Pourquoi Jean Benguigui était-il toujours au premier rang des manifestations ?

  • l’année dernière
A l'époque où Jean Benguigui faisait des manifestations, il était toujours devant, à cause de sa taille. Ce qui lui a valu quelques soucis...

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Transcription
00:00 Les grosses têtes de Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
00:09 Bonjour, heureux de vous retrouver.
00:12 Avec pour vous aujourd'hui, tout d'abord, le retour d'une grosse tête dans le grand studio.
00:19 Il faut dire qu'on lui a dit qu'il fallait travailler deux ans de plus.
00:22 Jean-Ben Guigui.
00:29 Une grosse tête qui sait que Mozart, lui aussi, a commencé à cotiser très tôt.
00:35 Olivier Bellamy.
00:37 Une grosse tête qui prendra dimanche sa retraite du théâtre des variétés.
00:47 Michel Bernier.
00:55 Une grosse tête qui investira le théâtre des variétés en juin avec son spectacle "La folle"
01:02 Yann Folli.
01:04 Une grosse tête qui, évidemment, à 13h était devant son poste pour regarder Emmanuel Macron.
01:16 Christophe Barbier.
01:24 Et une grosse tête qui ne pourra jamais parler jusqu'à 64 ans.
01:29 Sébastien Thoen.
01:32 En fait, vous prenez de l'avance, hein, Thoen, c'est ça ?
01:39 C'est la raison pour laquelle vous parlez autant.
01:41 Il était bien le président à 13h, M. Barbier ?
01:45 C'est lui ou sa mère qui a parlé ?
01:47 Convaincante !
01:49 C'était un moment extraordinaire.
01:51 Une réconciliation républicaine.
01:53 Ah oui, oui, vraiment ?
01:54 Nous mettons les réformes en pause, nous réconcilions le pays,
01:57 nous sommes pour l'apaisement, mais il faut respecter les institutions,
02:01 cette réforme des retraites était nécessaire.
02:03 Je vais piquer quand même à nos auditeurs que M. Barbier fait un résumé de ce qu'a dit Macron
02:06 alors qu'il est 11h du matin.
02:08 Mais, c'est pareil que d'habitude, de toute façon.
02:12 Oui, de toute façon, c'est ça, c'est parler qu'on n'a rien dit.
02:14 Exactement, donc on sait déjà ce qu'il va dire.
02:17 Ah oui ? Bon, il va peut-être y avoir une surprise, quand même.
02:19 Pas de remaniement, pas de dissolution, pas de référendum, pas de retrait de la réforme.
02:23 On ne demande pas de dissolution, on en demande une.
02:26 Et même pas des cacahuètes pour l'apéro !
02:29 Pas de divorce, rien du tout.
02:31 Non, vraiment ?
02:33 Je pense qu'il n'y a rien à attendre de cette allocution.
02:35 Ah non, non, non.
02:37 C'est vrai ?
02:39 Mais pourquoi il y va à 13h parce que ce soir il y a l'apéro et donc il est pris ?
02:44 Et puis il parle à la France de la province,
02:47 c'est-à-dire à la fois les sous-préfectures dont les poubelles brûlent
02:50 et les retraités qui sont chez eux à table et qui regardent le JT.
02:54 Ah ben oui, oui, c'est vrai.
02:55 Ils sont déjà à 13h, c'est rare.
02:57 Faut remonter à peut-être Mitterrand et Mourouzi pour trouver un moment important dans cette période.
03:01 Oulah, attendez, Mitterrand et Mourouzi, là, on est une radio jeune, monsieur.
03:05 Alors redites les prénoms, François…
03:08 François et Yves.
03:10 Ah non, vous êtes trop câblés pour nous, vous là, vous voyez.
03:14 Vous avez une poubelle, comment ça va la radio, mes amis ?
03:17 Me réveille doucement, Thoën.
03:19 Qu'est-ce qui se passe ?
03:20 Ça va, toi ?
03:21 Oui, moi, dès que je te vois, ça va super.
03:23 Je n'ai pas eu d'élection depuis trois mois, à part ce matin.
03:26 Est-ce qu'il se vend bien, ton livre ?
03:28 Bien sûr qu'il se vend bien.
03:29 Qu'est-ce que vous avez contre monsieur Benhamy ?
03:31 Je ne l'aime pas.
03:33 Je le trouve arrogant, déplacé, on n'entend que lui.
03:37 Il a besoin d'une tête de Turc.
03:39 Ah oui ? Ah ben il y a Benguigui pour ça.
03:41 Vous devriez plutôt saluer le retour de monsieur Benguigui.
03:44 C'est un honneur, franchement.
03:46 C'est super.
03:47 Ça fait plaisir.
03:48 Ça change tout.
03:49 Vous m'avez dit, il y a Pénélope Fillon.
03:50 Ah non, ça fait chier, mais Jean-Benguigui, ça fait plaisir.
03:52 L'air est plus coupant.
03:54 Ah oui, tu crois ? L'air ?
03:56 L'air, l'air.
03:57 En tout cas, t'étais super dans les manifs.
03:59 Je t'ai vu avec ta moustache, t'es à Philippe Martinez.
04:02 Oui, je t'ai vu.
04:03 Tu m'as vu ?
04:04 Oui.
04:05 Pourquoi t'as coupé la moustache ?
04:06 Parce que… pour passer plus discrètement, venir ici.
04:08 Mais moi, dans les manifs, dans le temps, quand je faisais encore des manifs, quand j'étais jeune,
04:11 comme je suis tout petit, tout le monde ne sait, je ne vois rien, j'étais toujours au premier rang.
04:15 Ah oui ?
04:16 Pour voir quelque chose.
04:17 Ah, je croyais que t'étais derrière la banderole, moi.
04:19 Et évidemment, j'étais considéré comme un meneur.
04:22 Tu fais photo des renseignements généraux.
04:24 Et j'ai eu des emmerdements.
04:25 J'expliquais que c'était uniquement à cause de mon presque nanisme que j'étais leader.
04:29 Mais non, vous n'êtes pas petit.
04:31 Non, non.
04:32 Plus que petit.
04:33 Non.
04:34 Et vous jetez sur les CRS, c'est ça ?
04:37 (Rires)
04:39 T'as un lancet de Ben Guigui sur la tronche.
04:41 Autant le taser, ça passe, autant ça.
04:44 Jean n'est pas petit, mais c'est vrai qu'il est quand même doubleur cascade pour Mimi Mathie.
04:47 (Rires)
04:49 Ah ça, c'est fin, c'est pas gentil pour Mimi Mathie,
04:51 qui est une beaucoup plus jolie fille que moi.
04:53 (Rires)
04:55 Elle est plus blonde en plus.
04:56 Ben oui.
04:57 (Applaudissements)

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