Le journal RTL de 12h30 du 24 mars 2023

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Regardez Le journal RTL du 24 mars 2023 avec Céline Landreau.

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00:00 Vous êtes sur RTL.
00:02 RTL midi, le 12/30, Céline Landreau et Pascal Praud.
00:12 12h30, la grande édition de Céline Landreau.
00:15 Avec à la une évidemment cet événement rarissime, une visite d'État
00:19 reprogrammée en raison de l'actualité politique et sociale.
00:23 Charles III ne viendra pas en France comme c'était prévu en début de semaine prochaine.
00:28 Le premier voyage d'État du monarque britannique est reporté à la demande de l'Élysée,
00:34 font savoir les autorités britanniques.
00:35 Et cela en raison, vous l'imaginez bien, de la situation politique et sociale extrêmement tendue dans le pays.
00:41 Alors qu'une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites est annoncée mardi.
00:46 Et que celle d'hier a été émaillée d'incidents dans tout le pays,
00:50 des affrontements avec les forces de l'ordre dans plusieurs villes.
00:54 Plus de 450 interpellations à la clé, a fait savoir le ministère de l'Intérieur.
00:58 On reviendra dans ce journal sur le profil de ces casseurs qui cherchent l'affrontement avec les autorités.
01:04 Cette réforme des retraites, le climat social, c'est aussi l'objet de la question du jour sur notre site rtl.fr.
01:10 Faut-il comme l'a demandé sur notre antenne Laurent Berger, le leader de la CFDT,
01:14 mettre sur pause cette réforme qui cristallise tant de tensions ?
01:20 Dans cette édition également, on va parler football puisque les éliminatoires de l'Euro 2024 commencent ce soir pour les Bleus.
01:27 Les joueurs de Didier Deschamps emmenés par leur nouveau capitaine Kylian Mbappé affronteront les Pays-Bas.
01:31 Le coup d'envoi sera à 20h45.
01:34 Et puis votre rendez-vous culture comme chaque jour, à l'VT Midi juste avant 13h.
01:38 On va rendre hommage tout à l'heure avec Isabelle Morini-Mosque à Marion Gham.
01:42 Vous la connaissez peut-être plus sur le nom du guet dans "Scène de ménage",
01:47 la série d'M6 avec qui elle formait un couple avec Raymond, couple truculent.
01:52 On a appris sa disparition ce matin, elle avait 84 ans.
01:55 On en parlera évidemment avec les auditeurs à partir de 13h30 pour dialoguer jusqu'à 14h30.
02:02 La météo pour cet après-midi, c'est avec vous Anthony Kaczmarek.
02:05 Aujourd'hui, c'est instable.
02:07 Bah oui, instable, agité avec de la pluie, dégiboulé, de fortes rafales de vent, mais toujours de la douceur.
02:12 Merci Anthony, les détails comme à chaque fois à la fin du journal.
02:16 Un report rarissime provoqué, on le disait, par la situation sociale.
02:23 Charles III ne viendra pas en France comme c'était prévu à partir de dimanche soir.
02:29 Le déplacement est annulé, on l'a appris en fin de matinée.
02:32 Un report à la demande de l'Elysée, c'est ce qu'ont fait savoir les autorités, Thomas Dépré,
02:37 les autorités britanniques qui ont apporté cette précision.
02:39 En réalité, en coulisses, plus personne ne défendait l'idée de cette visite.
02:42 Victime collatérale de la crise politique et sociale en cours.
02:45 Imaginez l'image, les tenues de soirée, les coupes de champagne,
02:48 et surtout, surtout, la magnifique galerie des glaces de Versailles.
02:52 Une idée complètement con, me disait hier encore un conseiller de la majorité.
02:56 En réalité, les choses se sont accélérées ces toutes dernières heures.
02:59 Il y a d'abord eu l'annonce de l'intersyndicale hier, d'une nouvelle journée de mobilisation mardi.
03:04 Les images cette nuit de la porte de l'hôtel de ville de Bordeaux en feu,
03:07 et puis la crainte de nouveaux débordements mardi.
03:10 Le roi et Emmanuel Macron se sont appelés ce matin, nous dit l'Elysée.
03:14 Ce n'est pas le meilleur moment pour recevoir un roi, convient une conseillère du président.
03:17 Annulation à la demande de la France, donc on vient de le dire.
03:20 Il faut dire que tout était prêt, les chefs, le menu, le programme.
03:23 Nous conviendrons d'un meilleur moment plus tard, dit l'Elysée.
03:26 Reste à savoir si cette annulation signifie qu'Emmanuel Macron souhaite reprendre la parole devant les Français,
03:31 ou si au contraire, il anticipe que le mouvement va durer.
03:34 Est-ce que ça veut dire effectivement qu'il ne se passera rien avant mardi, par exemple ?
03:40 En tout cas, qu'il anticipe que mardi, on n'aurait parlé que de cette visite sur les côtés négatifs.
03:46 Les manifestations, la sécurité, et qu'il n'aurait pas pu parler de la visite d'Etat comme il l'aurait souhaité,
03:52 c'est-à-dire avec la gastronomie française, avec la beauté du palais de Versailles.
03:58 Donc voilà, en tout cas, ils savent qu'on n'en aurait pas parlé de la manière dont ils auraient aimé.
04:02 Voilà pourquoi ils annulent cette visite.
04:04 Une annulation, un report pour être plus précis, puisque le roi Charles et Camilla se réjouissent, disent-ils, d'aller en France,
04:10 dès que de nouvelles dates auront été trouvées.
04:13 Report, en tout cas, salué par une partie de l'opposition.
04:16 C'était le cas de l'écologiste Sandrine Rousseau. Écoutez.
04:18 Je pense que c'est une décision sage, parce qu'il était hors de question qu'Emmanuel Macron ne change pas son agenda
04:24 avec le conflit social et l'ampleur qu'il prend dans le pays.
04:28 Et ça n'était pas possible non plus qu'il aille trinquer à Versailles dans la galerie des Glaxes avec Charles III
04:33 quand le peuple se révolte et a faim.
04:36 En fait, vraiment, il y a une image qui était absolument terrible.
04:39 Et par ailleurs, c'est la première fois qu'Emmanuel Macron, depuis le début du conflit, modifie son agenda.
04:46 Donc, voilà, j'ai l'impression que quelque chose est en train de prendre.
04:49 Là, Emmanuel Macron, pour la première fois, donne un signe, qui est quand même un signe extrêmement faible,
04:54 enfin, avec contact, d'un premier signe que la France est en crise.
04:57 Donc, actons moins cela, oui.
04:59 Sandrine Rousseau, l'écologiste, jointe pour RTL par Marie Mollet.
05:03 Charles III a été attendu lundi matin sur les Champs-Elysées,
05:07 observé par les curieux, les amateurs de la monarchie, qui auraient été au rendez-vous des Parisiens.
05:13 Un peu surpris ce matin à l'annonce de ce report, c'est ce que vous avez constaté.
05:17 Place de la Bourse, Alexandre de Saint-Aignan.
05:19 Oui, après plusieurs nuits d'émeutes dans les rues de la capitale, Karim estime que le roi Charles peut attendre.
05:26 Je trouve que c'est une bonne chose.
05:27 Pourquoi c'est une bonne chose ?
05:28 Ce n'est pas le moment de parler de Charles III.
05:29 Je pense qu'on a d'autres sujets en ce moment qui prennent l'actualité.
05:32 Il faut quand même se concentrer sur ce qui fait l'actu en ce moment.
05:34 Et ensuite, on verra pour les visites de courtoisie.
05:36 Et pour Flora aussi, le timing n'est pas bon pour l'image de la capitale.
05:39 En plus, avec toutes les poubelles dans Paris, je pense qu'on n'est pas très accueillant.
05:45 Oui, mais Régis, lui, regrette. Il aimerait bien tourner la page de la réforme des retraites.
05:49 Je trouve que c'est bien dommage.
05:51 Je pense que c'est un peu donner raison aux manifestants.
05:54 Une nouvelle fois, c'est la rue qui gère le pays.
05:57 Heureusement, ce n'est que partie remise.
05:59 Non, il pourra venir une autre fois.
06:01 On n'est pas très loin, c'est à 2h.
06:02 Et pour l'instant, la date d'une nouvelle visite de Charles III n'a pas encore été communiquée par le palais de Buckingham.
06:08 Alexandre de Saint-Aignan dans les rues de Paris pour RTL.
06:10 Je le disais, ce report est donc rarissime.
06:12 Et provoqué par la situation sociale, alors que les syndicats ont annoncé d'y reçoir une nouvelle grande journée de mobilisation contre la réforme des retraites.
06:21 Ce mardi, en pleine visite royale.
06:23 Et alors que la grande journée de mobilisation d'hier a déjà été émaillée par de nombreux incidents dans plusieurs villes du pays.
06:31 A l'ouest, notamment, c'était le cas à Rennes, Mathieu Lopinot.
06:35 Où comme ailleurs, des affrontements ont eu lieu en fin de manifestation entre les opposants et les forces de l'ordre.
06:41 Effectivement, et ce matin, place de Bretagne, les Rennes se sont réveillés dans une forte odeur de plastique brûlé.
06:48 Loic, patron d'une brasserie sur la place, a une partie de sa vitrine brisée.
06:52 J'ai commandé les carreaux, mais je ne les changerai pas pour l'instant.
06:54 Changer des carreaux pour les rechanger dans deux semaines, inutile quoi.
06:57 A Rennes, à chaque fois c'est pareil.
06:58 Pendant deux heures, ils ont lancé des pavés, cocktail Molotov, la totale.
07:02 À un moment donné, ça peut être dangereux quand même.
07:04 Et non loin, une agence immobilière a été saccagée et pillée.
07:08 Et c'est justement cette violence que condamne cet habitant du quartier, pourtant opposé à la réforme des retraites.
07:13 C'est triste, on voit bien qu'il y a quelques gars qui sont là pour taper, pour tuer.
07:17 Quelle que soit la cause, ils seraient là, c'est triste.
07:20 Les revendications, c'est pas comme ça qu'il faut faire, c'est pas ça, il faut construire.
07:23 C'est pas comme ça qu'on va y arriver. On détruit, c'est tout.
07:26 Dansons également une lassitude chez Sabrina, qui attend son bus sous un abri entièrement incendié.
07:32 Je vois pas pourquoi il y a eu de la casse alors qu'on veut exprimer une opinion.
07:36 C'est pas comme ça qu'on va être entendus.
07:38 Et ce midi, ce matin, on répare les dégâts.
07:40 Mais les Rennes craignent que cette violence se répète à nouveau lors de la prochaine journée de mobilisation à Rennes.
07:45 Mathieu Lopinot dans la ville bretonne.
07:48 Pour RTL, au total, 457 personnes ont été interpellées après les heures hier.
07:54 Plus de 440 policiers et gendarmes blessés lors de ces affrontements.
07:58 Bonjour Anne Le Hénaf du service Police Justice d'RTL.
08:01 Est-ce qu'on en sait davantage à la mi-journée aujourd'hui sur le profil de ces casseurs ?
08:06 C'est assez compliqué, surtout si rapidement, de faire une sorte de portrait robot de ces ultra-violents
08:10 qui n'abordent pas de signes distinctifs.
08:12 Ils sont jeunes, très souvent masqués, cagoulés, vêtus de noir.
08:16 Ils sont là pour en découdre, puisque ça dégénère très rapidement, parfois dès le début des cortèges.
08:21 Hier soir, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, était assez catégorique.
08:24 On peut dire que c'est un profil plutôt jeune.
08:26 Beaucoup, malheureusement, sont connus de l'ultra-gauche.
08:29 Nous avons pu documenter que l'ultra-gauche est derrière une grande partie de manifestations violentes.
08:33 Plus que de Black Bloc, il a même parlé ce matin de Black Bourges.
08:36 Il évoque des enfants de bonnes familles.
08:38 Sachez que pour Paris seulement, le tout dernier chiffre, c'est 127 interpellations hier soir.
08:42 C'est une cinquantaine de plus que mardi soir.
08:44 Et pour vous donner une idée de la violence des événements d'hier dans la capitale,
08:48 je me suis aussi procuré le nombre de policiers et de gendarmes blessés hier soir à Paris.
08:53 105. 14 sont à l'hôpital.
08:55 - Et ces 127 sont garde à vue toujours en ce moment ?
08:58 - Je n'ai pas la précision.
08:59 Parce que dans les interpellés, il y en a qui vont en garde à vue, il y en a qui ne vont pas.
09:02 Et dans les garde à vue, il y en a qui sortent sans poursuite.
09:04 Et d'autres...
09:05 - Et la sanction pénale, elle est à venir ?
09:07 - Ça dépend de ce qu'on leur reproche. Elle est à venir dans les prochains mois.
09:10 - Ce serait intéressant de suivre la réponse pénale.
09:12 - Je m'engage à le faire pour vous, Pascal.
09:14 - Merci beaucoup Anne-Loen Haff. Et on rappelle qu'au-delà de ces violences, de ces affrontements,
09:19 plus d'un million de personnes ont défilé hier dans toute la France contre cette réforme des retraites,
09:23 que les grèves reconductibles se poursuivent dans plusieurs secteurs.
09:27 C'est le cas notamment chez les éboueurs, dans les raffineries ou encore dans les transports,
09:31 avec des perturbations toujours notamment dans le secteur aérien.
09:34 - Et après les violences qui ont émaillé les manifestations d'hier dans plusieurs villes de France,
09:38 les autorités redoutent désormais des débordements dans les Deux-Sèvres.
09:42 Car les militants anti-méga-bassines, ces grandes réserves d'eau dédiées à l'irrigation agricole,
09:47 se réunissent à Mêle. 7 à 10 000 personnes attendues,
09:50 3 200 policiers et gendarmes mobilisés, car d'après le ministère de l'Intérieur,
09:54 ce rassemblement risque d'être violent.
09:57 Bonjour Philippe de Maria.
09:59 Philippe, c'est calme pour l'instant dans les Deux-Sèvres.
10:03 Vous assistez plutôt à ce stade à un jeu du chat et de la souris.
10:07 - Oui, et les militants anti-bassines ont plutôt réussi leur coup ce matin.
10:11 Ils se sont installés avec des dizaines de tentes, de fourgons,
10:15 il y a même un chapiteau et des sanisettes à moins,
10:17 de 6 km du chantier des bassines sur un terrain privé,
10:21 avec l'autorisation du propriétaire.
10:23 Julien Le Guay, le porte-parole, est assez fier de lui.
10:26 - C'est encore un coup de placement stratégique dont on a le secret.
10:29 Là on est en dehors de la zone concernée par les arrêtés préfectoraux.
10:32 Là, on voit là-bas, à près d'un kilomètre, c'est la limite de la commune de Saint-Solines.
10:37 C'est la barrière que je n'ai pas le droit de franchir.
10:39 Et puis dans l'axe du bois qui est là-bas, à 6 km de là, il y a la bassine de Saint-Solines.
10:43 - L'idée c'est quand même de manifester, c'est d'y aller,
10:45 c'est forcément de passer outre les arrêtés ?
10:47 - C'est d'aller, de traverser le terrain pour obtenir,
10:51 déjà sur un court terme, mais sur le long terme,
10:54 la fermeture, l'arrêt du chantier de Saint-Solines.
10:56 Par rapport au projet initial qui valait 60 millions d'euros pour 19 bassines,
10:59 c'est 76 millions d'euros pour 16 bassines.
11:01 Ça ne tient pas le choc.
11:02 - Beaucoup de militants sont masqués ici sur le campement,
11:05 peur d'être filmés, reconnus, peut-être fichés.
11:08 Des hélicos de la gendarmerie survolent de temps à autre
11:11 le tout nouveau campement des anti-bassines, ici à Vensez, dans les Deux-Sèvres.
11:15 - Philippe Demaria dans les Deux-Sèvres, donc pour RTL.
11:18 - Le football est de retour des bleus ce soir.
11:20 Ce sera face aux Pays-Bas, on ne les a pas vus depuis quelque temps,
11:23 c'était la finale de la Coupe du Monde.
11:25 - Oui, là c'est le début des éliminatoires de l'Euro 2024 qui débute, Pascal.
11:28 Une nouvelle ère s'ouvre avec un nouveau capitaine, qui Yann Bappé,
11:31 on en a beaucoup parlé.
11:32 Nouvelle ère donc pour les vice-champions du monde,
11:35 et attention à ne pas la commencer par un faux pas, Nicolas Jorjoro.
11:38 - Je n'ai pas plus de réponses que vous, individuellement,
11:41 ce sont des joueurs qui jouent dans les meilleurs clubs...
11:44 - Parce que les bleus vont débuter...
11:47 - Alors, pardon Nicolas, excusez-moi, il y a eu un petit cafouillage,
11:50 on a entendu Didier Deschamps, alors que c'est vous que je voulais entendre.
11:53 - Je croyais que vous aviez changé de voix Nicolas.
11:56 - Et des locutions aussi.
11:57 - On est content d'abord de retrouver les bleus,
11:59 on ne les a pas eus depuis trois mois.
12:02 - Oui, parce que les bleus vont débuter ce soir,
12:05 évidemment par l'adversaire le plus relevé du groupe,
12:09 et dans un stade de France comble,
12:12 qui va venir pour fêter, admirer les vice-champions du monde.
12:15 C'est vrai, les paillettes, les honneurs, les étoiles, le Qatar,
12:19 tout ça c'était il y a trois mois,
12:21 et il ne faut pas se tromper d'objectif pour les hommes de Didier Deschamps.
12:24 Face à Danny Herlander, à Féblis,
12:26 un joueur des membres du staff diminué par un virus,
12:29 le sélectionneur ne s'attend pas à des cadeaux.
12:31 - Je n'ai pas plus de réponses que vous, individuellement,
12:35 ce sont des joueurs qui jouent dans les meilleurs clubs,
12:37 qui sont habitués à la Champions League,
12:39 et pour certains qui ont pas mal d'expérience avec cette équipe hollandaise,
12:43 ce dont je suis sûr, c'est que de toute façon,
12:45 on aura une équipe très compétitive en face de nous.
12:48 - Les joueurs de Ronald Koeman, qui n'ont pas oublié la fessée,
12:52 4-0 reçu à Saint-Denis en 2017,
12:55 la dernière fois qu'ils sont venus ici.
12:57 Les deux premiers de ce groupe de qualification avec les Pays-Bas,
13:00 l'Irlande, la Grèce et Gibraltar,
13:02 iront en Allemagne pour l'Euro dans 15 mois.
13:04 Ça ne paraît pas insurmontable, évidemment, pour les Bleus,
13:07 mais louper la première marche pour Mbappé, ses partenaires,
13:09 ferait mauvais genre.
13:11 - Merci Nicolas.
13:12 Nicolas, on vous retrouvera ce soir avec Philippe Sanfourche
13:14 pour commenter le match France-Pays-Bas.
13:16 Le coup d'envoi, c'est à 20h45 au Stade de France,
13:18 et à vivre, évidemment, en direct sur RTL, RTL Foot.
13:21 Ce sera dès 20h avec Eric Silvestro, Xavier Demergue et Karine Galli.
13:25 La météo, Anthony Kazmarek, c'est...
13:30 - C'est agité cette saison, en même temps.
13:32 On a besoin de pluie, tant mieux.
13:34 Elles sont là, aujourd'hui, entre le sud-ouest et les frontières de l'Est.
13:36 Un petit peu de neige au-delà de 2100 m dans les Alpes du Nord.
13:39 Et puis, après le passage de la perturbation,
13:41 retour des fameuses giboulées de Mars.
13:43 De fréquentes averses, quelques coups de tonnerre
13:45 et surtout de fortes rafales de vent sur quasiment tout le pays.
13:48 Ça atteindra l'île de France dans le courant de l'après-midi,
13:50 ainsi que les frontières du Nord.
13:52 Depuis un temps, certes sec, mais quand même assez nuageux,
13:54 près de la Méditerranée.
13:55 Et attention au vent, qui va se renforcer cette nuit
13:57 sur les côtes de la Manche et près de l'Atlantique.
13:59 Les températures, toujours douces.
14:01 12 à 16 degrés sur la moitié Nord cet après-midi
14:03 et 15 à 20 dans le Sud.
14:05 - Merci Anthony.
14:06 - Charles Troye, vous le savez, ne viendra pas à Paris.
14:08 On en parle dans une seconde avec Adélaïde de Clermont-Tonnerre.
14:11 RTL midi.
14:13 Céline Landreau est passée.
14:15 [SILENCE]

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