UFC - William Gomis, le "Jaguar" en pleine chasse
Sept mois après son combat à l'UFC Paris, William Gomis fait son retour ce samedi avec un combat contre Francis Marshall, invaincu en sept combats professionnels. Très motivé et avec un objectif bien en tête, le Français espère enchaîner face à l'Américain pour grimper rapidement chez les Featherweight.
Transcript
00:00 Ceux qui ne me connaissent pas, vous allez pas tarder à me connaître.
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00:26 *Musique*
00:45 Pourquoi le MMA ?
00:47 J'ai fait pas mal de sports avant, du foot, de l'athlétisme, j'ai fait beaucoup de sports différents.
00:56 Et au final c'est les sports de combat qui m'allaient parce que déjà jeune j'aimais beaucoup la bagarre.
01:01 J'étais un enfant très gentil, j'avais deux faces, je pouvais être très gentil comme je pouvais être très méchant.
01:07 Et je pense que cette deuxième partie de moi a été assez canalisée grâce aux sports de combat.
01:13 Et au final j'ai fait plusieurs sports de combat et ça a fini par le MMA.
01:18 Et c'est celui qui me correspondait le mieux.
01:21 *Musique*
01:49 Pourquoi le MMA ?
01:57 Alors déjà pour moi la suite ce ne sera qu'une victoire, il n'y a pas d'autre choix.
02:01 Donc pour moi la suite ce sera encore un combattant mais au-dessus de moi.
02:08 C'est à dire que j'aimerais avancer dans le classement de l'UFC assez rapidement.
02:12 Et pas devoir faire plein de combats avant d'atteindre le top 15.
02:16 Donc vraiment l'objectif c'est de prendre quelqu'un au-dessus dans le classement.
02:19 *Musique*
02:37 La question c'est est-ce qu'il y en a qui arrivent pour tout casser ?
02:39 Et bien c'est clair j'en fais partie de ces gens qui arrivent pour tout casser.
02:42 Donc forcément ça tourne, tu ne peux pas rester champion à vie.
02:45 Oui on avait les Three Kings là, et oui on avait l'Afrique qui était en place.
02:50 Voilà après là maintenant tu as les Mexicains qui sont en place.
02:54 C'est comme ça, ça tourne, chacun à son tour, la roue tourne.
02:58 Et bien sûr on arrive on a les crocs.
03:00 Et c'est ce qui va se passer, maintenant on veut que ce soit notre place à nous.
03:04 *Musique*