Grenoble, commémorait aujourd’hui les 80 ans du centre de documentation juive contemporaine, créé dans la clandestinité en 1943 par Isaac Schneersohn. Un engagement précieux pour le travail de mémoire dans la ville compagnon de la libération...La saison de ski est terminée alors il faut fêter ça. Villard de Lans célébrait les champions du Vercors mercredi soir. Chloé Chevalier, Ludo Guillot Diat, Maurice Manificat ou Emilien Jacquelin, nous donnent rendez vous pour de nouvelles aventures l’hiver prochain...Et puis poussez poussez il en restera toujours quelque chose. Avec Rosalie Perros coordinatrice de Cultivons nos toits, on reviendra à la fin de ce JT sur les 48 h de l’agriculture urbaine qui se déroule ce week end sur tout le territoire.
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00:09 - Grenoble commémore aujourd'hui les 80 ans du Centre de Documentation Juive Contemporaine,
00:15 créé dans la clandestinité en 1983 par Isaac Schneerson.
00:19 Un engagement précieux pour le travail de mémoire dans la ville compagnon de la Libération.
00:24 La saison de ski est terminée alors il faut fêter ça.
00:26 Villars de Lons célébrait les champions du Vercors mercredi soir.
00:30 Chloé Chevalier, Ludo Ghiodia, Maurice Magnifica ou Émilien Jacquelin
00:33 nous donnent rendez-vous pour de nouvelles aventures l'hiver prochain.
00:38 Et puis pousser pousser il en restera toujours quelque chose.
00:41 Avec Rosalie Perros, coordinatrice de Cultivons Nos Toits,
00:44 on reviendra à la fin de ce JT sur les 48 heures de l'agriculture urbaine
00:48 qui s'éroule ce week-end sur tout le territoire.
00:52 Bonsoir à tous, ravie de vous retrouver dans ce JT du vendredi 28 avril 2023.
00:57 Du lundi au vendredi, à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:03 Gosport entre donc dans le giron d'InterSport.
01:06 C'est la décision du Tribunal de Commerce de Grenoble
01:09 qui n'a donc pas retenu la proposition des Anglais de Fraser's.
01:12 Elle a été communiquée à la mi-journée par le procureur adjoint de la République.
01:15 La société de Jackie Ruiwe va débourser 35 millions d'euros
01:19 pour reprendre 72 magasins et 90% des salariés, soit 1631 emplois.
01:25 Pour les autres, le plan de sauvegarde pour l'emploi prévoit une enveloppe de 1 million d'euros.
01:30 InterSport s'engage également à ne pas effectuer de licenciement économique
01:33 dans les deux ans du jugement.
01:35 Fondé en 1978 à sa cenage, Gosport avait été placé en redressement judiciaire en début d'année.
01:41 Avec cette acquisition, InterSport ambitionne de devenir leader
01:45 de la distribution d'articles de sport en France.
01:49 Social Toujours avec le rendez-vous de l'année, la manif du 1er mai.
01:53 Toujours remontée par la réforme des retraites, à laquelle s'ajoutent les difficultés
01:57 liées à l'augmentation importante du coût de la vie.
02:00 Les syndicats annoncent une mobilisation très importante lundi
02:04 à voir si cette 13e journée d'action sur cette thématique,
02:08 conjuguée à celle des brins de Muguet, leur portera bonheur.
02:12 A Grenoble, le cortège partira à 10h de la gare pour rejoindre le parc Paul Mistral.
02:17 Des perturbations sont à prévoir dans les trains
02:20 et un tiers des vols à Lyon-Saint-Exupéry seront annulés.
02:24 Le 28 avril 1943, aux 42 rues Bizané à Grenoble,
02:30 Isaac Eschnerson prenait l'initiative de collecter un maximum de documents,
02:35 des preuves de ce que les Juifs subissaient à cette époque en France.
02:39 Le Centre de documentation juive contemporaine est aîné.
02:42 80 ans, jour pour jour, plus tard, des élus et représentants
02:46 de la communauté juive de Grenoble se sont retrouvés devant cette adresse
02:50 pour souligner l'importance de la transmission de la mémoire.
02:54 L'ensemble des documents figure aujourd'hui au Mémorial de la Shoah à Paris.
02:58 Nous sommes aux 42 rues Bizané, lieu où Isaac Eschnerson a créé
03:02 le Centre de documentation juive contemporaine.
03:05 Il a pris conscience, l'esprit, de savoir qu'il fallait réunir les preuves,
03:10 les preuves des spoliations des biens des personnes juives
03:13 pour ensuite pouvoir avoir justice.
03:17 Et il a eu justice notamment puisque son travail a été utilisé
03:21 lors du procès de Nuremberg pour nous documenter le procès.
03:24 Et puis également en 1987 lors du procès Barbie.
03:27 Je suis là en tant que résistant puisque j'étais au Maquis avec mon père
03:33 et fondateur du Vercors. De 15 et 16 ans j'étais avec mon père.
03:39 Et toutes ces années ont été marquées pour moi par cette furie
03:47 qui était concentrée contre les Juifs et le peuple français qui résistait.
03:55 C'est pour ça que je suis là, j'ai encore le bonheur d'être là à 95 ans.
04:00 C'est tout l'intérêt aussi de réfléchir à cette mémoire,
04:03 à cette transmission sur les jeunes générations puisqu'on arrive aussi
04:06 à une période où on n'a plus de témoins directs.
04:09 Et donc il va falloir réfléchir à comment mieux transmettre,
04:12 comment transmettre peut-être différemment sur ces jeunes générations.
04:16 Toujours dans ce but à la fois de notre humanité pour faire en sorte
04:21 que ces éléments ne se reproduisent jamais.
04:25 Le musée de la résistance et de la déportation de l'Isère accueille
04:28 jusqu'à dimanche une exposition sur ce centre de documentation.
04:32 Toute l'année, le nez dans le guidon et c'est le moment où les champions
04:36 du sport d'hiver du Vercors peuvent profiter d'un peu de liberté
04:39 mais aussi de pouvoir rencontrer leurs nombreux admirateurs.
04:42 Mercredi soir dans un cinéma de Villard-de-Land,
04:45 on leur avait réservé une fête sur un plateau Mirko Pesci.
04:48 Après une saison riche en compétitions et en trophées,
04:52 les athlètes du Vercors sont acclamés pour le retour des champions.
04:55 Une soirée organisée à Villard-de-Land par la communauté de communes du massif du Vercors.
05:00 On a été récompensés pour le trophée de la jeunesse par exemple
05:04 avec la performance qu'on a fait au championnat de France des clubs.
05:07 Donc mi-mars, on a fait vice-champion de France des clubs.
05:11 C'est vraiment important pour les plus jeunes,
05:13 parce que ça peut les inspirer à après devenir comme les champions.
05:19 Moi, quand j'étais petit, c'était mes idoles.
05:22 Donc je pense que pour eux, c'est pareil.
05:25 Ça permet de s'identifier à eux.
05:28 C'est aussi l'occasion de célébrer le cadre exceptionnel du massif du Vercors,
05:32 parfaitement adapté à la pratique du sport.
05:34 Le plateau est un vivier de champions et lors de la soirée,
05:37 les grands noms du sport tels qu'Emilien Jacquelin,
05:40 Lena Brocard ou encore Ludovic Ghiodia ont pu être récompensés par un trophée original.
05:46 C'est vrai qu'en habitant sur le Vercors, on est vraiment baigné sur une terre de champions.
05:51 Et depuis le plus jeune âge, on a la possibilité de faire du sport quel qu'il soit,
05:56 sport outdoor notamment.
05:58 Et assez rapidement, quand on est petit, on rêve de devenir un jour aussi champion.
06:04 Et pour la plupart, certains y arrivent, d'autres moins.
06:07 Mais en tout cas, tout le monde est rassemblé autour d'un même mot.
06:10 C'est la nature, le sport, la montagne.
06:12 L'occasion pour les habitants et pour les jeunes sportifs du plateau
06:15 de rencontrer ces sportifs qui les inspirent
06:18 face à une séance d'autographe en fin de cérémonie.
06:21 C'est l'occasion d'avoir un rendez-vous populaire pour les habitants du Vercors
06:26 et leur proposer à travers ce format-là un vrai show, un vrai spectacle.
06:32 C'est important de les soutenir parce que ce sont des grands champions
06:35 qui sont quand même formés pour atteindre le plus haut niveau.
06:38 Et puis l'autre raison, c'est parce que ça fait rêver beaucoup de jeunes,
06:41 parce que beaucoup de jeunes s'identifient à eux.
06:43 Et donc c'est important de les accompagner et de montrer aux habitants
06:46 qu'on ne fait pas semblant, qu'il y a vraiment du sens derrière.
06:48 La saison est finie mais les sportifs ne s'arrêtent jamais.
06:51 Ils continuent de s'entraîner pour la saison prochaine.
06:54 Et certains ont déjà les yeux rivés vers les Jeux Olympiques d'hiver 2026.
06:59 Et l'autre bonne nouvelle pour le Vercors, c'est l'arrivée de Simon Fourcade,
07:03 ex-champion au poste d'entraîneur national de Biételon.
07:07 Le temps ne se prête plus tellement au ski, mais il y a d'autres rendez-vous
07:12 ce week-end y compris sur la glace. On voit ça avec Lucille Dailly.
07:15 La fin de saison se précise pour le GF38.
07:18 Sévèrement battu par Bordeaux lundi dernier, les grenoblois,
07:21 toujours 7e de Ligue 2, assurent qu'ils ne lâcheront rien,
07:24 ni face au premier, ni contre la Lanterne Rouge, ni hors,
07:27 qui se présente au Stade des Alpes samedi à 19h.
07:30 Le grand moment est venu pour les basketteuses de Voiron.
07:33 Après une excellente saison régulière terminée à la deuxième place,
07:36 le PVBC attaque les play-offs avec la montée en Ligue 2 en féminine en ligne de mire.
07:41 Mais il faudra battre Alençon, Coriace, leader de la poule B.
07:44 Ce samedi à 20h au gymnase Henri Chotard.
07:47 Le Mélan-Grenoble en D-Basket, 2e de son championnat de National 1,
07:51 reçoit le 4e Cap Sport Art-Aventure, ce samedi 29 à 16h au gymnase du Charlet à Mélan.
07:57 Et puis une glisse en remplace une autre.
07:59 Quand les pistes sont fermées, la piste de la patinoire s'offre
08:02 aux joies du curling à Vaujany, avec les tout meilleurs de la discipline.
08:06 Le 5e tournoi international, Challenge Jean-Paul Basset,
08:09 oppose 24 équipes de France, de Suisse et de Belgique,
08:12 samedi et dimanche, avec à la clé des points précieux pour le classement français
08:16 et un beau coup de projecteur sur ce sport étonnant,
08:18 mêlant adresse, concentration et stratégie.
08:21 Et ce week-end, vous allez aussi pouvoir mettre les mains dans la terre,
08:26 le compost ou le substrat grâce aux 48h de l'agriculture urbaine.
08:29 Une manifestation nationale que l'on retrouve chaque année dans la métropole de Grenoble.
08:34 Pour en parler, je cueille et j'accueille Rosalia Perros.
08:37 Bonsoir.
08:38 Bonsoir.
08:39 Vous êtes coordonnatrice de l'association Cultivons nos Toits,
08:42 l'une des structures qui chapeautent cet événement.
08:44 Il faut dire que sur notre territoire, ça fait déjà un petit moment
08:47 que c'est un sujet qui pousse, qui pousse, comme le haricot magique, j'ai envie de dire.
08:51 Et le camp de base, c'est un petit peu le barradis dans le quartier Flaubert à Grenoble.
08:56 Tout à fait. Cultivons nos Toits, ça fait une dizaine d'années
08:59 qu'on est sur la métropole grenobloise pour mettre en place des potagers en ville.
09:03 Et le projet phare qui a ouvert en octobre dernier, c'est le barradis,
09:07 qu'on appelle comme une maison de l'agriculture urbaine et de l'alimentation,
09:11 où on questionne les différentes étapes de la filière, de la production alimentaire,
09:16 donc de l'agriculture en ville à la consommation, en passant par la transformation.
09:21 Et tout ça à travers des ateliers, table ronde, conférences,
09:25 mais aussi à travers un bar et un restaurant.
09:27 Donc c'est un endroit où toute l'année, on peut venir questionner.
09:32 Tout le monde peut venir ?
09:33 Tout le monde peut venir.
09:34 Le lieu est ouvert de 11h30 du matin à 1h du soir.
09:37 Donc on essaye d'être ouvert pour tout le monde.
09:40 Et c'est soit un café à seau sur les temps de l'après-midi,
09:43 soit le restaurant qui a une partie de ses fruits et légumes
09:49 qui arrivent directement du toit terrasse,
09:52 où il y a à peu près 1000 m² d'espace cultivable.
09:55 Et le reste arrive aussi de fournisseurs en agriculture biologique en Isère.
09:59 Et un bar le soir pour pouvoir profiter du toit terrasse de Grenoble.
10:03 Et il y a des activités, des ateliers qui sont organisés,
10:06 notamment des ateliers cuisine, des ateliers jardin,
10:09 pour apprendre à jardiner, pour partager des connaissances
10:13 et être un lieu ressource pour les différents acteurs du territoire.
10:17 Donc si jamais on rate les 48h, tout n'est pas perdu, on peut aller au bar Radi.
10:20 Quand on parle d'agriculture urbaine,
10:22 alors il ne s'agit pas de transformer des hectares et des hectares
10:25 de toit terrasse en champs de maïs et culture intensive, on parle de quoi ?
10:29 Alors on parle vraiment de remettre de l'agriculture en ville.
10:35 Ça passe par la végétalisation, mais ça passe aussi par une...
10:39 On ne dit pas jardinage, on dit agriculture.
10:41 Voilà, parce qu'on cherche aussi à promouvoir le comestible,
10:44 c'est-à-dire même dans des parcs, d'avoir beaucoup plus d'arbres fruitiers,
10:48 d'être plus connaisseurs sur les plantes comestibles.
10:51 Donc l'agriculture en ville, elle passe par différents points,
10:55 notamment l'agriculture partagée, les jardins partagés.
10:58 Ça peut être aussi le jardin sur son balcon,
11:00 c'est aussi une agriculture production.
11:03 Donc par exemple, Champiloup et la ferme des Mille Pouces sont des bons exemples.
11:06 Justement, on va voir quelques images de ces structures
11:09 qui participent aussi à cet événement.
11:12 Donc là, c'est aussi un jardin qui se trouve pas très loin
11:16 de l'ancien siège de la métropole de Grenoble,
11:19 qui va participer aussi à cet événement.
11:21 On pourra découvrir ce qui s'y passe, cette fois sous le soleil, j'espère.
11:25 Vous parliez aussi des Mille Pouces, qui fournit des restaurants dans l'agglomération ?
11:31 Tout à fait, et nous avec Le Baradi, on a aussi cet objectif
11:35 d'avoir une partie de production et aussi une grande partie pédagogique
11:40 pour questionner comment remettre un petit peu plus de local,
11:45 d'alimentation de saison dans nos assiettes
11:48 et diffuser et s'aimer les pratiques pour que chacun prenne en main cette problématique.
11:53 Ça veut pas dire de consommer exclusivement tout ce qu'on fait pousser sur son balcon,
11:57 mais en tout cas de s'intéresser au local, à ce qui pousse près de chez soi.
12:02 On peut même se soigner avec les plantains, les médicaments sont nés par là.
12:08 Je conseille donc le Jardin Dominique Gillard, qui proposera aussi une animation.
12:12 Tout à fait, on est très contents d'avoir réuni des acteurs très différents sur ce week-end.
12:17 C'est l'objectif des 48 heures, c'est de donner à voir et de faire découvrir
12:20 ce qu'il fait sur le territoire. Il faut savoir que c'est un événement national,
12:24 mais on est plus d'une trentaine de villes à l'organiser, en France et même en Europe.
12:29 Et justement, ce jardin de la faculté de pharmacie est très intéressant
12:33 pour ouvrir ses portes et voir que l'agriculture urbaine a aussi différentes formes,
12:38 pas forcément celles auxquelles on s'attend.
12:40 Et c'est accessible à tous de faire pousser des plantes sur son jardin ?
12:44 Oui, les premières étapes sont très très accessibles.
12:49 Que ça passe par faire germer des semences ou bien acheter directement ses plantes.
12:55 Je pense qu'il y a un engouement qui se fait petit à petit,
12:59 parce qu'il y a un peu le temps.
13:01 Le temps du Covid, ça a donné un petit coup de pouce ?
13:03 Tout à fait, et puis c'est intéressant aussi la lenteur de la nature,
13:06 d'observer les plantes qui poussent.
13:09 Ça nous permet aussi de mieux analyser notre environnement,
13:12 c'est-à-dire qu'on se rend compte de l'impact d'une sécheresse,
13:15 on se rend compte du manque de pluie.
13:17 C'est aussi tout ça qui est un bon moyen de mettre en discussion.
13:22 Je pense qu'en le faisant chacun dans son balcon ou à travers un jardin partagé,
13:26 ça permet d'être conscient des problématiques actuelles.
13:29 Alors Grenoble, comme d'autres grandes villes et sa métropole,
13:33 sont touchées par des vagues de pollution.
13:36 Est-ce que ce n'est pas dangereux de consommer tout ça ?
13:39 Déjà, on est sur une consommation qui n'est pas très importante
13:44 par rapport à la consommation de fruits et légumes qu'on a quotidiennement,
13:47 qui viennent en partie aussi d'une agriculture à la campagne
13:49 qui n'est pas toujours la plus exemplaire au niveau des intrants chimiques.
13:54 En ville, quand on est sur des balcons ou sur les toits,
13:59 on a moins de pollution venant des véhicules qu'on pourrait avoir dans d'autres cas.
14:04 Mais c'est une vraie question qu'on pose,
14:06 et nous c'est une vraie question qu'on essaye aussi d'aborder au Baradie,
14:09 sur la pollution atmosphérique, mais surtout la pollution des sols.
14:13 C'est-à-dire qu'en ville comme en campagne,
14:15 on a aussi des espaces qui avant étaient industriels,
14:17 et donc on a une pollution des sols qui est très importante.
14:20 Et là, il y a une vraie question à aborder pour aider à l'installation,
14:24 que ce soit de petites agricultures ou en général sur la qualité du sol qu'on utilise.
14:28 Merci beaucoup Rosalie Perros.
14:30 On n'a pas dit que dimanche, il y avait aussi toute une journée dans le quartier Flaubert et à Coupe-Levis.
14:35 Tout à fait.
14:36 Merci beaucoup.
14:37 Vous allez voir que ça pousse aussi dans l'agenda avec les journées des plantes.
14:41 Le week-end à Pupetière, le château de Chabon plante le décor pour une 12e édition
14:46 qui réunira près de 70 exposants, spécialistes du monde végétal,
14:50 pépiniéristes, horticulteurs, rosiéristes, mais aussi des associations artistes et artisans
14:54 qui présenteront leur création originale autour du jardin.
14:57 Les journées seront ponctuées d'animations, films, conférences et ateliers.
15:02 Si tu ne viens pas au Hellfest, le Hellfest viendra à toi.
15:06 Pas besoin d'aller à Clisson en juin, puisque le métal se découvre en avril
15:09 à l'Iliade de Sessiné-Parisais.
15:11 Le warm-up, c'est samedi avec en première partie l'ingénieur du son qui monte le son.
15:15 En première partie, les Grenoblois de As A New Revolt et poursuivre Pogo,
15:19 Car Crash Control et Betraying The Martyrs, déjà présents en 2022.
15:23 Ils seront rejoints par Hacod et Moonreich.
15:26 Les amateurs apprécieront.
15:28 Là aussi, des animations sont prévues, mais avec un peu plus de volume.
15:31 Air guitar contest, tatouage, photocall interactif, projection et rencontre.
15:35 Et un nouveau, si on parlait ce vendredi avec Lucille Dailly,
15:39 les héros de leur enfance ne sont pas des souvenirs, c'est leur quotidien.
15:42 Combattants de sabres lasers ou maîtres des costumes,
15:45 ils seront à la fête au Héro Festival.
15:48 Le souvenir des Compagnons de la Libération, ils veulent garder vivant et intact
15:52 ce coureur de l'extrême se lance dans un nouveau périple dédié à leur mémoire.
15:57 A moins que vous ne préfériez craquer pour la Flûte à bec,
16:01 avec des spécialistes qui vont refaire vivre vos souvenirs et changer une image bien désuète
16:06 de ce bel instrument.
16:08 Retour de l'actu dans une heure et en replay sur telegrenoble.net.
16:11 On se quitte avec un autre style de musique, le groupe grenoblois Astrophicus,
16:15 qui sera en concert à la Bissurque samedi soir.
16:17 Et évidemment, ça peut faire le lien avec nos 48 heures,
16:20 puisqu'un ficus, c'est bien souvent la première plante qu'on a chez soi.
16:22 Une belle soirée et excellent long week-end à tous.
16:25 On se retrouve pour une nouvelle édition le 2 mai.
16:27 Tic tac, les aiguilles s'agitent, les âmes concassent, les îles et les ors s'effacent.
16:33 Les arbres rétrécissent à la flamme qui envie l'éclipse.
16:37 Nos ardeurs se tirent, moi je continue d'avoir chaud.
16:41 Les arbres froissent et leurs racines débrousées,
16:45 la rivière s'effile et s'assèche contre vents et marées.
16:49 Ah, les fonds qui chipent le vert dans nos jungles,
16:53 le mont des marteaux, plus une bouteille pour demain.
16:57 [Musique]