• l’année dernière
C’est la semaine de la langue française et de la francophonie. Un constat notamment a été effectué : l’arrivée de la technologie a signé la fin des échanges épistolaires et l’avènement de l’écriture en abrégé.  

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Transcription
00:00 Entre les jeunes générations et leurs aînés, chacun sa langue.
00:03 JPP, il y avait les initiales d'un footballeur, Papin.
00:10 Moi je connais Azap, mais je ne connais pas ASKIP, peut-être pareil, ASUNAS, je ne sais pas quoi.
00:15 C'est sans compter sur ses locutions mal utilisées et devenues d'éthique de langage.
00:20 Du coup, oui ça effectivement, je l'entends très souvent dans ma famille, oui oui effectivement.
00:26 C'est un peu répétitif, mais on ne se sent pas.
00:29 Pour cet essayiste, la langue française n'est pas en danger.
00:32 Effectivement, je pense qu'il y a une évolution et une mutation.
00:35 Alors, est-ce qu'il faut parler d'appauvrissement ?
00:38 On peut le constater toutefois et en fait, on peut même l'expliquer.
00:43 Et cet appauvrissement, il est aussi lié aux méthodes pédagogistes,
00:46 à celles qui consistent à dire qu'il faut diminuer le niveau d'exigence des élèves
00:50 et ceux dans tous les domaines, y compris ceux des apprentissages de la langue.
00:54 Un constat qui vaut ici pour l'écrit.
00:56 L'arrivée de la technologie a signé la fin des échanges épistolaires
01:00 et l'avènement de l'écriture en abrégé.
01:04 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:07 [SILENCE]

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