Le député centriste Charles de Courson, passionné de questions budgétaires arides, s'est mué à 70 ans en opposant farouche à la réforme des retraites, à la manoeuvre pour tenter de censurer le gouvernement.
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00:00 groupe Liott, Charles de Courson.
00:02 Liott Mourson a souvent raison.
00:07 (Musique)
00:12 (Musique)
00:38 Monsieur le ministre, votre projet tout d'abord n'a pas de légitimité démocratique.
00:43 Messieurs les ministres, la confiance vous ne l'avez pas.
00:46 (Musique)
00:51 J'ai été directeur adjoint du ministre de l'industrie, de son cabinet, au milieu des années 80.
01:05 Je crois que je suis le dernier, j'ai été même rapporteur de ce texte sur la loi organique à l'époque.
01:13 Et ce n'était absolument pas l'objectif d'une loi de financement rectificative.
01:19 (Musique)
01:24 Le troisième EMA de l'article 122 de notre règlement prévoit deux cas de figure.
01:30 Soit la motion est déposée avant le début de la discussion générale, ce qui est le cas de la troisième motion.
01:40 Voilà mes chers collègues un petit commentaire de texte.
01:44 Je vous remercie.
01:46 Il n'y a eu que deux cas d'utilisation des lois de financement rectificative et jamais début janvier.
01:51 (Musique)
01:57 Je commencerai par saluer les propos sages et raisonnables de mon collègue de Courson,
02:02 qui incarne finalement la voix de la sagesse que votre majorité n'a pas su trouver.
02:06 Je vous demande au nom de tous ceux qui ont signé cette motion de nous expliquer en vertu de quelle disposition du règlement
02:15 vous avez refusé l'inscription immédiate de notre motion référendaire.
02:20 Merci beaucoup monsieur de Courson.
02:23 (Applaudissements)
02:27 (Musique)