La France est un véritable cancre en matière d’expérimentation animale. Chaque année, quelque 2 millions d’animaux sont utilisés comme cobaye dans l’enseignement, la recherche, ou à des fins règlementaires. Ces méthodes, au-delà de l’extrême souffrance qu’elles représentent pour des êtres sensibles, sont également dangereuses. Contrairement à ce que beaucoup de chercheurs voudraient laisser entendre : l’Homme n’est pas un rat de 70 kg, chaque espèce a des spécificités bien propres. Ainsi, se baser sur l’expérimentation animale induit en erreur. Qui sait par exemple que le scandale du sang contaminé n’a pas été évité par les tests sur les chimpanzés car ces derniers ne contractent pas le sida ?
Savez-vous que seulement 10% des candidats-médicaments ayant passé les phases de test sur les animaux font leur preuve sur les êtres humains ?
Et si les méthodes alternatives, notamment d’organes sur puce, des cellules cultivées, ont fait leurs preuves depuis longtemps, les raisons qui limitent leur utilisation ont de quoi glacer le sang. En effet, après des décennies de vivisection sans contrôle exigeant, les laboratoires pharmaceutiques ont une connaissance parfaite des espèces et de leur réaction vis-à-vis de certaines molécules. En d’autres termes, ils savent quels animaux choisir pour faciliter les validations de leurs produits. Des tours de passe-passe qui engendrent toujours plus d’effets secondaires sur les humains, alors que chaque année, plus de 10 000 personnes décèdent après des effets indésirables de médicaments.
André Ménache est vétérinaire. Il est aussi conseiller scientifique chez Antidote Europe et porte-parole du comité scientifique de l’association Pro-Anima. Aux côtés de ces deux associations, il milite pour une prise de conscience générale sur les déviances éthiques et scientifiques engendrées par l’expérimentation animale qui pourrait d’ores et déjà être abandonnée, pour le plus grand bien des animaux et des humains !
Signer la pétition pour la mise en place d’une mission parlementaire sur l’expérimentation animale : https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1254
Si vous avez des difficultés à vous connecter pour signer, retrouvez les explications ici : https://youtu.be/NB9IxP8rM7U
Savez-vous que seulement 10% des candidats-médicaments ayant passé les phases de test sur les animaux font leur preuve sur les êtres humains ?
Et si les méthodes alternatives, notamment d’organes sur puce, des cellules cultivées, ont fait leurs preuves depuis longtemps, les raisons qui limitent leur utilisation ont de quoi glacer le sang. En effet, après des décennies de vivisection sans contrôle exigeant, les laboratoires pharmaceutiques ont une connaissance parfaite des espèces et de leur réaction vis-à-vis de certaines molécules. En d’autres termes, ils savent quels animaux choisir pour faciliter les validations de leurs produits. Des tours de passe-passe qui engendrent toujours plus d’effets secondaires sur les humains, alors que chaque année, plus de 10 000 personnes décèdent après des effets indésirables de médicaments.
André Ménache est vétérinaire. Il est aussi conseiller scientifique chez Antidote Europe et porte-parole du comité scientifique de l’association Pro-Anima. Aux côtés de ces deux associations, il milite pour une prise de conscience générale sur les déviances éthiques et scientifiques engendrées par l’expérimentation animale qui pourrait d’ores et déjà être abandonnée, pour le plus grand bien des animaux et des humains !
Signer la pétition pour la mise en place d’une mission parlementaire sur l’expérimentation animale : https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1254
Si vous avez des difficultés à vous connecter pour signer, retrouvez les explications ici : https://youtu.be/NB9IxP8rM7U
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