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Aujourd’hui, en pleine période de finales NBA, il est temps pour nous de vous livrer notre petit florilèges des anecdotes les moins connues, à propos de l’un des principaux protagonistes de ces playoffs NBA fantastiques : Nikola Jokic.

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Sport
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00:00 Salut tout le monde ! Aujourd'hui, en pleine période de finale NBA,
00:02 il est temps pour nous de vous livrer notre petit florilège des anecdotes les moins connues
00:06 à propos de l'un des principaux protagonistes de ces playoffs fantastiques, Nikola Jokic.
00:11 La première chose à savoir, c'est qu'au départ le pivot serbe ne se pensait pas du tout destiné à la pratique du basket.
00:15 En grandissant dans sa famille, il se régalait à passer son temps auprès des chevaux dans une écurie
00:20 où il prenait soin des équidés et nettoyait leur box.
00:23 Il adorait ça, participer à des courses à cheval ou faire des balades sur le dos de cet animal
00:27 qu'il trouvait d'une élégance folle, c'est ça qui le rendait heureux.
00:30 Bien sûr, il kiffait aussi la balle orange au moins un peu,
00:32 et comme ses deux grands frères qui ont tous les deux plus de 10 ans de plus que lui
00:36 et qui ont évolué à haut niveau, il pratiquait ce sport comme le voulait la tradition familiale.
00:40 Mais à l'adolescence, vers l'âge de 13-14 ans, le joker qui déjà était très grand pour son âge a fait un choix,
00:45 celui de laisser tomber le basketball pour vivre à fond le stage qu'il a réalisé dans les écuries de son bord, sa ville de naissance.
00:51 Et vous savez ce qui est le plus surprenant ? C'est qu'à une période, le basket s'était même devenu une contrainte pour lui.
00:56 Plusieurs fois, il a pleuré dans une volonté de manquer les entraînements,
00:59 et finissait par y aller seulement parce que son père le poussait,
01:02 conscient du potentiel de son fils qui déjà s'inspirait de joueurs comme Tim Duncan ou Boris Diaw.
01:06 Le truc, c'est que pour Jokic, le basket c'était un loisir qu'il pratiquait essentiellement dans le jardin familial avec ses frères,
01:11 et dans lequel il ne voulait pas forcément s'investir comme il le faisait pour les chevaux.
01:15 Il aimait jouer avec un ballon c'est sûr, mais il n'aimait pas courir, sauter,
01:18 et détestait par-dessus tout, toute la préparation physique que la pratique du basket impliquait.
01:22 Et puis il faut le dire, la NBA il n'en regardait jamais, il n'y avait pas accès,
01:26 mis à part sur YouTube, plateforme sur laquelle plus jeune, il regardait des highlights de Michael Jordan ou Kobe Bryant, mais pas beaucoup plus.
01:32 Ce qu'il aimait par-dessus tout, c'était profiter de la nature, mais aussi faire la fête,
01:36 traîner avec les filles, et se construire un avenir dans le sport était loin d'être sa priorité.
01:40 De toute façon, la ville, les projecteurs et les paillettes n'étaient pas faits pour lui,
01:43 l'adolescent préférant largement le calme de sa campagne à la fast life de la capitale Belgrade, située un peu plus de deux heures de chez lui.
01:49 Aujourd'hui ça n'a pas changé, ses vacances et tout son temps off il les passe à son bord,
01:53 et Belgrade il n'y va que pour renouveler son visa.
01:55 Comme quoi, les années ont beau passer, les habitudes ne changent pas.
01:58 Il affirme d'ailleurs que c'est chez lui en Serbie qu'il passera son après-carrière,
02:01 lui qui en 2017, à la fin de sa saison sauf au mort, affirmait que son pays natal lui manquait beaucoup trop.
02:06 Heureusement à Denver, avec la montagne, les rivières, la nature et le calme, il a fini par se trouver une maison.
02:11 Ses frères et sa petite amie l'ont rejoint dans le Colorado aussi.
02:14 Jokic retrouva le sourire, et ce furent tous les dirigeants des Nuggets qui furent rassurés.
02:17 Ceci dit, si l'on revient à l'époque de son adolescence,
02:20 peut-être parce que la pratique d'un sport collectif lui manquait,
02:22 au bout de ses six mois dans l'écurie, et encore une fois poussé par son paternel,
02:26 Jokic prit la décision de reprendre le basket.
02:28 Cela n'a pas été simple, car son coach de l'époque, en pleine saison, n'avait plus forcément de place pour lui.
02:32 Alors encore une fois, c'est papa Jokic qui a dû sortir ses plus beaux arguments,
02:36 pour convaincre le formateur de le reprendre dans son équipe.
02:38 Résultat, aujourd'hui il se lève toutes les nuits, les soirs de match,
02:42 pour regarder son fils jouer à trois heures du mat.
02:44 Et clairement, le paternel, quand il a vu son rejeton devenir deux fois MVP,
02:48 a dû se dire qu'il avait bien fait de le pousser un peu.
02:50 Pour notre deuxième anecdote, il faut que l'on vous raconte comment, après sa reprise du basket,
02:54 le joker fut découvert par Misko Raznatovich,
02:56 un homme à la tête de l'agence BO Basket, qui a racheté le club de Megalex, pépinière de talent.
03:01 Quand la plupart des prospects prometteurs à 15 ans sont déjà tous sur les tablettes des scouts NBS,
03:05 n'était absolument pas le cas du Jokic, qui lui, malgré ses qualités, était complètement inconnu du grand public,
03:10 même en Serbie.
03:11 Mais ce qu'il s'est passé, c'est qu'un jour, Raznatovich a vu dans son journal
03:13 qu'un gamin de l'équipe junior de Vojvodina venait de compiler des stats folles,
03:17 25 points et tout autant de rebonds.
03:19 C'est ainsi que, le week-end suivant, il a guetté ses chiffres,
03:21 afin d'en savoir plus sur cette potentielle pépite,
03:23 et voir qui était l'auteur de ces stats de mammouths découvertes dans le journal local.
03:27 Puis, pour avoir plus d'infos, il a appelé son meilleur scout,
03:30 qui, notamment, avait travaillé avec Boban Marjanovic ou Nikola Pekovic,
03:33 mais ce fut un fail, il n'avait jamais entendu parler de ce mystérieux Nikola Jokic.
03:37 Alors, directement, Raznatovich lui donna la mission de se renseigner.
03:40 Un mec capable de produire de tels chiffres avait forcément du talent et un potentiel à développer.
03:45 Quelques jours après, il reçut le rapport.
03:47 Jokic était un joueur en surpoids, mou, qui manquait de muscles,
03:50 mais selon le scout, il disposait d'un talent et d'un sens du jeu
03:54 qui, potentiellement, pourraient le rendre unique.
03:56 Du coup, pas de temps à perdre, cette info lui suffisait.
03:58 Il ordonna à ses hommes de se rendre à Novi Sad,
04:00 et de ne pas en repartir tant qu'il n'aurait pas convaincu le pivot de signer un contrat avec eux.
04:05 Le joker allait alors sur ses 18 ans,
04:06 et vu qu'il ne possédait aucun contrat avec son club de Vojvodina,
04:09 ce ne fut pas difficile de le convaincre.
04:11 C'est ainsi que son aventure avec Megalex commença,
04:13 et qu'il put participer à ses premiers entraînements,
04:15 au sein de ce club orienté vers la formation des jeunes talents.
04:17 C'est à ce moment là que les choses se sont accélérées,
04:19 car après seulement trois practices, le coach réputé déjà de Milošević
04:22 promettait que dans un mois à peine, il serait dans la rotation.
04:25 Dans un premier temps, Raznatovich ne l'a pas cru,
04:27 et lui a demandé de ne pas en rajouter.
04:29 Mais les semaines qui suivirent lui montrèrent que non,
04:31 tout ce qui était dit était bien réel.
04:33 Le plus difficile fut tout de même de bosser sur sa condition physique,
04:36 qui apparemment était déplorable, étant incapable de faire ne serait-ce qu'une seule pompe.
04:40 C'est pour ça qu'il fut pris en charge personnellement par Marko Kozic,
04:43 un préparateur individuel, prêt à tout pour le faire transpirer.
04:46 Pour tout le monde, il était alors un ovni,
04:48 jamais personne n'avait vu un jeune joueur si talentueux
04:50 prendre le basket si peu au sérieux.
04:52 Lui ce qu'il aimait, c'était participer aux événements avec les gamins,
04:55 pour s'amuser, déguisé en mascotte,
04:56 en leur envoyant des passes les plus loufoques possibles,
04:58 ou alors en créant ses propres règles,
05:00 qui impliquaient de jouer avec deux ballons à la fois.
05:02 Du jokic dans le texte.
05:03 Le contraste avec un vacillier midfield par exemple,
05:05 son coéquipier de l'époque, d'un an son aîné,
05:07 aujourd'hui star de l'Euroleague,
05:09 et qui lui prenait chaque seconde de son entraînement au sérieux, était poignant.
05:12 Mais bon, au fur et à mesure, en faisant appel à ses frères,
05:15 et en trouvant sans cesse des stratégies pour lui parler et le convaincre,
05:18 comme celle du bon flic et du mauvais flic,
05:20 les coachs finirent par faire comprendre au jeune Nikola qu'il fallait s'y mettre pour de bon.
05:23 Grand bien lui en a fait, car entre les mains de Kozic, en quelques mois à peine,
05:27 une fois qu'il lui connut le déclic, le joker était devenu une machine.
05:30 En juin, à la fin de sa première saison,
05:32 Jokic jouait déjà 25 minutes en demi-finale des playoffs.
05:35 Et sans non plus trop forcer, il s'imposa comme l'un des joueurs les plus importants de la rotation.
05:40 Quelle ascension !
05:41 Pour la troisième anecdote, il faut revenir quelques mois avant sa draft,
05:43 durant lequel, vous le savez, il fut choisi avec le 41ème choix,
05:47 pendant qu'une pub de Tacos était diffusée sur la télévision nationale.
05:50 Mais l'histoire que vous ne connaissez peut-être pas,
05:52 c'est qu'il s'en est fallu de très très peu pour que son avenir se déroule plutôt du côté de l'Espagne,
05:57 quand NBA.
05:58 A Barcelone plus précisément.
05:59 En fait, les recruteurs de la franchise catalane étaient venus le voir jouer en Serbie,
06:02 avec l'objectif de lui proposer un contrat, eux qui le suivaient déjà depuis un moment,
06:06 et qui avaient arrangé un deal avec Megalex.
06:08 Le truc, c'est que ce jour-là, le joker est passé complètement à côté de son match,
06:11 à tel point que son coach, Djan Milojevic,
06:13 dut lui dire à la mi-temps qu'il ne le reconnaissait absolument pas.
06:16 Et là, vous imaginez qu'il s'est réveillé, qu'il s'est repris en main,
06:18 et a fait une super deuxième mi-temps ?
06:20 Pas du tout.
06:21 La suite fut encore pire,
06:22 ce qui poussa les dirigeants barcelonais à prendre un délai de réflexion,
06:25 avant d'engager le pivot, alors que pourtant, tous les papiers étaient déjà rédigés.
06:28 Il ne manquait que la signature de Jokic.
06:30 Entre temps, les Nuggets, eux, avaient engagé comme scout,
06:33 Artur Askar Nisovas, la légende des parquets européens,
06:36 et bien connue en France, du côté de Cholet par exemple.
06:38 Lui, quand il a vu le joker jouer, tout de suite il s'est rendu compte de son talent,
06:41 et même si pour lui, il faudrait probablement du temps au pivot pour exploser,
06:44 son potentiel était réel.
06:46 Il est donc allé le voir en lui disant que s'il se présentait à la draft,
06:49 et qu'il était encore disponible, la franchise de Denver le choisirait.
06:52 Avec le 41ème choix, la promesse a été tenue, et la suite, vous la connaissez.
06:55 Comme quoi, parfois, une carrière de sportif pro, ça ne tient pas à grand chose.
06:59 Pour notre quatrième anecdote, revenons un peu sur les problèmes de poids et de conditions physiques,
07:02 qui pendant longtemps, ont collé au basque de Nikola Jokic.
07:05 Bon, si aujourd'hui, il semble complètement débarrassé de ses soucis,
07:08 notamment depuis le régime drastique qu'il a suivi pendant la pandémie liée au Covid,
07:11 certaines de ses mauvaises habitudes furent difficiles à mettre de côté.
07:14 En effet, le serbe raconte qu'en arrivant en NBA, il ingurgitait 2 à 3 litres de Coca-Cola par jour,
07:19 et lors de son premier entraînement, ce fut un choc.
07:21 Tout le monde était physique, athlétique et dunké dans tous les sens,
07:24 à tel point que rapidement, en plein complexe d'infériorité,
07:27 le joker s'est demandé ce qu'il foutait là.
07:29 Et puis, il faut dire que le Coca, ce n'était pas son seul péché mignon,
07:31 vu que le pivot avait également pris l'habitude de manger un demi-kilogramme de bourrecque,
07:35 une pâtisserie extrêmement grasse originaire des Balkans, à chaque petit-déj.
07:39 Autant dire qu'en arrivant aux Etats-Unis, il est vite passé pour l'un des joueurs
07:42 avec la pire condition physique de toute la NBA.
07:45 Heureusement qu'il avait des skills pour compenser ça.
07:47 Mais bon, encore une fois, peu à peu, en étant bien entouré par les dirigeants, préparateurs et coachs,
07:51 qui croyaient en lui, Jokic a perdu du poids,
07:53 se rapprochant de plus en plus de la forme nécessaire pour un sportif de haut niveau.
07:56 De toute façon, le choc a été tel lors de son premier entraînement
07:59 que depuis, il a complètement abandonné le Coca.
08:01 Il l'a dit, sa dernière canette a été bu lors de son vol vers les Etats-Unis.
08:04 Bilan des courses, le pivot a perdu plus de 15 kilos lors de sa saison rookie,
08:07 et a même pu fouler le parquet pendant 80 matchs,
08:09 lui qui ne s'attendait qu'à s'entraîner,
08:11 et ne s'imaginait même pas pouvoir rentrer ne serait-ce qu'une seule fois sur le parquet en tant que rookie.
08:15 Quoi qu'il en soit, le choix du sevrage fut visiblement le bon,
08:17 car aujourd'hui, plus personne ne peut critiquer le poids ou la condition physique de ce joueur
08:21 qui, année après année, ne manque que très, très peu de matchs sur blessure.
08:24 Quand on mesure 2m11 et qu'on pèse près de 130 kilos,
08:27 bien souvent, la santé empathie.
08:28 Mais pas pour Jokic, qui au fur et à mesure de ses 7 saisons en NBA,
08:32 à semble-t-il, sut trouver le parfait équilibre entre le plaisir de la bouffe et la préparation physique.
08:36 Quoi qu'il en soit, cette anecdote du Coca, nous l'avons trouvé plutôt fun,
08:38 et elle le devient encore plus lorsque l'on sait que pendant longtemps à Denver,
08:41 le Joker a évolué dans une salle nommée le "Pepsi Center".
08:45 Ça ne s'invente pas.
08:46 Notre histoire numéro 5 est un peu plus connue, mais sait-on jamais.
08:49 Étiez-vous au courant qu'à chacun de ses matchs,
08:51 Nikola Jokic portait son alliance comme un porte-bonheur noué autour de ses lacets ?
08:54 Oui ? Non ? Et bien maintenant, vous le savez.
08:56 Cette alliance, c'est celle qu'il a reçue suite à son mariage en 2020 avec Natalia,
08:59 une femme discrète que le Joker a rencontrée au lycée.
09:02 Ce qu'il faut savoir, c'est que dans l'ombre, elle a toujours soutenu Nikola,
09:05 et lorsqu'elle l'a rejoint à Denver,
09:06 jamais elle n'a hésité face à l'idée de partager un appartement de 3 chambres avec son amoureux,
09:10 mais aussi ses deux géants de grands frères.
09:12 Dans le logement, visiblement, des parties de cartes endiablées et très compétitives se déroulaient chaque soir,
09:16 dans une ambiance toujours bonne enfant, où tout le monde trichait,
09:19 sauf Natalia, qui se faisait tout le temps avoir.
09:21 À la maison, c'est elle qui cuisine, principalement.
09:23 Mais Nikola est quand même fier de préciser que c'est lui qui s'occupe des barbecues.
09:27 Notons également que Natalia est sportive aussi, et qu'elle connaissait bien les États-Unis,
09:30 vu qu'elle fut recrutée par l'équipe universitaire de volleyball d'Oklahoma en 2013.
09:34 Depuis 2021, Nikola et son épouse, qui semblent vivre une romance digne d'un film à l'eau de rose,
09:38 sont les heureux parents d'une petite fille, âgée aujourd'hui de 2 ans.
09:41 Dans ce quotidien américain, aujourd'hui, le Joker a donc trouvé sa place,
09:43 et il semble vivre un conte de fées, auprès de sa famille si importante à ses yeux.
09:47 Alors au final, quand on se rend compte de tout ça, il n'est finalement pas si étonnant de savoir
09:50 pourquoi Nikola tient tant à porter son alliance attachée à ses lacets.
09:53 Pour finir, passons à notre 6ème anecdote, qui est plutôt rigolote.
09:56 Vous vous rappelez tout à l'heure, quand on évoquait le plaisir que ressentait le Joker à Megalex,
10:00 lorsqu'il s'amusait avec les kids ?
10:01 Eh bien forcément, avec un tel comportement, en étant doté d'une telle sympathie, d'une telle humilité,
10:06 Nikola, en Serbie, est vite devenu la coqueluche de tous les mômes.
10:09 Comment ça aurait pu se passer autrement ?
10:11 Il était, et de loin, avec son sourire, son humour et sa bonhomie,
10:14 le plus charismatique de tous les joueurs de l'équipe.
10:16 Et évidemment, après chaque match, masse de gamins lui sautaient dessus, afin d'avoir un autographe.
10:20 Vous l'imaginez, Jokic ne refusait jamais,
10:23 prenant à chaque fois bien le temps de satisfaire tout le monde, avant de tourner les talons.
10:26 Mais trop c'est trop.
10:27 Miskora Znatovich, rappelez-vous, l'homme qui l'a découvert en Serbie,
10:30 raconte qu'un jour, les choses sont allées bien trop loin.
10:32 Et ouais, le pivot a signé tellement d'autographes après une rencontre que son corps dut dire stop un jour.
10:37 Les médecins lui diagnostiquant alors une tendinite au poignet droit,
10:39 contractée en raison de sa trop grande sympathie.
10:42 Est-ce que ce ne serait pas la blessure la plus improbable qui soit, ça ?
10:45 Y'a des chances, surtout qu'il dut ensuite manquer une semaine de compétition pour prendre le temps de se remettre.
10:49 On avoue, c'est ballot quand même.
10:51 Mais en même temps, ça lui correspond tellement bien au Joker,
10:53 il n'y a que lui à qui ce genre de choses peut arriver.
10:56 Quoi qu'il en soit, ce que nous retiendrons pour conclure cette vidéo,
10:58 c'est qu'en tant que joueur de basket, il est réellement difficile de faire plus humble,
11:01 plus drôle et plus bienveillant que Nikola Jokic.
11:03 En attendant, en ce moment, après avoir été élu deux fois MVP,
11:06 il est en course pour peut-être remporter le premier titre NBA de sa carrière avec les Nuggets.
11:11 Et là-dessus, rien à dire.
11:12 Si dans la grande ligue, on devait décerner les bagues en fonction de la sympathie,
11:15 Nikola Jokic serait probablement le gôte.
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11:22 mais aussi à celle du 6ème homme pour avoir deux visions complémentaires de la NBA.
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