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La mort peut inspirer les photographes à capturer la beauté et l'éphémérité de la vie, tout en leur rappelant la fragilité de l'existence humaine.

Kmar, une photographe immigrée de Tunisie, relate l'impact considérable que la disparition de son ami le plus cher a eu sur sa pratique photographique.

Merci à Kmar Douagi d'avoir accepté de partager son aventure artistique.
Transcription
00:00 combattre le fond de bouteille de mon syndrome d'imposteur. Je devais me dire
00:05 que je ne fais pas de belles photos parce que j'ai un bon appareil mais je fais
00:09 de belles photos parce que je fais de belles photos parce qu'une photo c'est
00:12 pas juste un bouton c'est quelque chose qu'on... c'est une composition, c'est une
00:15 identité visuelle et donc ça c'est mon challenge de me dire que je peux
00:18 réussir à faire une série photo avec un petit avalé de merde. Ça c'est mon
00:22 premier et mon deuxième c'est là je suis en train de postuler, enfin je suis en
00:26 train de travailler pour postuler à différents prix et c'est mes prochains
00:30 challenges du coup. Ce que je trouve ingrat dans la photo des fois c'est qu'il n'y ait
00:33 pas de son parce que mon dernier projet c'est un reportage photo donc il y a de
00:37 la narration photographique

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