Découvrez les nouvelles sorties cinéma de la semaine
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00:00 *Musique*
00:16 Bonjour à tous et par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21 Comédies dramatiques, drames, documentaires, films historiques et comédies sont au programme cette semaine.
00:27 Avec tout d'abord "Avant l'effondrement" co-réalisé par Alice Zeniter et Benoît Volnay.
00:32 Nous ferons la connaissance de "Chien de la casse" de Jean-Baptiste Durand.
00:35 Nous nous rendrons en Angleterre pour le premier film de Georgia Oakley, "Blue Jean".
00:39 Nous irons sur la Daman en compagnie de Nicolas Philibert.
00:43 Nous ferons la connaissance de "La dernière reine".
00:45 Benoît Mariage viendra nous parler de "Habib, la grande aventure".
00:49 Nous serons la plus belle pour aller danser grâce à Victoria Bedos.
00:52 Et nous découvrirons "La vie pour de vrai" de Danny Boon.
00:57 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine,
01:00 nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles
01:03 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
01:07 En troisième position, "The Quiet Girl" obtient 4/5.
01:13 Juste au-dessus, avec 4,1/5, on retrouve "Une histoire d'amour".
01:19 Et cette semaine se place en première position "Suzume" qui obtient 4,3/5.
01:26 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:29 À l'affiche d'avant l'effondrement, co-réalisée par Alice Zeniter et Benoît Volnay,
01:34 Nils Schneider interprète le directeur de campagne d'une candidate aux législatives.
01:38 Un jour, il reçoit un courrier anonyme contenant un test de grossesse positif.
01:44 - 15ème jour de calicule, c'est du jamais vu pour un bois de chien.
01:48 - J'arrive pas à me faire arrêter. Pari, ce sera comme ça tout le temps maintenant.
01:50 Faut partir, c'est pas possible de vivre là-dedans.
01:52 - On voulait, à travers un destin individuel,
01:54 à quelqu'un qui est confronté à une mort imminente possible,
01:57 évoquer de manière plus générale une société qui est en train de s'effondrer.
02:04 - Quand je vois ça, j'arrive même pas à savoir s'il faut vraiment que j'arrête
02:08 ou si ça fait plus de différence de toute manière.
02:10 - On a toujours été bouleversés par des oeuvres d'art,
02:13 qu'elles soient livres, films ou séries,
02:16 où les personnages sont un peu hantés par cette grande question du "comment vivre".
02:22 Et en fait, pour nous, cette question, elle devenait mille fois plus urgente et brûlante
02:30 quand on se disait "comment vivre avec un avenir qui est bouché et qui est menaçant".
02:34 - Ce matin, j'ai reçu une lettre anonyme avec un test de grossesse positive dedans.
02:40 J'allais vraiment d'étonnement en étonnement à la lecture du scénario.
02:43 - J'ai retourné le problème toute la journée, toute absurde !
02:46 J'ai couché avec 4 filles dans les derniers mois et à chaque fois, OK, il y a eu un risque !
02:48 - C'est toi ?
02:49 - Je ferai jamais un truc pareil !
02:51 - J'ai tout de suite très fort accroché parce que je trouve ça rare,
02:54 des personnages qui ont des préoccupations contemporaines d'aujourd'hui,
02:59 de ma génération, qui ne correspondent pas à une sorte d'archétype vue et revue.
03:06 - Tu te souviens vraiment de rien du tout ?
03:07 - Il ne réagissait jamais comme je pouvais l'attendre.
03:12 - L'effondrement dont tu parles n'a pas encore eu lieu.
03:14 Vous êtes tous des déçus de la gauche et vous ne croyez plus à la révolution.
03:18 "Chien de la case" de Jean-Baptiste Durand traite du rapport dominant-dominé
03:28 à travers deux amis d'enfance qui vivent dans un petit village du sud de la France.
03:32 Mais leur amitié va être mise à mal par l'arrivée au village d'une jeune fille.
03:37 - Néralès et moi, on se connaît depuis longtemps.
03:39 En fait, on était en 6e ensemble, après on s'est pu lâcher.
03:41 - J'avais pas perçu autant de toxicité entre les deux.
03:44 - Tu m'aimes ?
03:45 - Moi, j'aime tout le monde.
03:46 - Et comme il assume pas de m'aimer, c'en est tout champ de pudeur.
03:49 - Je sais pas si c'est de la perversion, si c'est d'une autorité excessive, un truc et tout,
03:55 mais j'avais pas vu qu'il y avait autant de lourdeur dans leur rapport au début,
04:01 avant que je me rende compte qu'ils étaient en amour.
04:04 - La lourdeur dans leur rapport au début, avant que le personnage de Galata
04:08 vienne dénouer cette bulle de merde,
04:12 c'est quand même un gros sachet de merde dans lequel ils ont la tête,
04:15 dans un sac plastique de merde, ils y sont tous les deux, quoi.
04:19 - J'ai pas besoin de toi, moi.
04:21 - Vas-y, hein.
04:25 T'as pas besoin de moi, pars-toi.
04:27 T'as pas besoin de moi.
04:31 - Parfois aussi, dans une relation d'amitié dysfonctionnelle ou d'amour,
04:38 on finit aussi par s'y complaire.
04:40 - Oh, dog, là, regarde.
04:42 - Oh !
04:44 Vous avez pas regardé, hein ?
04:46 - Ah, si.
04:46 - C'est comme un vieux couple.
04:48 - Vas-y, viens, on bouge, là.
04:50 Tiens, les gars.
04:50 - On sait que de toute façon, ils sont indéboulonnables comme ça,
04:53 donc je pense que tout le village sait que leur relation, elle est pas saine,
04:56 mais qu'en fait, c'est leur problème à eux.
04:58 - Elle est tout le temps comme ça, à faire le bonhomme ?
05:00 - Non, je sais pas.
05:01 C'est une mire à l'aise, quoi.
05:02 - Il y a deux mires à l'aise.
05:03 Il y a celui qui se comporte avec dog devant les gens
05:07 et avec dog quand ils sont que tous les deux.
05:09 - Tu le connais pas.
05:10 Ça fait 15 ans que je traîne avec lui, je sais qu'il s'est d'accord.
05:12 Pour son premier film, "Blue Jean",
05:25 Georgia Oakley évoque l'Angleterre de Margaret Thatcher en 88,
05:29 où une loi stigmatisant la communauté gay a été adoptée.
05:32 Une professeure d'éducation physique est obligée de cacher son homosexualité,
05:37 mais la venue d'une nouvelle étudiante va mettre son secret en péril.
05:57 - Le film montre à quel point la paranoïa s'empare de sa vie.
06:01 La plupart des femmes de cette époque à qui nous avons parlé
06:05 nous ont confié qu'elles sont tombées en dépression
06:07 après avoir enduré cette situation pendant des années.
06:11 Mener une double vie, comme le fait le personnage de Jean,
06:27 entraîne des conséquences psychologiques.
06:29 Il ne s'agit pas avant tout de la perte de son travail.
06:32 Le film met en avant la dépression,
06:49 qui découle directement de la situation sociale et politique
06:53 que l'on connaît encore aujourd'hui.
06:55 On ne peut pas s'empêcher de voir le film
06:58 sans faire un parallèle avec ce que l'on vit maintenant.
07:02 C'est malheureusement évident.
07:04 C'est consciemment que j'ai décidé de réaliser un film
07:24 qui dialoguerait avec le passé.
07:26 Ce que je n'avais pas prévu, c'est que les thèmes que j'aborde dans l'histoire
07:30 ont fait boule de neige et que la situation s'est aggravée en 5 ans,
07:34 date à laquelle j'ai pitié le film pour la première fois.
07:38 - Nicolas Philibert a obtenu l'Ours d'Or à Berlin
07:45 pour son documentaire sur l'adamant.
07:47 Il s'agit d'un centre de jour unique en son genre,
07:50 un bâtiment flottant sur la scène
07:52 qui accueille des adultes souffrant de troubles psychiques.
07:55 - On est dans un lieu qui est vraiment à proximité de l'eau.
08:04 L'eau, elle a une fonction apaisante, en tout cas.
08:08 Les patients souvent le disent.
08:15 En effet, sur l'adamant, il n'y a pas de signe distinctif,
08:19 il n'y a pas de blouse blanche, etc.
08:21 Et c'est au fond important qu'il n'y ait pas de ligne de démarcation.
08:25 Les patients ne sont pas réduits à leurs symptômes.
08:28 - J'ai pris un traitement très fort, que je désire pas,
08:31 que je puisse tenir un dialogue avec vous, au guillaume.
08:34 Sinon, je me prends pour un jésus, moi.
08:36 - Soigner dans un endroit comme celui-là,
08:39 c'est souvent s'appuyer sur ce qui peut intéresser quelqu'un.
08:45 De trouver comment aider chacun à renouer un lien avec le monde.
08:52 En s'appuyant sur ce qu'il ou elle peut aimer faire.
08:57 - Alors, je m'appelle Sabine Berlière, je suis psychiatre.
09:06 - Ah, je serais contente à votre place.
09:08 - Alors, égipient, je voulais vous dire
09:11 que je suis très contente d'arriver sur le bateau.
09:14 - Vous, peut-être, vous qui filmez.
09:17 Nous aussi, les arts nous font du bien.
09:20 La culture, la peinture, le dessin.
09:24 Si on était face du matin au soir à la noirceur du monde,
09:28 on se suffoquerait.
09:30 - Personne n'est parfait.
09:36 - Entre histoire et légende,
09:42 "La dernière reine" est centré sur une femme
09:45 ayant tenu tête au pirate Barberousse
09:47 qui a libéré Alger de la tyrannie des Espagnols
09:50 pour s'emparer du pouvoir.
09:52 - "La dernière reine", c'est l'envie de voyager très loin dans le temps
10:11 et de retrouver une Alger romanesque, aventurière.
10:15 - Que ce soit Zafira ou Barberousse,
10:22 on est face quand même à des légendes.
10:24 Même si Barberousse a existé historiquement,
10:28 il y a cette chose, c'est des monuments.
10:31 Et du coup, comment les incarner ?
10:34 - Barberousse, il y a d'excellents et de très mauvais échos sur le personnage.
10:41 - Laissez-moi y aller !
10:43 - Je suis là.
10:47 - Il arrive à Alger et il se dit
10:49 "C'est peut-être un tournant de ma vie,
10:51 peut-être que cette fois-ci je vais m'installer
10:53 et arrêter de sillonner la Méditerranée
10:55 et faire le pirate, le barbare,
10:57 ou comme on peut le décrier, du côté des ennemis."
10:59 - On ne veut pas être tués.
11:02 On doit se cacher.
11:04 - On va faire le contraire, mon fils.
11:07 - Il n'y a jamais eu de film sur le XVIe siècle en Algérie.
11:11 C'est quand même étrange de rien n'avoir jamais vu
11:16 de notre histoire ancienne au cinéma.
11:18 On n'a pas de représentation de nous-mêmes,
11:21 de nos ancêtres, de nos héros en fait,
11:23 et de nos histoires.
11:25 Et ça, ça crée un trou noir,
11:28 ça crée un vide, ça crée une pièce manquante.
11:30 - Laissez-moi au clair.
11:34 - Que Dieu meurt le Sultan.
11:37 - Que Dieu meurt le Sultan.
11:40 - Habib, la grande aventure de Benoît Mariage,
11:43 est une fable sur l'identité.
11:45 Habib est un jeune acteur
11:47 qui n'enchaîne que des rôles sans envergure
11:49 jusqu'au jour où il décroche un petit rôle de gigolo
11:52 aux côtés de Catherine Deneuve.
11:54 - Tu vas jouer avec l'intention que je te donne.
11:57 Quand tu dis "Philippe", tu renies ta condition d'arabe.
11:59 C'est pas anodin.
12:01 - Je définirais ce film comme une fable,
12:03 un conte qui traite de l'identité.
12:06 Je définis comme une fable un conte
12:09 qui traite de personnages qui ne sont pas à leur place.
12:12 Chaque personnage vise quelque chose
12:17 et fait autre chose et pense autre chose.
12:20 - Comment trouver la sincérité si on ne se soucie pas de l'authenticité ?
12:23 - Tu veux que j'embrasse un Grimlins ?
12:25 - Merde, plein à chier.
12:27 - Une fable sur l'identité
12:29 avec le message "Deviens ce que tu es".
12:32 - Comment tu t'appelles ? - Philippe.
12:34 - Magistral. - On le tient, notre gigolo.
12:37 - En plus, il n'est pas très arabe.
12:39 - Je pense que c'est un film qui parle vraiment
12:41 de comment est-ce qu'on va accepter
12:43 à être qui on est au-delà du métier de l'acteur.
12:46 - Je suis acteur, mes frères.
12:49 Mes frères, les oiseaux.
12:51 - La baisse à Woolter ? - Hum ?
12:53 - T'es sûr ?
12:55 - C'est la quête d'apprendre à se trouver,
12:58 être à sa juste place.
13:00 - Tu bosses ou tu te dégages de cette baraque ?
13:02 - Je me demande ce que je veux.
13:04 Est-ce que je peux me permettre d'être ça
13:06 dans l'environnement dans lequel je vis ?
13:08 - Je vais tourner avec Deneuve. - Avec Catherine Deneuve ?
13:10 - Grande Catherine Deneuve. - Faites pas l'amour avec une femme,
13:12 faites l'amour avec le cinéma.
13:14 - C'est ça, une vie, c'est qu'on est
13:16 dans un éclatement d'émotions.
13:18 On peut être en conflit avec ses parents,
13:20 le soir renverser un ch...
13:22 La vie n'est qu'un désordre.
13:24 - Comment tu t'appelles ? - Philippe.
13:26 - Pourquoi tu lui as dit que tu t'appelais Philippe ?
13:28 - C'est dans le scénario. - Ah, d'accord.
13:30 - C'est idiot, non ?
13:32 - La plus belle pour les danser
13:38 de Victoria Bedos met en scène
13:40 une jeune fille de 14 ans élevée par son père
13:42 dans une pension de famille pour seniors
13:44 dont il est le directeur.
13:46 Poussée par son meilleur ami de 80 ans,
13:48 elle s'incruste à la soirée déguisée
13:50 de son collège, habillée en homme.
13:52 - Ah, vous êtes de nouveau ?
13:56 - Emile Durand ? - Oui, c'est ça.
13:58 - Vous vous appelez comment ? - Marie-Luc Bison.
14:00 - Marie-Susse !
14:02 - C'est un film familial
14:04 sur la recherche de soi.
14:06 - Pourquoi on n'aime pas ?
14:08 - C'est un film qui regroupe toutes les personnes
14:10 de la famille de tout âge parce que
14:12 c'est un film auquel tu peux t'identifier
14:14 à n'importe quel personnage.
14:16 - Transgénérationnel.
14:18 - Ici, c'est une pension de famille.
14:20 - C'est mieux là ? - Oui.
14:22 - Elle se déguise en garçon
14:24 parce qu'en fille, on ne la regarde pas
14:26 comme elle devrait être regardée.
14:28 Elle se déguise en garçon
14:30 pour être intégrée
14:32 dans le monde des jeunes
14:34 et pour séduire Emile.
14:36 - Ça va ? Emile ?
14:38 - Léo.
14:40 J'avais envie d'utiliser le travestissement
14:42 pour déjà un peu de comédie,
14:44 travailler ça de manière comédie.
14:46 En même temps, le travestissement
14:48 est quelque chose de profond parce que ça traduit
14:50 visuellement l'envie d'être quelqu'un d'autre.
14:52 - Une fois qu'on se rapproche,
14:54 je me dis que je suis Marie-Luc.
14:56 - C'est quand même bien tordu.
14:58 - C'est quand même un film qui,
15:00 pour une fois, c'est assez rare.
15:02 Un film où vous avez des seniors,
15:04 des seniors.
15:06 - Joyeux anniversaire,
15:08 joyeux anniversaire.
15:10 - Et des teens.
15:12 C'est vrai, hein ? C'est rare de voir ça
15:14 dans les films.
15:16 - Et puis, il y a toi au milieu,
15:18 en tant que boomer.
15:20 - C'est vrai.
15:22 ...
15:32 - Danny Boon est des deux côtés
15:34 de la caméra avec la vie pour de vrai.
15:36 Il interprète Trident, un géo né au club
15:38 méditerranée au Mexique,
15:40 qui démissionne à 50 ans pour retrouver son amour
15:42 d'enfance. A Paris, il est hébergé
15:44 chez son demi-frère dont il ignorait
15:46 l'existence. Et pour se débarrasser
15:48 de lui, son demi-frère supplie
15:50 une de ses conquêtes de se faire passer
15:52 pour le grand amour de Trident.
15:54 - J'étais au Club Med de ma naissance à maintenant.
15:56 Je m'appelle Trident.
15:58 Trident. Du Club Med.
16:00 - Raconter une histoire, tout simplement,
16:02 et avec du fond.
16:04 C'est-à-dire sur les relations,
16:06 sur l'amour, sur comment on vit
16:08 l'amour aujourd'hui, comment
16:10 on tombe amoureux, comment on s'attend
16:12 à... comment ce personnage
16:14 est d'un seul coup très naïf à vouloir retrouver
16:16 son amour d'enfance. - Tu pourrais quand même
16:18 dire "tant que t'es frère". - Demi-frère.
16:20 - Encore mieux, je prends moins de place. - Et ça faisait
16:22 9 ans, en fait, depuis Supercondria
16:24 qu'on avait pas joué ensemble.
16:26 Et moi, je suis... j'étais... je suis
16:28 gâté. - Je veux retrouver mon amour d'enfance de mes
16:30 8 ans, Violette. - Je peux dormir ici, alors ?
16:32 - Oui !
16:34 - Je le savais, je le savais, ça pouvait avoir... - Ah, il y a que 3, là, voilà, voilà.
16:36 - C'est assez jubilatoire de créer
16:38 des scènes de comédie entre
16:40 deux acteurs, puisqu'ils se connaissent.
16:42 Moi, ce que j'aime, c'est que...
16:44 l'antagonisme qu'il crée entre les personnages
16:46 pour créer de la comédie.
16:48 - Eh ben ! Je lui ressemble pas du tout, lui.
16:50 - Mais bien sûr que tu lui ressembles.
16:52 Tu es mariée, que t'as des enfants, que...
16:54 pour trouver, c'est une erreur, que sa vie, elle est là-bas,
16:56 là, au Club Med. - J'ai pas eu trop la trouille.
16:58 Euh...
17:00 J'aurais pu être intimidée,
17:02 mais je pouvais utiliser
17:04 qui j'étais aussi.
17:06 - Mon fri-dent. - Non !
17:08 - Mon fri-ment.
17:10 Mon fri-ment, tiens.
17:12 Oh, il y a tris dedans, mais...
17:14 je l'entends !
17:16 - Trident. - Oh, Trident ! Oui,
17:18 pardon. C'est l'émotion
17:20 de le revoir. Le premier jour,
17:22 on a fait une grosse scène, la grosse scène où
17:24 je rencontre Trident
17:26 pour la première fois, et
17:28 tout se jouait dans cette
17:30 scène, donc c'était marrant de...
17:32 de sauter dedans.
17:34 - Sublime premier amour, celui qui dure
17:36 toujours.
17:38 - Oh !
17:40 J'ai été en confiance grâce à eux deux,
17:42 tout de suite. Grâce à leur complicité,
17:44 de les voir,
17:46 d'abord, c'est très...
17:48 Ils sont très marrants à voir, enfin...
17:50 Ils ont une alchimie, tous les deux,
17:52 qui est... Ils sont touchants, ils sont drôles.
17:54 - Oh !
17:56 Oh !
17:58 - Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref
18:00 et en images.
18:02 - "Zum Grund
18:06 unserer Zusammenkunft bitte ich Sie,
18:08 Ihre geschätzte Aufmerksamkeit,
18:10 alle erforderlichen Vorbereitungen
18:12 für die Gesamtlösung der Judenfrage
18:14 in Europa."
18:16 "Das ist die Zielvorgabe."
18:18 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:20 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:22 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:24 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:26 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:28 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:30 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:32 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:34 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:36 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:38 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:50 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:52 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:54 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:56 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
18:58 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:00 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:02 "Ça va, frangine ?"
19:04 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:06 "J'ai fait un rêve... merveilleux."
19:08 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:10 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:12 "C'était une journée parfaite."
19:14 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:16 "Et la seule chose que j'avais à l'esprit, était cette envie folle..."
19:18 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:20 "de vous ouvrir..."
19:22 (musique de la série "J'aime bien" de Jules Verne)
19:24 "et de me faufiler dans vos corps."
19:26 Voilà par ici les sorties, c'est fini. Rendez-vous la semaine prochaine.
19:28 Et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.