✨Illan est de retour après 1 an d'absence avec des explications ! Après avoir été victime de plusieurs accusation, l'ancien candidat de télé-réalité se livre sur son combat.
✨Aujourd'hui, il va un peu mieux et nous explique son histoire, les accusations à son encontre mais surtout répond à tous ses détracteurs sans langue de bois !
✨ Illan nous parle de son possible retour en télé mais aussi, de ses projets à venir en avant première.
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AmusantTranscription
00:00 Pour moi, ça n'engage qu'à moi, ce n'est pas un journaliste,
00:04 et son équipe n'est pas objectif.
00:07 Puis c'est des casse-os, je vous dis la vérité, c'est des casse-os en fait.
00:10 J'en peux plus d'être associé à ces mots.
00:12 Sans preuves, sans victimes, sans rien, arrêtez !
00:15 Ça a été une année super difficile,
00:17 et il y a des fois, tu te bats pour un petit peu sortir la tête de l'eau,
00:19 et à chaque fois que j'arrivais un petit peu à sortir la tête de l'eau,
00:22 il y a quelqu'un qui venait,
00:24 et qui me remettait la tête sous l'eau, et en fait, à un moment donné, c'est trop dur.
00:27 Donc, à un moment donné, ouais, tu craques, parce que c'est trop.
00:30 En fait, ça devient de l'acharnement.
00:32 Tu vois que les sujets ne sont pas traités de la manière
00:33 quand il s'agit de moi ou quand il s'agit d'une autre personne.
00:36 Et j'ai prouvé maintes et maintes fois que je suis innocent sur tous les points.
00:41 Je vais faire attention à ce que je dis, parce que Sam Zira est très procédurier,
00:44 mais il n'a pas été impartial avec moi.
00:46 Son équipe n'a pas été impartiale.
00:48 Quand le sujet, c'est sans arrêt Ilan,
00:50 et que tu poses les questions qui t'arrangent,
00:52 et pas forcément les bonnes questions,
00:54 et bien, à un moment donné, tu craques.
00:56 Il y a le blogueur qui t'a répondu dans un communiqué.
00:59 Qu'est-ce que tu en penses, toi, de cette réponse ?
01:02 J'ai halluciné.
01:04 Je ne l'ai pas vue tout de suite parce que je n'étais pas bien,
01:06 je n'avais pas mon téléphone et tout, mais quand j'ai vu ça, j'ai halluciné.
01:09 Le mec, une fois, dans quel état je suis, je ne sais pas,
01:11 va faire un message à ma mère.
01:13 Est-ce que tout va bien ? On va m'envoyer un message.
01:15 Moi, Ilan, OK, ça va. Qu'est-ce qu'on peut faire, quoi ?
01:18 Un mec qui fait un communiqué, quoi.
01:20 J'ai halluciné.
01:21 Et en plus, c'était le deuxième communiqué qu'il a fait, c'était très vicieux.
01:25 Si tu lis entre les lignes, très, très vicieux.
01:28 En fait, quand je lis le communiqué, c'est une dinguerie.
01:30 En fait, il n'y a aucune remise en question.
01:33 Il n'y a, à un moment donné, aucune excuse.
01:35 Vous savez, moi, je me suis excusé auprès des femmes que j'ai pu blesser
01:41 par rapport à mon comportement que j'ai eu dans certaines téléréalités.
01:43 Parce que parfois, si je trompe ma copine
01:45 et qu'il y a une femme qui vient de se faire tromper,
01:47 elle peut se sentir blessée par rapport à un de mes actes que j'ai fait publiquement.
01:50 Je m'excuse.
01:52 Quand tu fais une connerie, tu te remets en question, tu t'excuses.
01:55 Quand tu vois qu'il y a des gens en face de toi qui sont touchés, en fait.
01:58 Aucune remise en question, c'est ça, moi, que je le reproche.
02:01 Il rappelle encore ce dont, pourquoi je lui dis de arrêter de parler de ça.
02:05 Lui, il dit, les productions ne devraient pas prendre des personnes fragiles.
02:09 En gros, il s'assure même dans son discours que je ne repuisse pas rebondir.
02:13 Vous voyez ce que je veux dire ?
02:14 Il s'assure en fait que parce que j'ai été fragile un moment de ma vie,
02:17 je ne peux plus rien faire.
02:19 Il dit qu'il y a des monstres qui ont été créés.
02:22 Ça veut dire que je suis un monstre.
02:23 Ils ne se rendent pas compte, en fait, que derrière, il y a des humains.
02:27 Et aujourd'hui, c'est quelqu'un qui fait très attention à son image.
02:30 Moindre truc, pouf, avocat.
02:32 Mais si tu savais le nombre de titres diffamants qu'il y a dans tes vidéos,
02:35 quand tu dis dans ton titre "Ilan giflé",
02:39 alors qu'à aucun moment, j'ai eu une histoire de chiffre
02:42 où j'ai été giflé ou quoi que ce soit dans la vidéo,
02:45 c'est diffamation.
02:47 Sauf que vous imaginez si à chaque fois qu'il y avait un article,
02:50 si à chaque fois qu'il y avait quelque chose, j'attaquais tout le monde en justice.
02:52 Déjà, je serais milliardaire.
02:54 Déjà, premièrement.
02:55 Et deuxièmement, j'ai autre chose à foutre, en fait.
02:57 Je suis au fond du trou,
02:58 le mec, il m'envoie un courrier d'avocat.
03:00 Mais si je suis mort, tu vas appeler qui à la barre ?
03:03 Un cercueil ?
03:04 Je ne sais pas, il faut avoir un minimum de bon sens, en fait, à un moment donné.
03:08 Il est là, le problème.
03:10 Il faut juste que ça cesse.
03:11 Arrête de parler de moi.
03:12 Ilan est sorti du game.
03:13 Ne parle plus de moi.
03:14 Parle des autres.
03:16 Ilan, stop.
03:17 Moi, je ne parle pas de toi.
03:19 Stop. Et je ne viendrai pas faire ton interview.
03:21 Je ne viendrai pas.
03:22 Pour moi, c'est un langage qu'à moi.
03:24 Ce n'est pas un journaliste.
03:26 Et son équipe n'est pas objectif.
03:29 Puis c'est des casse-os.
03:30 Je vous dis la vérité, c'est des casse-os, en fait.
03:34 Et là, je suis capable de prendre un courrier d'avocat parce que je dis que c'est des casse-os.
03:38 Je n'en peux plus d'être associé à ces mots.
03:41 Ce n'est plus possible, en fait.
03:43 Sans preuve, sans victime, sans rien.
03:45 Arrêtez.
03:46 Et puis, il pose toujours les questions qui l'arrangent.
03:49 Pourquoi vous détournez la chose encore une fois ?
03:51 Non, il faut poser aussi les bonnes questions.
03:53 Ça ne peut pas être que dans le sens des gens qui se plaignent.
03:57 Parce que vous imaginez si aujourd'hui la vraie justice,
03:59 elle serait sur les réseaux sociaux ?
04:01 Déjà, j'aurais la tête coupée.
04:02 Je serais déjà mort.
04:04 Alors que je n'ai rien fait.
04:05 Il faut juste que ça serve de leçon aux prochains.
04:07 Si vous n'aimez pas quelqu'un
04:09 et que quelqu'un dit du mal sur cette personne,
04:11 c'est peut-être pas vrai.
04:13 Et ce n'est pas parce que vous n'aimez pas cette personne
04:14 que ça vous donne le droit d'aller la harceler,
04:16 de l'insulter lui et toute sa famille.
04:18 C'est tout.
04:18 Je vois de tout et n'importe quoi sur les réseaux.
04:21 Oui, mais il y a plein de plaintes à son actif.
04:24 C'est super long les procédures, mais un jour il va...
04:27 Non, alors, je vous le dis,
04:30 il n'y a zéro plainte à mon actif
04:34 concernant ce genre de choses.
04:35 S'il y avait eu quelque chose,
04:36 ça ferait bien longtemps qu'on serait venu toquer à ma porte.
04:39 Et il faut arrêter de croire que ça met 10 ans
04:41 et que je ne suis pas au-dessus de la justice.
04:45 L'État français a mon adresse, mon numéro de téléphone.
04:47 Si j'avais fait quelque chose, ils savent où me joindre.
04:49 Je paie suffisamment d'impôts pour qu'ils puissent me retrouver.
04:52 Vous voyez ce que je veux dire ?
04:53 Donc, il faut que les gens arrêtent de dire
04:54 qu'il n'y a pas de plainte ou de choses comme contre moi, rien.
04:58 Par contre, moi, j'ai deux actions en justice
05:02 contre deux personnes qui m'ont causé du tort.
05:08 Donc, ces personnes-là vont être jugées, mais pas moi.
05:11 Moi, tout va bien.
05:13 Non, je pense que l'erreur que j'ai faite,
05:15 c'est que moi, je me croyais intouchable
05:18 parce que je ne fume pas, je ne bois pas, je ne me drogue pas.
05:21 Je n'ai jamais essayé même pas de tirer sur une clope un jour dans ma vie.
05:25 J'ai une vie super saine, je vais au sport,
05:27 je fais mes projets, je bosse à côté,
05:29 j'ai toujours plein de projets.
05:31 Donc, je me pensais intouchable parce que je me dis,
05:32 mais qu'est-ce qu'on a de projet à moi ?
05:33 Je n'ai jamais rien fait de fou dans ma vie.
05:36 Je n'ai jamais fait de dinguerie, j'ai une vie super saine.
05:39 La preuve que non, en fait.
05:40 Et c'est peut-être là, mon erreur.
05:42 C'est que je me suis senti tellement intouchable
05:44 qu'il y a des moments où je me permettais
05:48 plus ou moins de dire tout le temps ce que je pensais,
05:50 même si parfois, certaines vérités fâchent.
05:52 Et au moins, c'est une leçon de moral
05:53 et ça prouve à tout le monde que personne n'est intouchable, malgré tout.
05:57 Ce qui m'a fait le plus de mal, en fait, c'est que je me suis éteint quelque part.
06:01 C'est-à-dire que je ne suis plus la personne que j'étais avant,
06:05 quoi qu'il arrive, et ça, je ne pense pas que ça changera.
06:08 Je suis devenu beaucoup plus posé, je m'amuse moins.
06:14 Il n'y a plus personne qui rentre dans ma vie.
06:16 Moi, je ne veux plus fréquenter personne.
06:18 Parce qu'après, c'est des problèmes.
06:19 Après, c'est ci, après c'est ça, et je ne préfère pas.
06:21 C'est qu'à un moment donné, tu craques, en fait,
06:23 quand tu te sens un petit peu trop seul.
06:25 Et moi, je me suis vachement renfermé sur moi-même.
06:28 Et je trouve que ce n'est pas normal qu'à 29 ans,
06:30 tu restes chez toi, renfermé, que tu ne vois personne.
06:33 Et non pas parce qu'on te met de côté,
06:34 mais parce que tu as envie de voir personne.
06:37 Ce qui touche le plus, c'est qu'à un moment donné,
06:39 quand ta mère te dit "je ne suis pas bien",
06:41 tu apprends qu'elle va chez le médecin.
06:42 Mon père, il a fait un AIT.
06:44 C'est un peu l'équivalent d'un AVC pour ceux qui ne connaissent pas.
06:46 C'est un petit peu moins grave, mais tu peux en mourir.
06:49 Et c'est dû au stress.
06:50 Si vous avez votre maman qui est triste tous les jours,
06:53 qui pleure au téléphone,
06:54 votre papa qui commence à avoir des soucis de santé
06:56 par rapport à tout ce qui se passe,
06:57 vos frères qui ne sont pas bien,
07:00 que ce soit dans leur travail, dans leur vie privée,
07:02 par rapport aux mondies qu'il peut y avoir,
07:05 vos grands-parents, j'en parle même pas,
07:07 mais quand toute votre famille est mal,
07:09 que vous les voyez mal,
07:10 que vous aussi vous y avez perdu beaucoup,
07:12 c'est normal qu'à un moment donné, tu n'es pas bien et que tu craques.
07:14 Je veux dire, je reste un humain.
07:15 J'ai eu un coup de mou, tu craques.
07:17 Aujourd'hui, je vais un peu mieux.
07:19 Il y a pas mal de monde qui s'est inquiété,
07:20 beaucoup en privé.
07:21 Après, par la suite, j'ai dormi pendant deux, trois jours,
07:24 donc j'étais un peu dans le coltard.
07:25 Par la suite, tu te rends compte qu'en fait,
07:26 tu es peut-être un peu plus soutenu que ce que tu pensais.
07:28 Aujourd'hui, je sais qui sont mes vrais amis et qui ne le sont pas.
07:30 Aujourd'hui, tu as un suivi psychologique.
07:33 C'est peut-être pas la meilleure façon de penser,
07:36 mais je sais quel est mon problème.
07:38 Donc pourquoi aller voir un psy pour qu'il me dise quel est mon problème ?
07:40 À l'heure actuelle, j'allais très bien.
07:44 On m'a sali, on m'a fait beaucoup de mal,
07:46 donc c'est pour ça que je vais mal.
07:47 J'ai pas besoin d'un psy pour qu'il me le dise.
07:50 Aujourd'hui, je me sens un peu soulagé d'avoir pu parler.
07:53 Maïva a pris la parole aussi,
07:55 donc il y a des gens qui commencent aussi à parler.
07:57 Mais Maïva avait déjà pris la parole auparavant.
08:00 Ça n'avait pas le même impact que maintenant.
08:02 Les gens commencent à comprendre,
08:03 oui, c'est possible en fait, il y a des gens qui mentent.
08:06 Oui, c'est possible en fait.
08:08 Mais le problème des réseaux aujourd'hui, c'est que si quelqu'un dit,
08:10 ben, t'as fait.
08:11 Mais non, il y a aussi des conflits d'intérêts,
08:13 il y a aussi des gens qui sont ennemis,
08:15 il y a aussi des guerres.
08:17 Voilà.
08:17 Aujourd'hui, j'ai été victime de tout ce qui s'est passé, oui.
08:20 Mais bon, à un moment donné,
08:21 il y a des gens qui vivent des choses bien plus graves que moi.
08:24 Chacun ses soucis après,
08:25 mais je ne peux pas dire que je suis une victime non plus.
08:28 Même si je ne souhaite à personne ce que j'ai vécu,
08:30 parce que c'est horrible.
08:32 J'étais isolé, je me sentais seul,
08:33 mais d'un côté, t'as ta communauté qui est là.
08:36 Et moi, j'ai la chance d'avoir une communauté hyper solide.
08:40 Et c'est un peu comme ma famille en fait.
08:42 Donc je me sentais seul, exclu du monde réel si tu veux,
08:46 mais d'un côté, sur les réseaux,
08:48 je suis avec ma communauté,
08:49 donc c'est comme un peu ma famille.
08:50 Heureusement qu'ils sont là, j'ai envie de te dire.
08:52 J'ai des tontons, j'ai tous les âges,
08:54 et quand je reçois des messages de mamies qui me disent
08:57 « Ouais, moi j'ai 65 ans, j'ai 75 ans,
09:00 et je te suis, et t'inquiète pas,
09:04 on n'est pas bête, on sait très bien ce qui se passe,
09:06 pourquoi, comment. »
09:07 Il y a eu beaucoup de jalousie.
09:09 C'est réel, je suis monté trop haut trop vite.
09:11 C'est une vérité.
09:12 Il y a des gens qui veulent dire « Non, t'es personne,
09:14 non, t'es si… »
09:15 parce qu'on veut toujours te rabaisser.
09:17 Mais dans la télé-réalité, qui était mon milieu,
09:19 j'étais arrivé à un stade où voilà,
09:21 j'étais respecté, j'étais qui j'étais,
09:24 j'étais parmi les meilleurs.
09:25 Ça fait quoi pendant un an
09:27 pour essayer de passer à autre chose, de tourner la page ?
09:30 Ça a été super difficile parce qu'à un moment donné,
09:32 déjà, quand ta source de revenu principal
09:36 se stoppe du jour au lendemain,
09:39 je défie quiconque de pouvoir survivre à ça,
09:43 parce que c'est difficile.
09:44 Après, on va me dire « Oui, mais si… »
09:46 Non, je vous le dis, peu importe le train de vie que t'as,
09:48 si du jour au lendemain, on t'enlève tout,
09:50 soit t'arrives à trouver une solution rapidement
09:54 et tu t'en sors, soit tu meurs.
09:55 Et le truc, c'est que c'était difficile de rebondir
09:58 parce que t'es tellement dans un état psychologique
10:00 où tu réfléchis, où t'es pas bien,
10:01 où tu dois gérer les histoires d'un tel
10:03 et les procédures d'un tel.
10:06 C'est super difficile en fait.
10:07 Mais arrivé à 3-4 mois où j'étais pas bien,
10:10 je me suis repris en main et je me suis dit
10:11 « Là, il faut faire quelque chose
10:12 parce que sinon, tu vas perdre tout ce que t'as construit avant. »
10:14 Donc, j'ai ouvert trois business.
10:16 [Soupir]
10:21 Pour essayer de m'en sortir.
10:22 Et ça fonctionne, donc j'ai de la chance.
10:25 Après, je travaille dur pour.
10:27 Grâce à ça, ça m'a permis un peu de sortir la tête de l'eau déjà
10:32 et puis de m'en sortir aussi financièrement.
10:33 C'est une réalité.
10:35 - La télé, ça te manque ?
10:36 - Oui et non.
10:37 Oui, ça me manque parce que je suis quelqu'un
10:39 qui a toujours aimé le show.
10:40 Je suis quelqu'un qui a toujours aimé faire rire les gens.
10:43 Et j'adorais partir en tournage.
10:44 Mais d'un autre côté, ce qu'il faut savoir,
10:46 c'est que quand tu sors de tournage,
10:47 enfin quand tu sors de ce milieu un petit peu comme moi,
10:51 on est un peu sorti de force, mais bon, je suis un peu sorti.
10:54 Tu sors de toutes les histoires.
10:55 Et en fait, c'est hyper reposant quelque part.
10:57 Tu ne poses pas la question de « Attends,
10:59 est-ce que demain, il y a un tel qui va me clasher ? »
11:01 « Oh non, il faut faire ci. »
11:02 « Oh non, il faut faire ça. »
11:02 « Oh, je pars en tournage, je vais croiser celui-là que je n'aime pas. »
11:06 « La boule au vent, tout ça. »
11:07 Donc, tu en sors quelque part, tu souffles.
11:11 Bon, ça m'a fait souffler.
11:12 Mais ça me manque, oui, parce que
11:14 ça a été dur de se faire une place, en fait.
11:17 Et quand tu t'en chies pour te faire ta place
11:20 et qu'après, on te la soulève et on te la prend,
11:23 et en plus d'une façon hyper injuste,
11:27 c'est dur à avaler.
11:28 - Quel regard aujourd'hui sur la téléréalité ?
11:31 - Tout le monde crache sur la téléréalité.
11:33 Mais à un moment donné, il y a aussi des bons exemples dans la télé.
11:36 Je veux dire, tu peux en prendre, il y en a plein.
11:38 Tu prends les Tanti et les Garcia,
11:44 deux super exemples.
11:45 Ils ont des beaux enfants, ils ont une vie saine,
11:48 ils sont super bien.
11:51 Il n'y a pas que du mauvais dans la télé réalité, c'est pas vrai.
11:53 Mais, comme dans tout milieu, il y a des drames.
11:57 Et si j'ai la chance de retourner faire ce que j'aime avec les gens que j'aime,
12:00 parce qu'il y a un truc que vous oubliez,
12:01 c'est quand on fait de la télé, il y a toute une équipe derrière.
12:04 Toute une équipe qu'on aime.
12:05 Moi, c'est comme ma famille,
12:06 je les voyais trois, quatre fois par an pendant cinq semaines, deux mois et quelques.
12:10 Donc, c'est des gens que j'aime.
12:10 Donc, oui, j'aimerais retourner voir les gens que j'aime, faire ce que j'aime.
12:14 Maintenant, si je ne peux pas, je ferais autre chose.
12:17 Mais j'aimerais, parce que c'est hyper injuste,
12:20 reprendre ma vie que j'avais en France.
12:22 De toute manière, il faut se rendre compte que si moi,
12:25 je n'arrive pas à retourner dans mon show de prédilection,
12:32 celui que j'aime, voilà, je ferai ma propre télé réalité.
12:35 Je produirais ma propre télé réalité.
12:37 Et aujourd'hui, si personne ne veut l'apprendre, je la mettrais sur YouTube.
12:41 Quoi qu'il arrive, il faudra se faire à l'idée qu'Ilan continuera la télé réalité.
12:44 Sauf que ça ne s'appellera peut-être pas la télé réalité,
12:46 mais ça s'appellera peut-être la YouTube réalité ou la TikTok réalité s'il faut.
12:50 Mais oui, je continuerai ma vie sur les réseaux.
12:54 Je vais reprendre la musique, je vais reprendre le cinéma.
12:57 Les projets que j'avais laissés à l'abandon se réenclenchent maintenant
12:59 et je vais les reprendre et je vais me battre jusqu'au bout.
13:02 Et la vie, elle est encore longue, j'ai 29 ans.
13:03 Je tiens à remercier réellement toute ma communauté.
13:06 Et même il y a des gens qui ne me suivent pas, qui m'ont écrit.
13:08 Et toutes les personnes qui m'ont soutenu pendant cette période qui était vraiment difficile.
13:15 Ça montre qu'il y a encore des humains sur Terre.
13:17 Il n'y a pas que des gens méchants.
13:19 Et sincèrement, je vous remercie du fond du cœur,
13:22 parce que sans vous, ça serait sûrement très mal terminé.
13:26 [Musique]