Céline Dion bientôt rapatriée en France pour se faire soigner ?

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 Céline Dion, rapatriée bientôt en France.

00:02 C'est une info incroyable, la pauvre.

00:04 C'est potin de star, évidemment, maintenant.

00:06 Cette semaine, on va parler de, comme je vous le disais, Céline Dion.

00:09 Vous savez, elle a des problèmes de santé très graves.

00:11 D'ailleurs, on ne sait jamais trop ce qu'elle a.

00:13 On a dit tellement de choses sur elle.

00:14 Moi, je sais que les assurances, en tout cas, je le sais,

00:16 parce que je fréquente les gens qui, justement, organisent des concerts,

00:19 ils ne sont pas très chauds pour qu'elle vienne.

00:21 Parce que si jamais elle ne chante pas comme prévu, il faut rembourser.

00:25 Donc, les assurances ne veulent pas la tuer.

00:27 Impossible, parce qu'elle a une maladie auto-immune.

00:30 On ne connaît pas les causes.

00:32 On ne connaît pas le traitement.

00:34 En fait, elle a développé une sorte d'anticorps, apparemment, j'ai lu ça,

00:37 qui cible une enzyme et qui perturbe les muscles.

00:40 Donc, en fait, elle aurait du mal à marcher.

00:42 Et les cordes vocales étant un muscle,

00:44 elle aurait aussi des difficultés aujourd'hui pour chanter.

00:47 Donc, c'est pour ça qu'elle va se faire soigner dans une unité très spécialisée

00:50 et même innovante.

00:51 Et vous savez où ? J'ai appris où ?

00:53 A Montpellier, en Chute.

00:55 - Je suis assez étonné. En effet, la star souffre d'une maladie auto-immune,

00:57 comme vous venez de le dire, Sophie.

00:59 - La maladie de l'homme raide. - C'est ça.

01:01 - Le syndrome de la personne raide. - Comme René.

01:03 - C'est un truc qui t'arrive encore, toi ?

01:05 - Du seloué.

01:07 - Non, mais ça, je savais qu'elle...

01:09 - Mais seulement à une partie du corps, seulement.

01:11 - Ah, d'accord. Non, non, j'aurais pas dû dire ça.

01:14 C'est de ma faute. - Tu cherches.

01:16 - C'est de ma faute, je reconnais.

01:18 C'est très sérieux. Je veux dire pourquoi c'est sérieux.

01:20 Parce que nous, on est tous fans de Céline Dion.

01:22 - Moi, j'ai des places, j'attends toujours. - Moi aussi, j'attends toujours.

01:24 - Ah oui ? - Bah, j'irai la voir à Montpellier.

01:26 - T'as des places pour quand, toi ? - Bah, moi, c'est pour septembre.

01:28 J'irai la voir à Montpellier. Ça sera pas la même aréna, à mon avis.

01:31 - Non, mais t'as des places pour quand ? - Ça fait 3 ans.

01:33 - Septembre, moi. - Depuis septembre, il y a 2 ans.

01:35 - Ah non, je les ai depuis 3 ans, mais je devais aller la voir en septembre.

01:38 - Ah bah, dis donc, tu t'accroches, hein. - Ah bah, ouais, bah, comme elle.

01:40 Je m'accroche.

01:42 - Mais non, mais c'est bien, la pauvre. On l'aime beaucoup, oui.

01:45 - Moi, je suis très fière pour la médecine française.

01:47 Parce que, quand même, a priori, aux Etats-Unis, il y a absolument tout.

01:50 Et le fait qu'elle vienne en France... - Ouais, c'est surtout gratuit en France.

01:53 - Non, mais je pense pas que ça ferait une question de cul.

01:55 - Elle est pas française. - Elle est pas française.

01:57 - Non, non, non, non, si elle est pas française, elle paye.

01:59 Non, non, pour nous, français, c'est gratuit.

02:01 - Les migrants qui sont malades, on les paye ?

02:03 - Oui, oui, ils payent.

02:05 - Et les enfants, cette considération financière, il faut pas en tenir compte,

02:08 parce qu'en même, on adore Céline Dion.

02:10 - Bien sûr. - Elle est québécoise, elle a ses sous, elle va payer.

02:13 - Non, mais il y a très... - C'est pas le problème.

02:15 - Le roi du Maroc, par exemple, il va très souvent se faire foutre.

02:17 - C'est pas le problème, c'est comme Tijé.

02:18 Parce qu'il y a pas de raison entre les grands sportifs qui sont suisses.

02:21 Il y a toujours un rapport avec l'argent. Toujours.

02:23 - Oui, alors c'est quand même... - Qui profite le crime, toujours.

02:25 - Ouh là là, il est énervé, toi, Michel !

02:28 - Il est énervé, hein. - Tu seras pas un ami, toi, Samy ?

02:30 Calme-toi. Non, les amis, je voudrais juste terminer en vous disant...

02:33 Enfin, pas terminer, mais en vous disant, en tout cas, cette pathologie touche,

02:36 comme l'a dit tout à l'heure Sophie, très justement, tout le système nerveux central,

02:39 et également les cordes vocales, et provoque une raideur musculaire

02:42 et des spasmes progressifs.

02:44 - Et c'est pour ça qu'elle va là-bas, parce qu'en fait, là-bas, ce professeur...

02:47 - Au CHU de Montpellier. - Ce professeur de médecine teste,

02:50 en fait, c'est des traitements qui sont expérimentaux.

02:52 Donc il va tester des choses sur elle, et c'est un peu le truc de la dernière chance...

02:54 - La cobaye, quoi. - Pour qu'elle puisse chanter, hein.

02:56 Je parle pas d'un pronostic vital, hein.

02:58 - Non, mais les traitements... - Simplement pour qu'elle puisse remonter sur scène,

03:01 ce serait... Voilà. C'est des traitements qui vont tester, en fait, sur elle.

03:04 - Oui, mais qui ont déjà... Enfin, rassurons-nous, qui ont déjà été, quand même...

03:07 - C'est des traitements qui ont déjà été... - C'est des traitements qui ont déjà été...

03:09 - C'est des traitements qui ont déjà été... - C'est des traitements qui ont déjà été...

03:10 - C'est des traitements qui ont déjà été... - C'est des traitements qui ont déjà été...

03:11 - C'est des traitements qui ont déjà été... - C'est des traitements qui ont déjà été...

03:12 - C'est des traitements qui ont déjà été... - C'est des traitements qui ont déjà été...

03:13 - C'est des traitements qui ont déjà été... - C'est des traitements qui ont déjà été...

03:38 - Vous savez, moi, à une époque, j'ai perdu aussi ma voix totalement.

03:40 - Mais vous êtes pas une personne, toi.

03:42 (rires)

03:44 (applaudissements)

03:46 - C'est vrai.

03:48 (applaudissements)

03:50 - Et alors, et alors, et alors, vous vous rendez pas compte.

03:53 À une époque, quand j'avais eu un choc psychologique, c'est quand je t'ai vue en vrai.

03:57 Et j'ai perdu ma voix directe.

04:00 Et je peux te dire que j'allais chez l'épicier, je mettais tomate, oignon...

04:04 J'adore l'oignon. - Oui, mais c'était grave.

04:06 - Tu vois, et Mozzarella, Issa, elle peut rien dire.

04:09 - Du coup, personne avait acheté de place.

04:11 - Mais non, je peux pas parler. C'est le muscle qui était bloqué.

04:14 - Mais tout le monde s'en moquait. - À part le singe qui pète.

04:16 - Pas de moi. - Tout le monde s'en foutait.

04:18 - Non, pas de vous, mais du fait que...

04:20 - À part le singe qui pète dans Vidéogag, tout le monde s'en foutait.

04:22 (rires)

04:24 - Déborah. - Vous savez qu'elle est attendue,

04:26 normalement, le 7 juin, en France, pour la promo du fameux film

04:29 qui va sortir, la "Love Again", dans lequel elle est.

04:32 Et il se pourrait qu'elle fasse le déplacement et qu'elle, du coup,

04:35 en profite pour aller... - À Montpellier.

04:37 - À ce fameux CHU de Montpellier.

04:39 - Moi, c'est les enfants que je pense.

04:41 Les pauvres, ils ont perdu leur papa qui était âgé.

04:43 Maintenant, leur mère va finir toute raide.

04:45 Enfin, c'est perdu. (rires)

04:47 - Non, mais c'est la maladie de leur raide.

04:49 - Non, dis donc, t'es fan d'elle et tu parles comme ça, je suis de toi.

04:51 - Et surtout que... - Eh bien alors, respect.

04:53 - Non, mais si t'étais vraiment fan, tu saurais qu'elle n'adresse plus la parole à l'âge.

04:56 - Non, je les en fous. - Oui, mais ça va revenir.

04:58 C'est une maman. - Jean-Luc.

05:00 - Non, mais c'est vraiment... Avec l'aîné, ça se passe...

05:02 - Ferme la verne. - Les bouts sont coupés.

05:04 - Oui, oui. - Je voudrais juste dire un truc.

05:06 Alors, évidemment, on est tous fans de Céline Dion.

05:08 On l'aime et on a envie que ça se fasse...

05:10 - Ça sent la vacherie quand ça commence comme ça.

05:12 - Mais j'aimerais qu'elle ne l'oublie pas quand elle sera soignée.

05:14 Parce que moi, je suis sûre qu'elle va être soignée

05:16 et que tout va aller mieux, qu'elle ne retourne pas faire une résidence

05:18 à Las Vegas, qu'elle vienne la faire à Montpellier, par exemple,

05:20 aux Aisnies-de-Sud. Comme ça, nous, on peut la voir en profiter.

05:22 Ça ne coûte pas 3 000 euros pour aller la voir en concert.

05:24 Voilà, c'est tout. - Les places à Paris, c'était cher.

05:26 - Oui, elle devait coûter une blinde.

05:28 - À Montpellier, peut-être un petit peu moins.

05:30 - Il faut quand même préciser qu'elle nous fera une ristourne.

05:32 - Tu dis qu'elle sera soignée. En France, on soigne vraiment tout le monde

05:34 de la même façon. - Non.

05:36 - Non, non, non.

05:38 - Alors, attendez, vous venez d'évoquer son fils, Déborah.

05:40 Pourquoi elle est fâchée avec son fils ? Est-ce que vous le savez ?

05:42 - En fait, son fils est en couple avec une jeune femme.

05:44 - C'est René Charles, non ? Le grand ?

05:46 - Laurent ? - Non, René Charles.

05:48 - Ah oui, René Charles. Il est en couple avec une jeune femme

05:51 dont les parents sont les propriétaires d'un grand casino Las Vegas.

05:56 Et il se dirait qu'il a la même addiction que son papa

06:00 et qu'il passe son temps à dépenser sur son passif dans les casinos.

06:04 - Moi, je le voyais quand je suis allé voir Céline Dion dans les coulisses.

06:07 Vous savez à quoi il jouait, le gosse ? - À la crapette.

06:09 - Qu'est-ce que c'est ?

06:11 - La vieille du bout de la table.

06:15 - La crapette. - La machine à saut.

06:17 - Alors, excusez-moi, j'ai un certain âge.

06:19 - C'est quoi, la crapette ? - C'est un jeu de cartes.

06:21 - Ah, le jeu de cartes. - Jouer ma grand-mère.

06:23 - Non, il était sur des rollers. - Ah, sur des rollers.

06:25 - Et il fonçait comme un malade dans les couloirs. Il a renversé des gens.

06:27 - Quel voyou ! - Mais ouais, non, non, mais c'était rigolo, remarque.

06:29 - Moi, c'est mon caractère de merde. - Ah oui, il est cradé comme un voyou.

06:32 - Je le vois passer. - J'étais le petit con.

06:34 - Et Céline, qui me dit "Ah, c'est mon fils !"

06:38 - Oh, il est tellement mignon !

06:40 - Il est tellement mignon !

06:42 - Mais non, ça le fait, il fait juste cela. C'est vrai.

06:45 - C'était à l'accord à Réna.

06:47 - Tu vois, tu vas dans les loges, c'est déjà compliqué.

06:49 - Tu fais des détours comme ça, tu vois l'autre qui arrive comme un malade.

06:53 - Tu sais, elle est sur sa planche, il est malade, lui.

06:55 - Si on bougeait. - Moi, si je tombe par terre, je peux plus me brûler, peut-être.

06:57 - Tout ça pour te placer que tu l'as rencontrée, quoi.

06:59 - Tout ça pour te placer que tu l'as rencontrée, parce que l'anecdote est minable.

07:01 - Oui, c'est vrai.

07:03 - Ah ben tiens, je vous mettrai la photo la prochaine fois avec elle.

07:05 - Génial !

07:07 - Tu sais, quand on fait des photos avec Céline Dion, justement,

07:09 - Bon, moi je l'avais reçue depuis le début, à l'époque de Drucker, pareil, la chanson, vous savez.

07:14 - Elle a un profil. - Hein ?

07:16 - Elle a un profil. - Pas du tout.

07:18 - Je peux terminer ma phrase ? Si tu veux.

07:20 - Non, alors elle arrive, mignonne, charmante, "Ah, Bernard", on lui a dit qui c'était, parce que je ne l'avais pas vue depuis longtemps.

07:25 - Et alors, il y a des places, un emplacement très prévu.

07:27 - Il y a ta place à toi, la petite croix, et sa place à elle.

07:30 - Et alors elle arrive, tu sais, comme ça, elle arrive, et puis, elle se met comme ça.

07:33 - Et tu lui parles, elle ne répond pas.

07:35 - Elle est en sur.

07:37 - Je te jure, cela dit, adorable.

07:39 - Alors après, elle se parle, "Bon, Bernard, qu'est-ce que tu fais ?"

07:42 - Elle dit "Oui, il paraît que tu es une super star en France".

07:44 - Tu vois, on m'a vendu comme si j'étais Drucker.

07:46 - Ah !

07:48 - Oh !

07:50 - Salut !

07:52 - Je vous mettrai la photo la prochaine fois.

07:54 - Non, non, un amour, un amour.

07:56 - Mais tu vois, Bernard, tout à l'heure, dans les coulisses, tu m'as dit avant de rentrer,

07:58 il ne faut pas trop que je raconte d'histoire sur mes trucs,

08:00 parce qu'on va dire, il est partout, il se place partout, il a tout fait, tout le monde.

08:02 - C'est la vérité.

08:04 - Et je te dis, c'est faux, parce que tu connais plein de monde, et les gens,

08:06 ils ont envie d'entendre des choses que je ne pense pas.

08:08 - Je pense que vous nous dites un quart de ce que vous voyez.

08:10 - Un quart, voir, sur Cénébio, je pense que tu as plein de trucs à raconter, en vrai.

08:12 - Raconte, raconte.

08:14 - C'est une fille formidable.

08:16 - Merci, Bernard.

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