentez,

09:18 et vous savez d'ailleurs personnellement qu'ils ne vous aiment pas personnellement,

09:21 et qui du coup font cette amalgame entre leur avis personnel et leur haine personnelle,

09:26 et du coup leur métier journalistique,

09:29 parce que quand je dis à Raymond Abou, "Tu es journaliste ?"

09:33 "Non, je suis chauffeur-livreur."

09:34 "D'accord, tu es chauffeur-livreur, mais par contre, ici, à TPMP,

09:36 tu as bien quand même une déontologie journalistique à adopter,

09:39 puis une éthique à respecter."

09:40 Donc, quand on voit qu'on mélange tout, qu'on te parle de story instable,

09:43 qu'on me parle d'une condamnation que j'ai eue il y a sept ans

09:45 parce que j'avais volé de la nourriture quand on avait des difficultés,

09:48 on voit bien qu'il y a une vraie haine personnelle.

09:50 Donc, en fait, ça rend complètement illégitime,

09:52 et puis pour moi, ça réduit à néant la qualité de leurs propos.

09:58 Je pense qu'ils se sont tirés une balle dans le pied tout seuls, en fait.

10:00 Et le mercredi, on devait se rendre là-bas pour être défendus

10:03 par une soi-disant psychiatre qui n'était ni psychiatre,

10:06 ni Nadande, ni Dave, qu'on ne connaissait pas,

10:09 et qui en fait, avait permis de nous juger,

10:10 au même titre que les chroniqueurs les plus virulents.

10:13 Effectivement, moi, le mercredi soir, j'ai un peu craqué,

10:16 je me suis un petit peu emportée parce qu'on m'a dit,

10:18 "Stop, stop au jugement, stop à la haine, on vous insulte,

10:21 on n'est pas des chiens, on ne va pas se faire traiter comme ça."

10:23 C'est pour ça qu'on a voulu y retourner il y a deux jours,

10:26 donc on est retournés sur le plateau il y a deux jours,

10:27 et là, j'ai pu m'exprimer et j'ai bien demandé

10:30 à ce que ce soit fait dans un respect mutuel.

10:32 Et on ressent toujours quand même cette haine de la part de Géraldine Maillet,

10:35 qui veut absolument appuyer, faire mal,

10:39 qui espérait peut-être me faire craquer, je pense que c'était son but,

10:41 mais bon, je lui souhaite bon courage.

10:43 Quand j'entends même Géraldine Maillet dans TPMP qui me dit

10:46 ce qu'on nous avait reproché dans le reportage qu'on a tourné

10:48 avec mon pote Jerem, qui avait nos accessoires

10:50 dans le coffre du convertible du canapé.

10:52 Déjà, il faut quand même rappeler que ce n'est pas un tiroir,

10:54 c'est un coffre du convertible qui est complètement verrouillé.

10:56 Les enfants ne peuvent pas rouillir d'une part.

10:58 D'autre part, les accessoires ne sont absolument pas là.

11:01 Là, c'était vraiment pour illustrer,

11:02 parce qu'encore une fois, on avait une faible amplitude d'horaire de tournage.

11:05 Les accessoires, nos jouets, comme je les appelle,

11:07 ils sont dans un sac fermé en hauteur dans notre chambre.

11:10 Et quand je lui dis ça à Géraldine Maillet,

11:11 elle trouve encore moyen de me dire,

11:12 "Oui, mais ce n'est pas normal d'avoir un ***** là, le fouet là."

11:15 Et pourquoi ? Combien de couples ont des ***** ?

11:17 Combien de couples ont le droit d'avoir des accessoires ?

11:20 Il n'y a rien de mal là-dedans, en fait.

11:22 Donc oui, on a toujours une ***** qui est débridée

11:25 et on n'est absolument pas perdus.

11:26 Je crois que notre GPS fonctionne bien.

11:28 On sait où on va.

11:29 Moi, je pense que Géraldine Maillet,

11:31 comme beaucoup des donneuses d'Olson de son type,

11:35 ce sont les premières qui devraient balayer devant leur porte.

11:38 On ressent quand même qu'il y a quelque chose de très, très enfoui en elle,

11:41 de très haineux.

11:42 Moi, je ressens quand même une haine vers les femmes en général.

11:45 On sent qu'elle est tout de suite très, très virulente avec les femmes

11:47 dès lors qu'on sort un petit peu,

11:49 qu'on est un peu hors des sentiers battus

11:51 et qu'on n'est pas dans des cases.

11:54 Donc moi, je l'invite plutôt à se recentrer sur elle-même.

11:57 Peut-être à faire une petite thérapie, ça ne lui ferait pas de mal, je pense.

11:59 Un, Guillaume Janton, alors lui, il me fait un peu rire.

12:04 Alors, il a la haine contre tout ce qui est marketing digital,

12:07 tout ce qui est un peu tous ces nouveaux métiers.

12:08 On se rend bien compte qu'il n'aime personne,

12:09 dès lors qu'on ne fait pas 35 heures par semaine à l'usine.

12:14 Il n'aime personne.

12:14 Mais bon, il faut quand même rappeler que ce monsieur, il est multimillionnaire.

12:17 Il a 40 voitures sans avoir le permis de conduire

12:19 qu'il laisse conduire par d'autres personnes.

12:21 Il était très content que je lui fasse des stories cet été

12:24 pour promouvoir son émission de radio qui sortait à la rentrée.

12:27 Et je l'ai fait de bon cœur.

12:29 Guillaume Janton, il n'est pas très profond dans ses ressentiments, je crois.

12:35 Et surtout, il ne se rend pas compte à quel point, en fait,

12:39 les propos qu'il tient sont graves,

12:40 parce qu'il va les balancer avec une légèreté,

12:43 sans penser aux conséquences, en fait, et au mal qu'il peut faire en face de lui.

12:47 Donc, Guillaume Janton, réfléchis avant de parler.

12:49 C'est un vrai métier, c'est un vrai travail.

12:51 On est reconnu par le Code du travail,

12:53 on est soumis au régime de l'URSSAF, on est imposable.

12:56 On n'est pas des délinquants, on ne vend pas de la drogue.

12:58 Donc, si c'est un vrai métier, si, si.

13:00 Ce n'est peut-être pas un métier qui lui conviendrait.

13:02 Ça, je l'entends, mais il y a plein de métiers qui ne conviendraient pas.

13:05 Mais c'est un vrai métier.

13:06 Donc, on a fait notre premier tournage professionnel pour Jackie et Michel,

13:08 alors que j'entends dire "avec Charles Deschty",

13:10 attention, on n'a pas fait "avec".

13:13 On n'a rien fait du tout avec qui que ce soit.

13:15 Donc, encore une fois, nous, vraiment, notre mot d'ordre,

13:19 c'est Alexandre et moi, moi et Alexandre et personne d'autre.

13:22 La seule chose qu'on a fait avec eux, c'est une interview.

13:25 Voilà, assis sur un canapé, exactement comme là,

13:28 répondre à des questions exactement comme là.

13:30 Et c'est tout.

13:31 Après, lui, dans le contexte du film,

13:34 il embrasse sa partenaire et ils s'en vont.

13:36 Ils quittent l'appartement où nous étions en train de tourner.

13:40 Et d'ailleurs, nous, comme on est quand même pudiques,

13:41 encore une fois, ça peut paraître paradoxal,

13:43 mais on est novices quand même dans le milieu,

13:46 on a demandé à ce qu'il y ait le moins de personnes possibles.

13:48 Donc, ils auraient dû au maximum l'équipe.

13:50 Et lorsqu'on a tourné la scène de "Hard",

13:52 voilà, la scène où on a des rapports,

13:56 il n'y avait plus que les deux GRIs qui étaient présents,

13:58 donc les deux caméramans, c'est tout.

13:59 Sinon, toutes les autres personnes qui étaient là ce jour-là,

14:01 parce qu'il y a eu toute une interview, un shooting photo, etc. avant.

14:04 Donc, c'est vrai qu'il y avait du monde.

14:06 Tout le monde a quitté le logement.

14:08 On était vraiment plus que les deux,

14:10 avec seulement les deux caméramans.

14:11 Et on s'est mis dans notre bulle et voilà.

14:13 C'est un peu particulier,

14:15 mais il faut savoir quand même,

14:15 c'est des gens qui nous ont mis à l'aise dès le départ,

14:17 parce que la scène de "Hard", dans la fin de journée,

14:19 voilà, donc il faut vraiment arriver à se mettre dans sa bulle.

14:22 Et je pense qu'encore une fois, notre force,

14:23 c'est qu'on est mariés femmes, quoi.

14:24 J'admire les acteurs qui arrivent à faire ça avec diverses personnes,

14:29 comme ça, c'est un vrai exercice mental, vraiment.

14:32 Les seules, on va dire, recommandations qu'ils nous ont données,

14:35 c'était juste la position adoptée par rapport à la caméra, à la lumière.

14:39 Parce qu'évidemment, on n'y pense pas forcément

14:41 quand on est dans le feu de l'action, on va dire.

14:44 Et juste quand on change de position, ils vous disent "next", c'est tout.

14:49 Mais après, on n'a rien eu d'imposé,

14:51 ni de scénarisé au niveau des positions ou des pratiques à faire.

14:55 On nous a laissé faire ce qu'on voulait.

14:56 Ça nous a rapproché vraiment de travailler ensemble dans ce milieu,

14:58 parce qu'autant quand je faisais du placement de produits, j'étais très seule.

15:01 Parce qu'Alex, il n'aime pas trop parler, on voit bien.

15:04 Après, on va dire que je le maltraite ou que je le viche,

15:06 mais non, c'est juste qu'il n'aime pas parler.

15:08 - On n'est pas pareils tous les deux. - C'est ça.

15:09 Et là, en fait, on est les deux tout le temps, tout le temps.

15:12 Et c'est trop bien, en fait.

15:14 Ça nous a clairement trop rapprochés, c'est ouf.

15:17 Justement, si tous les couples mariés avec enfants

15:19 seraient plus épanouis dans leur sexualité,

15:22 il y aurait peut-être moins de divorces, moins d'adultères.

15:24 Je pense que la sexualité, c'est quand même...

15:26 Il n'y a rien de tabou, il n'y a rien de sale.

15:28 Et je pense que c'est quand même l'équilibre de base d'un couple.

15:32 Parce que dans n'importe quel couple,

15:33 le jour où ça ne va plus, beaucoup de choses ne vont plus.

15:36 Donc, ce n'est pas pour rien.

15:38 Il faudrait aborder un autre aspect aussi,

15:39 parce que c'est vrai qu'on parle beaucoup des critiques,

15:43 du déferlement de haine, etc.

15:44 Mais en fait, on relève autre chose,

15:47 et qui prend de plus en plus d'ampleur aussi,

15:50 c'est l'inverse.

15:51 C'est en fait les femmes, donc beaucoup de femmes, des mamans de notre âge,

15:55 qui nous disent merci,

15:57 parce qu'elles se sont lancées sur les plateformes privées

15:59 depuis qu'on leur revendique, qu'on l'assume et qu'on le vulgarise.

16:04 Qui avaient envie de le faire et qui n'osaient pas,

16:06 par la peur que dès qu'on dit "ratons" et qu'on pense "ratons",

16:08 ou qu'elles étaient un peu embernées avec leur époux.

16:11 Et qui me demandent des conseils,

16:12 qui ont envie de redynamiser un peu leur vie de couple,

16:14 parce qu'elles ont envie de retrouver leur mari,

16:17 pas par le biais des plateformes, mais par contre vraiment dans le privé,

16:19 qui se sont un peu éloignées justement de leur époux.

16:23 Et qui me disent "qu'est-ce que tu penses que je pourrais faire, utiliser ?"

16:25 Ça, ça me fait hyper plaisir,

16:27 parce qu'au moins, le vrai message est perçu.

16:30 Parce qu'encore une fois, il n'y a rien de mal,

16:31 il n'y a rien de sale, il n'y a rien d'interdit.

16:33 Et au contraire, faites l'amour, pas la guerre,

16:36 et le monde se portera mieux, je pense.

16:38 - C'est clair.

16:38 [Musique]

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