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NewsTranscription
00:00 je l'ai dit devant le chef de l'Etat.
00:02 Dans notre séminaire, le séminaire de MAK.
00:05 Il s'agit de la politique King Fahd Palace.
00:09 Je crois que la coalition Bernadotte Boko Yacar
00:14 a le droit, si on l'avait pris aujourd'hui,
00:18 je crois que ce qui s'est passé dans les élections locales et législatives,
00:24 et si on ne l'a pas fait, ce qui s'est passé en 2024,
00:29 dans toutes les élections,
00:31 il y aura une bonne réaction de la coalition.
00:36 Donc, à mon avis, la coalition ne se porte pas bien.
00:42 Je pense qu'on aura le temps de parler de ça.
00:47 Mais à mon avis, la coalition Bernadotte Boko Yacar
00:52 est en train de se réformer.
00:55 Il faut que l'on le regarde, mais aussi qu'on regarde comment il s'est réformé.
01:00 C'est ce qui a été le but du président Moussa Fahagnès, que je salue de passage.
01:06 Il a fait tout pour organiser ce séminaire,
01:10 mais il n'a pas retombé sur le plan organisationnel.
01:14 Je veux dire que le président de la République
01:18 doit recevoir, un par un, les membres de la coalition.
01:24 Je pense que la coalition doit être légalement constituée.
01:29 Et surtout, les partis politiques.
01:32 Parce qu'on ne peut pas prendre des gérables, des GIE,
01:36 des gens qui ne sont pas au courant de la coalition,
01:39 et qui prennent des centaines de millions de dollars par mois.
01:41 On doit aussi s'assurer que les gens qui travaillent ici
01:46 sont visibles, que nos militants soient visibles,
01:49 que nos actrices soient visibles,
01:50 que nous soyons des leaders,
01:53 et que nos militants puissent avoir une seule vie.
01:56 Et qu'on puisse tout faire pour que la coalition
02:01 soit en sécurité concernant Dali.
02:04 Avant de parler de la coalition,
02:07 il faut faire un sacrifice,
02:10 personnellement et à la partie,
02:12 pour que le chef de l'Etat puisse le soutenir.
02:14 Si tu peux venir ici, par rapport à ce que tu as fait,
02:19 si tu peux le signaler,
02:20 et que tu ailles faire un sacrifice pour que les gens puissent le soutenir.
02:26 On a fait une grande coalition.
02:30 C'est beaucoup.
02:32 Je veux dire que...
02:35 Je veux dire en tout cas...
02:37 En tout cas, le président de la république,
02:40 qui m'écoute, ou ceux qui sont avec lui,
02:44 je pense que je veux dire que nous ne devons pas nous battre pour rien.
02:48 Ce n'est pas bien.
02:50 Parce que nous avons fait un sacrifice.
02:53 Et nous allons appeler des leaders.
02:56 Des leaders de tous les parties.
03:00 Je veux dire à toi et à ta partie,
03:03 que ne vous arrêtez pas.
03:06 Car ce que vous faites,
03:10 c'est de vous décourager et de vous faire le président de la république.
03:14 Donc, si vous voulez le laisser, nous ne pouvons pas le faire.
03:19 Et effectivement,
03:21 je veux rappeler tout simplement que là-bas,
03:24 là-bas,
03:26 il y a eu un accident très dur.
03:28 Et c'est ce qui m'a fait mourir.
03:33 Parce que je me suis dit que si vous vous souvenez de la conférence de presse que j'ai faite,
03:39 dans la partie qui s'est déroulée à Gejaway,
03:43 c'est là que j'ai fait mon décès.
03:46 Quand je me suis rendu au plus haut sommet de l'Etat,
03:51 nous étions en complicité avec Alun Sal,
03:56 alors nous avons décidé de me faire le président.
03:59 Je me suis dit que je devais trouver une stratégie pour continuer à survivre.
04:05 Et je vous rappelle que nous avons eu des rappels
04:10 avec notre père,
04:14 l'ancien directeur de cabinet de Ouadou,
04:17 et ainsi de suite.
04:20 Je continuais à travailler pour la mouvance présidentielle avec le président Macky Sall.
04:24 Mais en ce moment, les choses sont plus compliquées.
04:27 Ils ont été en colère, ils ont été en colère.
04:30 Je pense que celui qui nous a aidés à lancer le premier ministre,
04:34 Souleymane Diaye, est le plus important.
04:38 Il faut donc être prudent et avoir une bonne coordination.
04:43 Mais le président doit être le plus important.
04:47 Et le jour où j'ai eu cet accident,
04:54 c'était le jour où nous avons fait ce que nous avions fait
04:58 jusqu'à la sortie du président de la république alors que je n'étais pas au courant.
05:03 Je pensais que j'étais en retard alors j'ai roulé à vive allure
05:07 et je suis arrivé au corniche et j'ai eu un accident.
05:10 J'ai perdu mon or et j'ai mal au ventre.
05:14 Dieu m'a aidé à me réveiller mais je pense que j'ai duré un mois.
05:21 J'ai eu des mécanismes à l'aide et je suis resté en retard.
05:26 Ce n'était pas facile de le retenir et de l'embarquer là où il était.
05:33 Je n'ai pas reçu de messages de la police.
05:37 - Je n'ai pas reçu de messages. - Tu as été en retard.
05:41 C'est ce qui m'a fait perdre mon or et je n'ai pas eu de réaction.
05:47 J'ai fait un témoignage à l'époque de la politique.
05:54 J'ai voulu faire un tournée national pour le président de la république.
06:01 Dieu m'a aidé à le faire et si je te le disais,
06:07 c'est de la même personne que mon frère le maire de Peking.
06:12 Il a fait ça devant tous les responsables de la banlieue.
06:15 Il a fait tout pour que la mairie ne le triche pas.
06:22 Je pense que c'est pour ça que j'ai fait ce tournée national.
06:26 J'ai fait des tournées au Kaoulak, au Socon, au Fatigue,
06:32 au Thies, au Tihouan, au Lougue, au Saint-Louis, au Kemmer et au Kessera.
06:39 J'ai fait des tournées dans les zones où on ne pouvait pas se faire de la maison.
06:48 Mais j'ai vu des motos qui ont été cassées.
06:52 J'ai publié ces photos sur ma page Facebook et j'ai fait des sacrifices.
06:58 Mais j'ai aussi fait des campagnes pour les personnes qui ont été victimes.
07:04 Mais j'avais décidé d'anticiper.
07:06 Dieu a aussi aidé à faire des campagnes pour les personnes qui ont été victimes.
07:11 J'ai donné mes moyens de campagne en tant que parti.
07:15 Je n'ai pas fait ça pour les personnes qui ont été victimes.
07:20 Je suis venu en ce moment pour les personnes qui ont été victimes.
07:25 Je suis venu pour toutes ces personnes.
07:28 C'était un genre de clanisme, on ne s'est pas d'accord si on n'est pas d'accord.
07:34 Je pense que ce n'était pas dans l'intérêt du président de la république.
07:37 Quand j'ai vu tous mes militants, je me suis dit que si je faisais une campagne
07:43 et que le président ou le président de la république ne me donnait rien
07:49 je serai le seul à avoir le droit de dire la vérité.
07:50 Parce que tous les partis ont donné leur avis.
07:54 Je n'avais pas envie de faire ça.
07:56 Je me suis dit que si je faisais une campagne sans donner de moyens,
08:03 ce n'est pas de la valeur.
08:04 Je me suis dit que même si j'avais dû accompagner l'opposition
08:09 je ne serai pas en mesure de faire ça.
08:12 C'est pourquoi je suis venu à l'Idy 2019 pour prendre mes moyens.
08:15 Je ne leur ai pas donné de moyens.
08:19 J'ai fait toutes les mobilisations et tous les meetings.
08:24 J'ai fait tout pour les libéraux.
08:28 J'ai fait tout pour les libéraux.
08:34 Je suis venu à l'APH pour faire mon part.
08:39 Je l'ai fait et je l'assume.
08:43 Mais depuis, on ne peut pas faire ça.
08:46 On ne peut pas avoir une fonction publique.
08:48 On ne peut pas faire ça.
08:52 Le problème fondamental c'est que nous ne voulons pas avoir une bonne méritocratie.
08:57 On ne veut pas avoir une méritocratie qui peut nous donner des carences.
09:00 Le président Macky Sall est un bon homme.
09:03 Il a fait tout pour nous et nous n'avons pas laissé personne pour lui.
09:09 Je l'ai vu réfléchir et je l'ai vu.
09:14 Je lui ai fait de la meilleure personne.
09:18 Je ne l'ai pas vu et je suis très déçu.
09:23 Malheureusement, vous êtes des gens qui me connaissez.
09:28 Je ne savais pas que vous étiez un bon homme.
09:31 Mais quand j'ai vu votre histoire, j'ai voulu vous demander de me faire un cadeau.
09:35 Mais le président de la république ne peut pas faire ça.
09:39 Il est dans son séminaire.
09:41 Il a des secrets que personne ne va lui dire.
09:44 Mais si vous me demandez de me faire un cadeau, je vous le ferai.
09:49 Je vais vous donner le nom de ce cadeau.
09:52 Je vous l'ai déjà dit.
09:55 Ce cadeau est pour nous de nous réunir en 2015.
10:01 Pour le parti sénégalais pour l'émergence.
10:04 Je l'ai indiqué ici, Abou Laye Daouda Diallo était ministre de l'intérieur.
10:09 Le parti sénégalais pour l'émergence, PSE
10:12 Le gouverneur a regardé le dossier
10:17 et il a dit que tout allait bien parce que PSE n'est pas un parti plein.
10:23 Le loi dit que le parti ne peut pas être un autre parti.
10:29 Ou un autre symbole.
10:31 Mais PSE n'est pas un parti.
10:34 - C'est ce qui est en train de se dérouler. - Oui.
10:39 Parce que Seringiou Saadata a pris le parti de PDS.
10:44 C'est un parti de PDS mais c'est différent.
10:47 Il y a une différence entre PDS et R.
10:50 R. est un organisme qui a appliqué une loi.
10:52 Si je dis que PSE est un parti pour l'émergence, je le dis.
10:57 Je respecte la loi car PSE n'est pas un parti.
10:59 Le gouverneur a dit que tout allait bien.
11:02 Mais le ministre de l'intérieur a dit que PSE n'est pas un parti.
11:07 - Parce que c'est un programme. - Oui.
11:09 Seringiou Saadata a fait le dossier pour PSE
11:14 et il a dit que PSE n'est pas un parti.
11:17 Mais le parti de PLD que nous avons donné à Omar Sarr
11:22 c'est un parti de moi.
11:25 Il a dit que PLD n'est pas un parti.
11:32 Donc, je suis en colère.
11:36 Je suis en colère de me faire tuer.
11:40 Je ne savais pas que Mme Jaru et l'armée mexicaine nous battaient.
11:45 Je suis libéral et je crois en fraternité.
11:47 On a un esprit de solidarité et de fraternité.
11:54 C'est pourquoi on a voulu qu'on soit en colère contre les Sénégalais.
12:00 Après la mort de Aboulaye Daouda Diallo, il fallait qu'on se réunisse.
12:07 Il a été bien reçu et il est revenu pour nous donner la réception.
12:11 On a tous l'habitude de l'unité et de la vision du chef de l'Etat.
12:21 On a toujours été en colère contre le chef de l'Etat.
12:27 Mais il y a beaucoup de choses à dire sur l'unité.
12:31 L'unité n'est pas une chose.
12:35 L'unité est une unité.
12:39 Je ne dis pas que c'est une unité, c'est juste un appareil.
12:43 On a toujours été en colère contre Aboulaye Daouda Diallo
12:48 et Cheikh Omar Anne.
12:50 On a toujours été en colère contre le calife Omarienne.
12:55 Parce que le directeur général a dit qu'on allait se faire en colère.
12:58 C'est juste un signe.
13:01 C'est le problème de ces deux parties qui veulent bloquer la formation du gouvernement.
13:13 On a fait la même chose avec le Boko Yakar.
13:16 On a favorisé quelques parties pour les financer et les aider.
13:21 Ils ont donné des postes ministériels, des postes de direction et des postes PCA.
13:28 Ils ont respecté les autres parties.
13:31 Ils ont fait tout pour les mobiliser.
13:37 Alors que les parties politiques sont en dégâts.
13:40 Ils ont mis en place des conseils économiques, sociales et environnementaux.
13:48 Ils ont mis en place des conseils pour les femmes de l'alliance de l'Etat.
13:54 Ils ont mis en place des conseils pour les femmes de l'Alliance démocratique pour une Afrique émergente.
13:59 Ils ont fait tout pour le Boko Yakar.
14:03 Le problème est que le président Macky Salle doit être en colère.
14:10 Il doit être en colère.
14:12 Il faut vraiment faire face à ce problème.
14:17 On ne peut pas parler de Macky Salle si elle ne fait pas de bonnes choses.
14:24 On ne peut pas parler de Macky Salle si elle ne fait pas de bons articles.
14:29 Je suis en colère contre les menaces de mort.
14:33 J'ai arrêté de faire des articles sur les menaces de mort.
14:36 Je n'ai jamais parlé de ces menaces de mort sur mon téléphone.
14:45 Je n'ai jamais porté plainte et je n'ai jamais été en colère.
14:49 J'ai pris des décisions pour être en politique.
14:54 Je suis en colère pour ça.
14:56 Je me suis informé de mes enfants et je leur ai demandé de ne pas les faire en colère.
15:01 Je leur ai demandé de ne pas être en colère car je n'étais pas engagé en politique.
15:06 J'assume que le responsable de Salam Beng est à Pekin en mars 2021.
15:12 Je ne sais pas où ils m'ont envoyé pour que je ne les fasse pas en colère.
15:16 On a changé les photos de tous les présidents de Macky Salle.
15:20 Personne ne connait Macky Salle et personne ne l'a rencontré.
15:23 - Tu n'as rien à faire. - On a arrêté de faire des articles sur les plateaux.
15:28 Personne ne m'a vu, il y a seulement deux personnes.
15:33 Je suis en colère mais je ne sais pas pourquoi je le faisais.
15:38 Je suis l'idée de tous les présidents de Macky Salle.
15:45 Je veux que tu les reconnaisses dans les moments de difficulté.
15:48 Malheureusement, j'ai sacrifié mon temps pour aller chercher du pétrole.
15:53 Je suis allé parler au gouvernement et ils ne savent pas ce qu'ils disent.
15:57 Ils ont fait des inondations et ils ne savent pas comment communiquer.
16:02 Je suis allé communiquer avec eux et ils ont tous été en colère.