Après ses victoires vendredi en simple et ce samedi en parallèle, lors de l'ultime manche de la saison de Coupe du monde à Almaty (Kazakhstan), Perrine Laffont était l'invitée de « la chaîne L'Équipe ». La double championne du monde en titre est revenue sur son week-end et sur cette saison si particulière.
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00:00 la chance sur la chaîne équipe d'avoir celle qui nous en chante régulièrement
00:04 tous les week-ends sur la chaîne équipe, c'est une véritable star Périne Laffont.
00:07 Bonjour !
00:08 - Bravo !
00:09 - Périne, c'est vrai, ici vous êtes à la maison, vous le savez.
00:16 - Oui, je connais les locaux, je connais tout le monde, je fais la bise à tout le
00:19 monde.
00:20 - Pour nous en tout cas et pour les gens qui nous regardent, pour les téléspectateurs
00:22 de la chaîne équipe, évidemment on vous suit avec une saison vraiment palpitante,
00:26 cette année, et puis remplie, parce qu'on les a sur le plateau, remplie de trophées,
00:31 deux médailles d'or au Mondiaux, un gros et un petit globe, c'est la saison parfaite
00:35 on peut dire ?
00:36 - Je pense qu'on peut appeler ça une saison presque parfaite, parce que rien n'est parfait
00:41 et une saison parfaite serait de tout gagner, mais c'est surtout une saison qui a été
00:45 très enrichissante, où j'ai énormément appris encore sur moi-même, sur mon mode
00:50 de fonctionnement, et c'est clair que je pense que je ne réalise pas encore tout ce
00:55 qui s'est passé et toutes les mulations que ça a eu, mais c'est une saison assez
00:59 incroyable sportivement.
01:00 - Oui, parce qu'en plus il y a eu ce nouveau saut que vous avez mis en place, ce changement,
01:05 ça a été vraiment un palier, c'est ce qui vous a valu aussi ces super performances.
01:09 On va voir quelques images, mais je voulais que l'on regarde votre fiche technique avec
01:15 Virginie Saincily, pour qu'on se rende compte de ce que ça représente Périne Lafon aujourd'hui.
01:19 - Oui, parce que Périne Lafon cette saison, vous venez de le dire, mais je vais vous donner
01:22 les détails par an de chronologie, c'est le doublé au Mondiaux de Bakouriani en février
01:26 avec une médaille d'or sur l'épreuve parallèle au lendemain de son sacre enceinte, le doublé
01:30 au Mondiaux d'Almaty samedi dernier avec la victoire sur la course en parallèle qui lui
01:34 offre le petit globe de la discipline, et puis le huitième gros globe de cristal de
01:38 sa carrière surtout, toujours au Kazakhstan, qui vient récompenser sa première place
01:42 au classement général.
01:43 - Bon, c'est du très lourd Périne, surtout que, vous l'avez dit, il y a eu un vrai travail
01:49 personnel aussi sur vous-même que vous avez effectué, on va regarder techniquement juste
01:53 un petit run, championnat du monde, comme ça on se le met, on se le regarde ensemble,
01:57 alors on ne met pas les comms, on voulait vous entendre, nous le commenter un petit
02:00 peu, nous dire...
02:01 - C'est moi alors, là ça va être génial parce que moi je suis vraiment très dure
02:05 avec moi-même, mais non, je pense que c'est un des plus beaux runs que j'ai réussi à
02:10 faire en compétition, là au niveau du ski c'était quand même très relâché, il y
02:16 avait assez d'air sur le saut du haut, ce qui m'a permis du coup de reprendre très
02:20 vite dans les bosses et ce qui a payé au niveau des jus, je pense, c'est la stabilité
02:24 là du corps qui a fait que, ben voilà, on a eu des notes et des scores très élevés,
02:29 on est monté jusqu'en 87 et je crois que c'est un des plus beaux 10 spins en bas que
02:33 je fais de la saison, au niveau de la forme, de la réception et c'est un des runs les
02:38 plus aboutis de cet hiver.
02:40 - Bon, ce qu'on vient de voir, le fameux 10 spins dont vous parliez, c'est ça, là,
02:43 la nouveauté qui fait que vous êtes...
02:45 Non, c'est pas ça !
02:46 - Presque, mais pas ça !
02:47 On a fait le choix stratégique de ne pas le faire aux championnats du monde parce que
02:51 j'avais déjà assez d'avance sur les points avec un run un peu plus simple comme celui-ci,
02:56 mais ça veut dire que c'est cool parce que même avec des runs un peu plus simples...
03:00 - Même avec les vieux runs !
03:01 - Même avec les vieux runs et ce que je sais faire, c'était devant, ça fait un doublé
03:06 aux mondiaux et ça c'est du coup de bon augure pour la suite.
03:09 - Bernard Mendy a mal aux genoux quand il vous voit...
03:12 - Moi je serais déjà tombé, mais...
03:13 - Mais non, mais c'est de l'entraînement, il faut qu'on aille skier ensemble et pour
03:17 ça je te donnerai les bonnes techniques.
03:18 - Avec plaisir, mais ça va être très dur.
03:21 - Mais non, merci !
03:22 - Je vais te regarder plutôt admirer.
03:25 - C'est un sport de bonheur, Bernard, quand on le voit, quand même.
03:28 - Oui, c'est très costaud, bravo à elle.
03:31 Et moi, je me demandais comment tu fais sur la prépa mentale ?
03:34 - C'est une très longue histoire.
03:37 C'est une longue histoire parce que, oui, au final, le sport dit haut de niveau, je dirais
03:41 que dans le top 10 mondial, on est tous capables de gagner et mentalement, en fait, c'est celle
03:46 qui va réussir à tenir le plus la pression, tenir le plus le stress et qui va faire que
03:51 ça ne l'inhibe pas en fait en compétition et enchaînée aussi parce que mine de rien,
03:56 la saison, elle est longue.
03:57 Là, on l'a vu cet hiver, l'Australienne, elle a craqué aux mondiaux, la Japonaise,
04:01 elle n'a même pas couru et je me suis retrouvée un peu du top 3, la seule sur les dernières
04:05 courses.
04:06 - Et Pyrénée, là, on voit, parce qu'on vous a vu tout à l'heure, donc toute seule,
04:10 là, on voit en parallèle, en duel, les fameux duels, là, c'est encore plus mental, j'ai
04:14 envie de dire, les duels où vous excellez aussi, en fait.
04:16 - Oui, et c'est une discipline que je n'appréciais pas trop au début parce que, justement, il
04:19 y avait vraiment ce fight et cette notion de mental où il faut rester focus sur soi,
04:24 mais tentant, le skieur à côté avancé qui va vite et, mine de rien, en fait, j'ai
04:29 énormément progressé en duel parce que, justement, mentalement, maintenant, j'arrive
04:32 à être plus focus sur moi-même et à faire ma course.
04:35 Et là, on voit sur le run des championnats du monde, Jayleen était devant moi tout le
04:38 temps, mais, en fait, je l'ai laissé faire et je l'ai rattrapé sur le saut du bas et
04:42 ça, c'est vraiment un point de technique, vraiment, qui fait la différence sur le duel.
04:48 - Pour beaucoup, être quatrième au JO, c'est super, pour Pyrénée Lafon, c'était une
04:52 déception.
04:53 Est-ce que, là, cette saison, ça permet d'avoir complètement tourné la page ?
04:57 - Oui, ça permet de passer à autre chose et puis c'est surtout qu'en fait, ça m'a
05:02 servi, mine de rien, cette quatrième place parce qu'il y avait eu des erreurs qui avaient
05:05 été faites et choses que je n'ai pas refaites cette année et, du coup, que ça a plutôt
05:10 bien marché.
05:11 Donc, je pense que de tous les échecs, de toute façon, on en tire des leçons, on apprend,
05:15 on grandit surtout et cette quatrième place fait que, voilà, maintenant, je peux dire
05:21 que je suis la skieuse la plus titrée des mondiaux et elle m'aura permis de me construire
05:25 aussi.
05:26 - Vous êtes la Kingsbury aux féminins, un peu.
05:29 - Je commence.
05:30 - On va dire que la Kingsbury, c'est l'ogre chez les garçons.
05:33 Il y a Pyrénée Lafon de l'autre côté, quand même, chez les filles.
05:35 - Oui, peut-être quand j'aurai le même âge que lui, j'aurai le même palmarès.
05:39 Il a un petit peu d'avance, il a six ans de plus, donc peut-être que ça va arriver.
05:43 - Ça nous promet les belles saisons sur la chaîne d'équipe.
05:45 On va continuer à vous suivre.
05:46 - Je serai là, il n'y a pas de souci.
05:48 - Alors, Pyrénée, nous, il y a un truc qu'on adorait, ça, c'est le message de France Pirron,
05:51 mais il y avait votre chaîne YouTube.
05:53 Vous nous partagez beaucoup de moments en coulisses.
05:55 On va voir juste toutes ces petites vidéos que vous nous postiez.
05:59 On s'est aperçues, là, il y a depuis un petit moment.
06:02 - Il y en a moins.
06:03 - Il y en a moins.
06:04 Ça vient de quoi ? Vous vouliez vous protéger ?
06:05 - Oui, c'est vrai que mine de rien, ça prend du temps.
06:09 C'est des vidéos que je faisais moi-même.
06:10 Et avec l'avancée de ma carrière, il y a du travail en plus à côté, des sollicitations,
06:16 des sponsors.
06:17 Et du coup, ça me laissait beaucoup moins de temps pour faire ces petites vidéos.
06:20 Et puis, même ces deux dernières années, au niveau mental, elles ont été dures.
06:25 Il y a eu les jeux l'année dernière, donc ça a été très éprouvant.
06:27 Cette année, c'était un petit peu le retour, la reconstruction.
06:31 Et il faut faire des choix dans une carrière.
06:33 Il ne faut pas vouloir s'éparpiller, faire plein de choses, parce qu'après, tu perds
06:37 du temps et tu en oublies d'être focus sur le ski.
06:39 Et c'est pour ça que là, j'ai mis un petit peu de côté les vidéos et pour me concentrer
06:44 vraiment que sur l'hiver.
06:45 - Il y a la nouvelle Périne Lafon.
06:46 On a le sentiment, et juste parce que je rappelle, et on parlait de ce sport qui est un peu malade
06:50 quand même, Bernard, parce qu'il faut y aller.
06:52 Et quelque part, il faut un peu poser le cerveau, même s'il faut être très concentré, Périne.
06:55 Mais il y a un peu ce côté-là quand même quand on est en haut.
06:57 Parce que si on commence à mentaliser ce qu'on fait, on se dit qu'on est un peu fou.
07:01 Et on s'aperçoit, d'ailleurs c'est les très jeunes souvent, vous vous avez attaqué très jeune.
07:05 Et derrière, il y a toute une vague de jeunes filles qui arrivent, 16, 17, 18 ans, qui sont en train de monter.
07:09 Vous, à 24 ans presque, on verra l'âge de la retraite.
07:12 On ne va pas parler de la retraite en ce moment, mais presque.
07:15 Ça, il y a un duel, oui, avec l'âge pour vous, déjà à 24 ans, à regarder les petites jeunes qui arrivent.
07:20 - C'est sûr que c'est une gestion, clairement, parce qu'il y a les petites jeunes de 17, 18 ans qui poussent.
07:27 Mais je dirais qu'il faut juste l'accepter.
07:30 Et ça fait partie du sport.
07:32 Je pense que c'était la même chose quand moi je suis arrivée en Coupe du Monde.
07:35 Et c'est ce qui fait la beauté du sport.
07:37 Là, maintenant, les petites jeunes, elles poussent.
07:38 Et nous, les un peu plus anciennes, parce que franchement, à 24 ans, je ne peux pas me dire vieille de mon sport.
07:44 Mais qui nous poussent à aller dans nos retranchements.
07:47 Et c'est ce qui me fait grandir en tant que skieuse.
07:50 Voilà, maintenant, ça pousse derrière.
07:51 Et si je veux continuer d'être devant, il faut au taffé.
07:54 - Alors, qu'est-ce qui se passe ?
07:56 Qu'est-ce qui se passe ?
07:57 - Oulà !
07:58 - Parce que il y a Périne Lafon !
08:00 Il y a Périne Lafon !
08:01 Le skid-boss, c'est ma passion.
08:02 - C'est lui !
08:03 - C'est l'idole, mon idole.
08:04 Après, il y avait Edgar Opiron.
08:06 Maintenant, il y a Périne Lafon.
08:07 Et c'est merveilleux.
08:08 On est content.
08:09 - Attends, attends.
08:10 Je rappelle juste, ce n'est pas un sketch.
08:11 - Non, ce n'est pas un sketch.
08:12 - C'est vrai.
08:13 - C'est le vrai Pierre-Antoine Dacau.
08:14 - C'est parti.
08:15 Non, juste, Périne, est-ce que vous n'en avez pas ras-le-bol ?
08:19 Parce que j'ai regardé.
08:20 - Qu'on ne puisse pas faire du skid-boss ensemble.
08:21 - Oui, mais ça, on va le faire.
08:22 Promis, l'année prochaine.
08:23 J'ai compté 66 267 jeux de mots dans la presse sportive.
08:28 Lafon, Laforme.
08:29 - Ah oui, c'est ça.
08:30 - Alors, je vais m'adresser à tous les journalistes, d'accord ?
08:32 Parce que regardez, j'ai fait une revue de presse.
08:33 Les Lafon, Laforme, on n'en peut plus.
08:35 Regardez, c'est parti.
08:36 On a eu du Lafon, Laforme, évidemment, partout, du jeu de mots.
08:38 - Oh, sur l'équipe aussi, même.
08:39 - Si, regardez.
08:40 Lafon, Laforme.
08:41 - L'équipe, en plus.
08:42 - C'est chaud.
08:43 On continue.
08:44 On a eu quoi d'autre ?
08:45 Évidemment, ça s'enchaîne.
08:46 Lafon, Laforme.
08:47 Voilà, allez.
08:48 Ça, c'est Périne, Lafon, Laforme.
08:49 Il y a des petites variantes, parfois.
08:51 C'est Lafon, toujours, en France.
08:52 - Elle est pas mal.
08:53 C'est encore l'équipe.
08:54 Franchement, il va falloir se renouveler, je pense.
08:55 - Oui, mais nous, qui aimes bien Chaty.
08:56 - Oui, mais vous avez tellement d'articles sur l'équipe.
08:57 - Laforme, pas mal.
08:58 Et même au Japon, Périne, je vous assure.
08:59 - Non.
09:00 - Il faut traduire.
09:01 Il faut traduire.
09:02 Périne, Lafon, Laforme.
09:03 Mais vous n'êtes pas la seule, Périne, à souffrir, puisqu'il y a aussi, évidemment,
09:09 Alban, Lafon, qui souffre avec...
09:12 On va la voir.
09:13 Pas du tout.
09:14 Ah non, ils ont mis...
09:15 - C'est Alban, Lafon.
09:16 - Ah oui, bah là, voilà.
09:17 - Ça, c'est vous, ça.
09:18 - Non, c'est Périne.
09:19 Regardez, l'évolution et moi.
09:20 Le casque avec les oreilles me manquent.
09:21 - Oui, mais ça, c'est...
09:22 Il faut savoir passer à autre chose, au bout d'un moment.
09:23 - Et le saut écart, c'était quand même pas mal.
09:24 - Oui, mais c'était old school, quoi.
09:25 - Il faut revenir à l'époque.
09:27 - Bah, la concurrence, elle est rude, quand même, maintenant.
09:28 Si t'as pas de backflip, de tête en bas...
09:29 C'est pour ça que toi, je sais pas si ça va le faire.
09:30 - Non, moi, je suis mort.
09:31 Moi, quand j'étais petit, j'avais pas le droit de mettre la tête en bas, donc ça
09:32 m'arrangeait plus.
09:33 - Ah bon ?
09:34 - J'avais peur sur le saut.
09:35 J'aurais été un peu...
09:36 - Mais si on fait du ski ensemble, il faudrait mettre la tête en bas.
09:37 - OK.
09:38 Bon, je vais m'entraîner.
09:39 - On en a besoin encore, un petit peu.
09:40 Vous nous le calez pas, Périne.
09:41 - Oui, mais s'il a une jambe en moins, il pourra toujours parler et commenter.
09:42 C'est bon.
09:53 - A tout à l'heure, Périne.
09:54 A tout à l'heure.
09:55 - A tout à l'heure.
09:56 - Dans l'équipe de Gleic.
09:57 - Merci beaucoup.
09:58 - Salut.
09:59 - La fond, la forme, Pierre-Antoine.
10:00 Périne, je voulais juste terminer parce qu'il y a les JO qui arrivent, mais à Paris, l'été,
10:01 vous, vous êtes pas concernée.
10:02 - Non, à moins que je change de métier.
10:03 - Non, non, non.
10:04 - Vous êtes pas concernée.
10:05 - Non, non, non.
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10:07 - Non, non, non.
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11:40 - Vous êtes pas concernée.
11:41 - Non, non, non.
11:42 - Vous êtes pas concernée.
11:43 - Non, non, non.
11:44 - Vous êtes pas concernée.
11:45 - Non, non, non.
11:46 - Vous êtes pas concernée.
11:47 - Je pense que tout à l'heure, Bernard Mendy nous a lancé un petit piège sur les naissances.
11:51 Vous êtes née à Lavalanais, dans la même ville qu'un très grand, alors on dit pas,
11:56 est-ce qu'ils le savent, un très grand footballeur français.
11:58 - Si vous savez pas ça, c'est quand même un shame.
12:00 - Là, quand même, Bernard, Lavalanais, champion du monde 98.
12:04 - Ouais.
12:05 - J'en dis pas plus parce que si je donne son poste, évidemment, ça va être...
12:09 - Il avait moins de cheveux que moi.
12:12 - Voilà.
12:13 Voilà, gros indice.
12:14 98, champion du monde 98.
12:16 - Barthez.
12:17 - Oui, Barthez, l'arrière-joie, Barthez, voilà.
12:18 Eh oui, elle est de la même ville.
12:19 - Les cheveux.
12:20 - Alexis Pintureau sera avec nous, Périne, demain, à votre place, pareil.
12:24 Vous avez un message pour lui ou pas ?
12:26 - Bah, juste bravo pour sa saison.
12:28 Je pense que le titre au Mondial a été exceptionnel et on voit à quel point Alexis a une grande
12:34 force mentale aussi.
12:36 Ce qu'il a fait, c'est juste incroyable et ça donne des frissons, ça nous inspire,
12:40 nous aussi.
12:41 - Ouais, il y a connivence, ce qui est alpin, ce qui est acrobatique.
12:43 - Bah oui, je pense qu'on s'inspire tous les uns les autres.
12:46 - Pas que en ski, moi j'adore regarder les autres sports parce que la carrière de chacun
12:51 est tellement intéressante et tellement inspirante aussi.
12:53 - Merci beaucoup.
12:54 - Merci à vous.
12:55 - Périne Lafon.
12:56 - Merci Périne.
12:57 - L'arrière-joie de la grande championne.
12:58 - Merci, bravo.