Retrouvez le replay de la 3e étape du ZLM Tour du 10/06/2023.
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00:00:00 Bonjour à toutes et à tous, troisième étape du ZLM Tour.
00:00:06 C'est la quatrième journée de cette course par étape disputée au Pays-Bas.
00:00:10 Bonjour Johan Offredo, ravi de vous retrouver avec nous pour suivre cette troisième étape direction Rosendal.
00:00:16 On est parti de Rosendal, on va arriver aujourd'hui à Rosendal pour 194 km de course.
00:00:21 Bonjour Théo, bonjour à tous.
00:00:24 Oui, 194 km de course et il y a eu un du grabuge, on a vu sur les images au départ.
00:00:31 Déjà dans le fictif, le leader du classement général avec le maillot jaune de la formation Novisma est tombé dans le départ fictif.
00:00:41 Il y a eu ensuite une chute dès les premiers kilomètres et il y avait un secteur pavé.
00:00:46 Aujourd'hui, sur ce ZLM Tour, 2300 m de pavé, et ensuite à la sortie de ce secteur, il y a eu quelques bordures avec des coureurs piégés.
00:00:58 Mais tout est quasiment rentré dans l'ordre et c'est désormais trois hommes qui ouvrent la route avec Martin David, Aaron Van Poek,
00:01:06 qu'on a déjà vu sur la première étape à son avantage, et Jan-Willem Van Schiep.
00:01:15 On retrouve ce trio qui s'est détaché il y a quelques instants, puisqu'il y a 20 minutes, le peloton était divisé en trois.
00:01:25 On avait un gros groupe de 16 coureurs qui s'étaient détachés à l'avant, qui avaient retrouvé l'échappée matinale.
00:01:30 On avait des coureurs très bien classés au général, puisque Alex Edmondson était présent, notamment le troisième.
00:01:37 Paul Le Cinquième était également à l'avant, tout comme Jensen Pleuride, ou encore Aaron Van Poek qui se trouve désormais dans l'échappée de trois.
00:01:44 Ce peloton, les deux groupes, les deux premiers groupes se sont reconstitués.
00:01:49 Et à l'issue de ce regroupement, ces trois hommes se sont détachés.
00:01:53 On a passé les principales difficultés, en tout cas les secteurs les plus tendus de cette étape.
00:01:59 On avait un passage sur ce secteur pavé, vous l'avez dit Johan, c'est là que les choses se sont un petit peu tendues.
00:02:06 Et puis il y avait un passage très exposé également sur un barrage de près de 11 kilomètres, l'Osterdam.
00:02:13 C'est là, Johan, que la course s'est en tout cas agitée jusqu'à ce qu'elle se retrouve dans une situation un peu plus classique.
00:02:23 Oui, regardez, on se trouve désormais dans un paysage un peu plus avec des débris.
00:02:31 Ce qui n'était pas le cas tout à l'heure, il y a 20 kilomètres hors de vent.
00:02:36 Alors vous allez me dire, c'est pas énormément, mais il vient de l'ouest en direction et il frotte de gré.
00:02:43 Ça suffit tout à l'heure pour mettre la pagaille dans le peloton.
00:02:46 Et les formations les mieux, c'était tout simplement la formation Alpecin de Queninck.
00:02:52 Ils avaient cinq coureurs dans le groupe de tête et la formation DSM.
00:02:57 C'est la formation qui a été la plus bien représentée à la ronde.
00:03:02 C'est la formation qui a été la plus bien représentée à la ronde.
00:03:07 C'est la formation qui a été la plus bien représentée à la ronde.
00:03:12 (Bruit de vent)
00:03:22 (Bruit de vent)
00:03:32 (Bruit de vent)
00:03:42 (Bruit de vent)
00:03:52 (Bruit de vent)
00:04:03 Allez à l'image, il s'agit du coureur de la formation Eolo-Kometa, David Martine.
00:04:08 Vous avez là Aaron Van Poek que l'on a déjà vu à l'avant lors de la première étape.
00:04:13 C'est le mieux classé de ce trio.
00:04:16 Il est à 30 secondes au classement général d'Olaf Koei.
00:04:19 Et puis Yann Villeneuve-Van Schipp, le pistard qui a déjà pris des échappées sur ce ZLM Tour.
00:04:25 Ce trio, c'est peut-être l'échappée la moins nombreuse de cette semaine pour l'instant, Yoann.
00:04:30 Et seulement 1 minute 12 pour l'instant.
00:04:33 On a plutôt bien filtré et bien géré du côté des équipes d'esprit de terre.
00:04:36 On aperçoit l'équipe Astana qui roule pour Marc Cavendish, malchanceux depuis le début de la semaine.
00:04:41 Problème mécanique sur la deuxième étape et l'échappée qui avait piégé le peloton lors de la première.
00:04:48 Aujourd'hui, on n'a pas envie de se faire piéger.
00:04:51 D'ailleurs, à noter que Marc Cavendish était présent dans la bordure des 35 à l'avant.
00:04:55 On a eu un scénario un peu les deux premières étapes.
00:04:58 Une échappée qui est partie rapidement, qui était composée de 7 coureurs.
00:05:02 Ensuite, comme vous l'avez dit Théo, le passage du secteur pavé et le passage exposé a fait scinder le peloton en plusieurs morceaux.
00:05:10 Et c'est à ce moment là que je choisis ces 3 coureurs pour prendre la coude des scampettes.
00:05:15 Mais on ne leur laisse pas beaucoup de champ.
00:05:18 Sur la première et la deuxième étape, on a eu des échappées, encore une fois, avec 7 et 8 coureurs.
00:05:25 Ça a donné des idées aux autres, puisque tout simplement, Vendee, le coureur de la formation Unibet, le jeune belge,
00:05:35 est posé tout simplement au nez et à la barbe des sprinteurs.
00:05:39 Aujourd'hui, on n'a pas envie de laisser passer cette chance-là d'arriver au sprint.
00:05:43 Et la formation Astana se met au travail rapidement.
00:05:46 - C'est peut-être 194 kilomètres tracés autour de la localité de Rosendal.
00:06:02 On est dans le nord-braban des Pays-Bas, région plate.
00:06:07 On le répète encore une fois sur ce ZLM Tour, ce n'est pas là qu'on va voir des massifs montagneux.
00:06:12 On est là pour préparer, pour peaufiner les automatismes en vue du Tour de France pour Markavendich,
00:06:18 notamment au niveau du sprint.
00:06:21 Cette ville qui est un peu la patrie des frères off-land,
00:06:26 notamment Moreno, vainqueur d'une étape sur le ZLM Tour en 2015 et qui a achevé sa carrière dans l'équipe IF.
00:06:34 Ce sont les personnalités un peu locales lors des deux premiers jours.
00:06:38 On rendait un petit peu hommage à Yann Rass ici aux Pays-Bas,
00:06:43 puisqu'on est parti de sa ville natale et on est arrivé là où il habite également au cours de ce début de ZLM Tour.
00:06:52 Cette équipe Jumbo-Visma, évidemment, qui travaille pour Olaf Koei,
00:06:58 qui vise à la fois pour consolider la consolidation de son maillot jaune de leader.
00:07:04 Pourquoi pas une victoire d'étape qui lui échappe encore sur ce ZLM Tour,
00:07:09 alors qu'il était quand même annoncé comme celui qui était une demi-jambe au-dessus de tous les autres sprinteurs,
00:07:16 même si Markavendich sort du Giro et assurément il a de la force le britannique.
00:07:21 Mais normalement sur le papier, Olaf Koei est un peu considéré comme la relève du sprint mondial.
00:07:27 Oui, comme la relève du sprint mondial.
00:07:29 Il a fait un bon prologue, n'était pas à la hauteur de Nils Seckhoff, vous parliez des coureurs qui sont en préparation pour le Tour de France.
00:07:36 Il n'y en a pas énormément dans ce peloton, puisque nous avons le Tour de Suisse,
00:07:41 nous avons le Criterium du Dauphiné pour peaufiner ces courses-là.
00:07:46 Certains coureurs optent pour le Tour de Belgique et d'autres courses de préparation.
00:07:52 Il ne sont que trois aujourd'hui dans ce peloton à être dans une start list provisoire pour le Tour.
00:08:01 Il y a Markavendich que vous voyez à l'écran avec son maillot de champion de Grande-Bretagne,
00:08:05 mais il y a aussi le vainqueur de la première étape, Nils Seckhoff, qui a remporté le prologue,
00:08:11 et qui est lui aussi en liste pour participer à son premier Tour de France.
00:08:18 Deuxième !
00:08:20 C'est une équipe DSM qui devrait compter sur Romain Bardet et Max Pouls au niveau du classement général et des étapes de montagne.
00:08:30 Peut-être qu'on emmènera un homme rapide du côté de la DSM à voir la sélection finale.
00:08:37 Il s'est décidé le tout dernier jour, à l'issue des championnats nationaux notamment.
00:08:43 C'est un bon débat. Et aussi, Johan, comment préparer le Tour de France ?
00:08:50 On sait qu'on a le schéma classique, Criterium du Dauphiné, Tour de Suisse.
00:08:55 On a un certain Mathieu Van Der Poel qui lui a choisi, comme il l'a dit en interview,
00:08:59 de ne pas faire groupetto en Suisse sur les étapes de montagne, de préférer s'amuser, prendre du plaisir,
00:09:04 faire la course sur les classiques belges et néerlandaises d'un jour qu'il peut y avoir dans cette fin de printemps.
00:09:11 On sait qu'il y a des classiques flandriennes au début de l'année,
00:09:17 mais il y a aussi des courses d'un jour difficiles au Pays-Bas et en Belgique à cette époque de l'année.
00:09:22 Et lui, Mathieu Van Der Poel, il a voulu se faire un peu la caisse, comme on dit, sur ce genre de course.
00:09:27 Surtout s'amuser et ne pas trop subir la course sur des profils, notamment en Suisse,
00:09:31 où il y a peut-être une ou deux étapes qui auraient pu lui convenir.
00:09:33 Mais après, on aurait pu faire groupetto et ce n'est pas forcément là où on travaille le mieux
00:09:38 ou en tout cas on prépare les grandes échéances.
00:09:41 Oui, et puis la plupart des coureurs ont l'habitude maintenant d'aller en stage, en altitude,
00:09:45 où ils peaufinent leurs conditions.
00:09:48 Une chose est sûre, c'est que ce n'est pas forcément la meilleure des stratégies de participer à ce genre de course,
00:09:54 comme le ZLM Tour ou le Tour de Belgique.
00:09:57 Ce sont des courses qui sont très nerveuses, où on laisse beaucoup d'influx.
00:10:01 Qui plus est, la préparation d'un Tour de France, montagneux soit-il,
00:10:07 que celui qui part de Bilbao cette année.
00:10:11 C'est parfois juste dans les voitures, vous voyez que les routes sont pâles.
00:10:17 Mais vous doutez bien que sur une course comme le ZLM, il existe des gros braquets,
00:10:22 ce qui va être le cas aussi malgré la topogramme avec un peu plus de dénivelé sur le Tour de Belgique.
00:10:31 On n'a pas le coup de pédale du montagnard, on n'a pas l'habitude d'utiliser ces petits braquets.
00:10:36 On va arriver sur le Tour de France et que d'entrée de jeu, on va avoir un terrain d'expression,
00:10:42 avec de la montagne, avec du dénivelé positif énorme d'entrée, presque diagonale des fous,
00:10:48 entre le Pays Basque, le Pyrénées, le Massif Central, les Alpes, les Vosges.
00:10:54 Il va falloir avoir le coup de pédale de la montagne.
00:10:57 Marc Cavendish ne va pas travailler sans coup de pédale en montagne, ce n'est pas l'objectif.
00:11:05 Sur ce ZLM Tour, lui l'objectif c'est d'aller casser ce record de victoire sur les routes du Tour.
00:11:12 34 pour l'instant pour Marc Cavendish, il veut passer à 35 évidemment.
00:11:17 Il a attendu le tout dernier jour sur le Giro pour aller chercher son étape.
00:11:22 Du coup, Spinter de Lille-de-Man est très motivé à l'idée d'aller chercher une dernière victoire
00:11:29 sur les routes du Tour pour ce qui est de sa dernière année dans les rangs du peloton professionnel.
00:11:35 Marc Cavendish n'a pas besoin de travailler son coup de pédale de la montagne.
00:11:43 Il a discuté le Giro, il s'est accroché, il y avait plus de 55 000 mètres de dénivelé positif sur le Tour d'Italie.
00:11:50 Il a pu le travailler, ce qu'on lui demande ce n'est pas d'être en capacité de s'imposer en haut des cols,
00:11:58 c'est simplement de suivre le train, suivre le rythme et accrocher le groupe étau, pouvoir récupérer.
00:12:05 Et ça, pour l'instant, pas de souci pour lui.
00:12:08 Regardez, ça montre qu'il fait chaud puisque comme il y a un, vous voyez à l'image,
00:12:13 beaucoup de sel minéraux sont perdus par les coureurs.
00:12:15 C'est le cas de la plupart des coureurs qui transpirent beaucoup.
00:12:19 Oui, de la chip en l'occurrence qu'on voit à l'image.
00:12:22 Mais la plupart des coureurs ont l'habitude de perdre beaucoup de sel minéraux.
00:12:25 Il faut penser à s'hydrater. Alors quand on s'arrose comme ça sur les pieds, c'est généralement qu'on a le pied qui chauffe.
00:12:32 Le problème avec les équipes Pantiers, la plupart des équipes Pantiers, des équipes du World Tour et des autres équipes,
00:12:41 des Pro Series et des Conti, on a des chaussures qui sont imposées par le fournisseur.
00:12:47 Et parfois, quand arrive l'été, le pied chauffe et c'est une sensation très désagréable.
00:12:53 Alors on peut s'arroser les pieds, mais généralement, quand on commence à s'arroser, il faut s'arroser toutes les 5 minutes.
00:13:00 Encore ce même type de route, parfois bien boisé, mais le vent ne fait pas son travail pour l'instant.
00:13:16 Ça n'a pas d'incidence pour l'instant sur la tête de course.
00:13:20 Et toujours, c'est... Oh attention, on est passé un peu large pour David Martin et justement, on est allé chercher la piste cyclable qui est sur la gauche.
00:13:42 Et Martin, il ne s'attendait pas à ce que le virage referme autant cette courbe à droite là.
00:13:50 L'équipe ELECOMETA qui était offensive aujourd'hui, puisque dans la première échappée de la journée,
00:14:04 il y avait un autre coureur de cette formation ELEO, un Italien, cette fois c'était Simone Bevilacqua,
00:14:10 qui était dans un groupe de 8 coureurs. Jan-Willem Van Schipp en faisait partie, il s'est fait reprendre et il est ressorti,
00:14:17 en compagnie d'Aaron Van Poek et cette fois-ci de l'Espagnol.
00:14:21 David Martin, équipe ELECOMETA assez discrète pour l'instant sur ce ZLM Tour.
00:14:27 Forcément après, on n'a pas emmené les cartes les plus rapides du côté de cette équipe ELECOMETA.
00:14:37 Le même virage que les échappées qui sont passées là il y a 1 minute 11 et effectivement,
00:14:43 ELECOMETA n'a pas emmené ses meilleurs coureurs. Je pense à Vincenzo Albanese notamment, ou à David Baez.
00:14:52 Ce sont des coureurs qui ont participé au Tour d'Italie. On a une grosse équipe forcément sur le Tour d'Italie quand on est invité.
00:15:01 Et là on a des coureurs qui sont un peu moins expérimentés. On voit le gabarit complètement différent des coureurs qui se trouvent à l'avant.
00:15:11 Entre Jan-Willem Van Schipp, ce grand coureur hollandais, il mesure 1m94, 84 kg. Il est sur son terrain d'expression.
00:15:20 Forcément quand on le met dans la montagne, il a un peu plus de mal puisque le rapport poids-puissance.
00:15:26 Il faut traîner cette grande carcasse, 1m94, il faut pousser des watts.
00:15:33 Jan-Willem Van Schipp, son terrain d'expression c'est aussi la piste.
00:15:39 Evidemment ce coureur de 28 ans néerlandais qui était multimédaillé notamment lors des championnats du monde,
00:15:47 des championnats d'Europe de cyclisme sur piste, champion du monde de la course au point notamment.
00:15:53 C'était en 2019, juste avant le Covid.
00:15:58 On voit ce peloton qui est toujours finalement en file indienne. On subit les relances derrière.
00:16:14 Mark Kamendic, comme sur la deuxième étape, il est toujours vigilant, toujours bien placé.
00:16:20 On espère qu'il ne va pas lui arriver de soucis dans le fil.
00:16:23 En tout cas c'est une arrivée qui va être scabreuse avec de nombreuses relances, de nombreux virages.
00:16:28 Il va être encore bien placé. Les coureurs vont passer deux fois sur la ligne.
00:16:33 De regarder l'arrivée, en tout cas ça semble compliqué pour les 3 hommes de tête.
00:16:38 1 minute à 54 km de l'arrivée, il faudrait du renfort ou un nouveau coup de bordure même si ça n'a pas l'air de souffler beaucoup.
00:16:47 On va essayer de votre salon, Yohann, si vous soufflez un peu peut-être que...
00:16:58 Oui, je ne sais pas si ça marche. Il y a eu des histoires comme ça,
00:17:04 pas avec des commentateurs qui soufflaient devant leur écrou mais avec des hélicoptères qui parfois ont faussé la course.
00:17:14 Je pense à un certain Greg LeMond et de cette légende qu'il aurait perdu le Giro d'Italia justement avec des hélicoptères de l'organisation qui s'étaient mis contre la montre.
00:17:31 Ça arrive parfois aussi sur les classiques où les hélicoptères se mettent sur le bas-côté pour nous offrir de belles images.
00:17:43 Mais parfois on peut assister à des bordures à cause des hélicos.
00:17:46 Le trio qui se relaie avec cet Espagnol de cette formation Eolo-Cometa.
00:18:01 On rappelle l'identité de ce trio, on a David, Martin, Ian, Willem, Van Schiepp et Aaron Van Poek.
00:18:06 Aaron Van Poek, c'est assez étonnant tout de même de le voir dans cet échappé, Yohann.
00:18:12 Il est 12ème du classement général, peut-être qu'il a la volonté d'aller chercher les 3 secondes de bonification qu'il y aura un peu plus tard dans l'étape.
00:18:23 Oui, c'est pas étonnant du tout, on en parle hier.
00:18:29 Quand on est un coureur qui n'a pas forcément une grande pointe de vie, il a eu l'opportunité de s'échapper sur la première étape.
00:18:39 On a vu une belle victoire en solitaire.
00:18:44 Puisque c'était un échappé dont Yann T. Van Neumann avait un bel Asus Extraire.
00:18:51 Aaron Van Poek lui faisait de cet échappé.
00:18:54 Il a été repris dans les tout derniers hectomètres, il termine à la 16ème position.
00:19:00 Au classement général, il est toujours bien placé.
00:19:04 Donc il faut aller chercher des bonifications.
00:19:08 Il faut faire en sorte de prendre toutes les petites secondes qui sont à prendre.
00:19:15 Puisqu'après au sprint, quand il va se retrouver face à des coureurs comme Nils Seko et Olaf Koi, ça va être plus compliqué.
00:19:22 Aaron Van Poek qui est 12ème à 30 secondes.
00:19:26 Aller prendre ces 3 secondes de bonification le ferait grimper de 2 rangs.
00:19:31 Il prendrait la dernière place de Mark Cavendish dans le top 10 à 27 secondes.
00:19:36 Pour l'instant d'Olaf Koi, il serait virtuellement 10ème du classement général.
00:19:40 Si d'aventure, il s'impose sur ce sprint intermédiaire qui aura lieu dans une vingtaine de kilomètres.
00:19:46 Le voici à l'image, Aaron Van Poek de Sars 116 avec le maillot de la Flanders Balouaz.
00:19:52 Vous avez vu le guidon ? Incroyable !
00:19:56 Oui, assez incurvé.
00:19:59 Il y a 2 ou même 3 styles complètement différents chez les coureurs.
00:20:06 Dans le peloton, c'est aussi le cas.
00:20:09 On a pour la plupart ce qui se fait beaucoup, ce qui n'est pas le cas de Mark Cavendish qui est un coureur de l'ancienne école.
00:20:16 Mais la nouvelle école commence à mettre les cocottes, ces embouts de guidon que vous voyez, très rentrés à l'intérieur.
00:20:25 C'est le cas de Remco Evenepoel aussi qui a pris pour habitude d'avoir complètement de la fenêtre à l'intérieur du guidon.
00:20:33 Mais on va revoir la position de Jan-Willem Van Schipp.
00:20:39 Il a une trajection très réginale avec une grande potence et un guidon quasiment de triathlète.
00:20:48 C'est vrai qu'il est grand, 1m94 on le rappelle, mais c'est une position qui est complètement différente du coureur de la Balouaz Van der Aen, Aaron Van Poek.
00:21:01 Il y a seulement 25 ans, le belge était considéré en Belgique comme un des grands espoirs, notamment au niveau des classiques.
00:21:14 Lorsqu'il est passé par la Lotto Soudal Développement, notamment dans les années 2018, il est passé professionnel dans cette formation Sport Vlanderen Balouaz.
00:21:25 Peut-être un peu trop vite puisqu'il est professionnel depuis 2019. C'est sa 5ème saison dans les rangs de cette équipe.
00:21:36 C'est une équipe qui a pour vocation à être révélatrice de talent, révélatrice de coureur.
00:21:46 C'est un coureur qui est originaire des Flandres, c'est le cas pour quasiment 100% de l'équipe.
00:21:56 Elle sert normalement de tremble, ce sont des coureurs qui ne travaillent pas forcément longtemps.
00:22:01 Elle a pour vocation d'être révélatrice de talent, je le disais, un peu comme nous avons en France l'équipe à l'oriente,
00:22:11 qui est la équipe de St-Michel, Obert, Big Matt, Oberthèse, Saint-Michel.
00:22:19 Ce sont des équipes managées par Stéphane Jabalet, qui sont de 3ème division quant à Obert-Villiers 1993,
00:22:28 qui sont aussi des pépinières, des réserves pour les futures grandes équipes.
00:22:35 [Vrombissement du moteur]
00:22:44 Attention, on n'a pas le droit à cette position.
00:22:46 Vous voyez les coudes ? On rappelle la règle, Johan ?
00:22:50 J'allais vous le dire.
00:22:52 Cette position en mettant les avant-bras sur le guidon, sans mettre les mains au couple-clôtres,
00:23:00 c'est interdit par le règlement UCI. Pourquoi ?
00:23:04 Tout simplement puisqu'il faut 3 points d'appui.
00:23:07 Les mains sur le guidon, les pieds sur les pédales, bien évidemment,
00:23:11 et les fesses non pas sur le cadre, mais sur la selle.
00:23:14 Voilà, c'est les 3 points d'appui qui sont obligatoires.
00:23:18 On a plus le droit d'avoir cette position qu'adoptaient les coureurs dans des échappées,
00:23:23 par exemple souvent solitaires, de mettre les avant-bras sur le guidon, sur le cintre,
00:23:30 afin de bénéficier un peu comme un vélo de contre-la-monte
00:23:34 et d'avoir une meilleure pénétration dans l'air.
00:23:36 Ça, c'est interdit.
00:23:37 Alors pourquoi ? Pour certainement des raisons de sécurité, il me semble.
00:23:43 Merci donc à l'arbitre, Johan Offredo, toujours des éclairages très intéressants
00:23:51 pour suivre et comprendre, surtout ce vélo toujours en pleine mutation.
00:23:56 Les règles changent et peuvent se voir modifier d'année en année.
00:24:02 Ça a été le cas pour les positions, notamment pour les positions en descente.
00:24:06 On se rappelle de cette fameuse position à la Moho Reach qui est désormais interdite
00:24:11 puisqu'on n'a plus le droit de s'asseoir sur le cadre.
00:24:15 C'est souvent le cas pour Zeesch Room, s'asseoir sur son cadre et continuer à pédaler,
00:24:21 ce qui permet d'avoir une énorme pénétration dans l'air,
00:24:26 de baisser ce coefficient de pénétration et d'avoir une vitesse exponentielle en fonction de la pente.
00:24:33 Mais c'est désormais interdit et pourtant, même si on ne le fait pas,
00:24:37 on voit des coureurs qui sont très habiles en descente, à l'image de Tom Pitcock.
00:24:42 On n'a pas besoin de s'asseoir sur le cadre pour descendre très vite.
00:24:45 Il suffit de trouver les bonnes trajectoires, de mettre le bon poids et le bon point dans le virage
00:24:54 de sorte à mettre le niveau de gravité le plus bas possible.
00:24:58 Et à ce jeu-là, il y a d'excellents descendeurs et inversement,
00:25:01 il y a des coureurs qui ont un peu plus de difficultés.
00:25:10 Une nouvelle règle de l'UCI, puisque l'on voit que les coureurs sont en train de prendre leurs papiers,
00:25:16 c'est une règle qui a été imposée par l'UCI, c'est de ne pas jeter ses déchets par terre.
00:25:23 Mais c'est une règle qui n'aurait même pas dû être proposée, ça devrait être instinctif chez les coureurs.
00:25:29 On voit désormais de moins en moins de gens jeter leurs papiers par terre.
00:25:33 C'est une aberration de voir des coureurs qui jettent leurs papiers.
00:25:37 C'est un sport qui prologie et le développement dura, même s'il y a encore beaucoup de choses à faire
00:25:42 sur les organisations et sur le déplacement du public.
00:25:47 Mais on a tendance et on a pour vocation d'avoir un sport propre.
00:25:52 Il y a des zones désormais de connexion qui ont été imposées,
00:25:56 mais la plupart des coureurs mettent le papier à la poche.
00:25:58 En revanche, l'UCI a fait un marché de l'intérieur.
00:26:00 Rappelez-vous, il y a quelques temps, on avait assisté à certains coureurs déclassés,
00:26:06 sortis de course, puisqu'ils avaient donné, balancé un bidon à un jeune enfant sur le bas-côté.
00:26:13 Désormais, c'est autorisé. On a le droit de jeter son bidon à des gens, sur le public,
00:26:18 et c'est un trophée pour un enfant sur le terrain.
00:26:21 C'est surtout parce qu'il soit ramassé.
00:26:23 C'est surtout ça. Qu'il soit repris et pas laissé sur le bas-côté ou sur la route.
00:26:29 J'ai rarement vu des bidons sur le bas de la route.
00:26:33 Ça fait partie de... Vous savez, quand on est enfant et qu'on pratique le signe de trouver le bidon d'un professionnel,
00:26:40 j'ai moi-même écumé les paddocks quand j'étais plus jeune à la conquête d'un bidon.
00:26:47 C'est un office de trophée que j'ai certainement encore dans mon garage,
00:26:52 avec ses petits souvenirs d'enfant, une petite musette, un petit bidon, des petits trésors.
00:27:01 [Bruit de moteur]
00:27:24 On voit à l'allure du peloton qu'on a considérablement ralenti à moins d'une heure de l'arrivée.
00:27:29 On n'a pas entré trop tôt sur les échappées, puisqu'on a vu qu'en cas de rapide,
00:27:37 il pourrait y avoir de la nervosité dans le peloton et on pourrait assister encore à des contre-attaques
00:27:43 ou à des mouvements un peu de nervosité et de chute.
00:27:47 Donc on maintient tout simplement les trois hommes de tête à une distance à peu près de 500 mètres, 600 mètres,
00:27:54 une minute, une minute, aux alentours d'une minute, ce qui va être très facile pour les coureurs
00:28:00 qui n'ont pas pris de relais, qui sont tranquillement à l'abri,
00:28:04 de pouvoir faire la jonction dans les dix derniers kilomètres.
00:28:08 Regardez cette position, c'est ça que je vous parlais.
00:28:10 Donc là, il a les mains, mais son guidon est tellement grand qu'il a cette capacité, lui,
00:28:15 de mettre ses avant-bras et de plier complètement ses poignets, les casser,
00:28:20 afin d'être le plus aérodynamique possible.
00:28:24 Alors ce matériel, Johan, comment il s'adapte ?
00:28:27 Et c'est la volonté du coureur, c'est l'équipe qui demande à son fabricant
00:28:32 de faire quelque chose pour son coureur qui a des capacités physiques un peu exceptionnelles.
00:28:39 Et forcément, quand on est grand comme Jan-Willem van Schipp,
00:28:41 c'est sûr que c'est toujours mieux d'avoir ce type de guidon.
00:28:45 Ça lui convient mieux, en tout cas pour développer le maximum de puissance.
00:28:49 Comment ça se passe à l'intérieur des équipes, justement,
00:28:51 lorsqu'on a des demandes un petit peu particulières ?
00:28:54 Alors, bon, c'est pas pour lui faire des honneurs, mais Jan-Willem va vendre plus d'équipes.
00:29:02 Donc certainement, dans ces équipes-là, on a la possibilité d'acheter du matériel
00:29:06 et de ne pas forcément d'être fidèle à certains de ses sponsors et de changer de matériel.
00:29:12 En revanche, dans la plupart des grandes équipes,
00:29:15 vous voyez l'image de la Jumbo-Visma, c'est un gros budget du peloton.
00:29:19 On utilise tous les mêmes cadres.
00:29:22 Seuls les leaders peuvent avoir des améliorations, des petits changements.
00:29:27 Mais généralement, le matériel est quasiment le même de tout le monde.
00:29:31 On a la possibilité, en revanche, de choisir sa selle,
00:29:34 en fonction des carréments esthétiques, tout simplement le niveau de l'assise.
00:29:43 La plupart des fabricants et des constructeurs de selles proposent des selles différentes en fonction de l'assise.
00:29:48 Sur quasiment tout le reste, le guide est possible d'adapter.
00:29:53 Certains, les sprinters, ont souvent un guidon avec une potence intégrée
00:29:58 qui permet de perdre moins d'énergie et moins de watts.
00:30:02 C'est un guidon qui est beaucoup plus rigide, mais moins confortable.
00:30:06 Et il y a des courants pour un sein un peu plus versé.
00:30:11 C'est un peu plus versé sur ce dont on peut jouer.
00:30:15 Après, il y a bien évidemment les cadres qui changent.
00:30:20 Quand on est sur une course, on va avoir des cadres moins aérodynamiques,
00:30:26 un peu plus confortables, mais qui vont d'un côté plus à l'autre.
00:30:31 Ça veut dire que quand on va se mettre en danseuse, tout simplement,
00:30:34 le cadre va être plus réactif, il va être aussi beaucoup plus léger.
00:30:37 Sur des courses un peu plus plates, on va avoir des vélos aérodynamiques
00:30:41 avec des jantes plus hautes.
00:30:43 D'ailleurs, c'est la plupart du temps les vélos qui sont utilisés.
00:30:47 Désormais, des vélos très rigides avec des roues en carbone, des freins à disque.
00:30:52 Et bien évidemment, on ne voit quasiment plus de dérailleurs mécaniques.
00:30:57 [Bruit de moteur]
00:31:26 [Bruit de moteur]
00:31:54 [Bruit de moteur]
00:32:02 [Bruit de moteur]
00:32:31 [Bruit de moteur]
00:32:41 [Bruit de moteur]
00:33:10 [Bruit de moteur]
00:33:22 [Bruit de moteur]
00:33:29 40 kilomètres à courir encore dans cette troisième étape de ce ZLM Tour.
00:33:34 Vous le voyez, il est de la minute tout pile entre les trois hommes de tête et le peloton où figurent tout le monde.
00:33:42 Désormais, il y a eu des bordures un peu plus tôt dans cette étape.
00:33:45 Il y a eu plusieurs groupes, mais ce peloton s'est reformé
00:33:49 après le passage du barrage et du seul secteur pavé de cette course par étape
00:33:54 disputée aux Pays-Bas.
00:33:56 Et nous avons trois hommes à l'avant qui se sont extirpés il y a de cela une vingtaine de kilomètres de ce peloton.
00:34:01 On retrouve David Martin pour la formation eolo-cometa, Aaron Van Poek, le douzième du classement général, c'est important,
00:34:09 et Jan-Willem Van Schiep, le pistard habitué aux échappées sur ce ZLM Tour.
00:34:15 Ils sont trois, c'est l'échappée la plus petite, Johan, de cette semaine.
00:34:19 Oui, la plus petite, on rappelle qu'ils étaient quand même huit au début.
00:34:23 Désormais, l'aventure à trois, elle est compliquée.
00:34:25 Les trois coureurs devant ne s'emploient pas face au peloton maillot jaune d'Olaf Koi.
00:34:33 C'est l'occasion de rappeler qu'Olaf Koi, il est leader du classement général de ce ZLM Tour.
00:34:41 Il s'écoffre à cinq secondes.
00:34:43 Alex Edmondson, lui, est troisième à six secondes.
00:34:46 Sam Weisford est quatrième à neuf secondes.
00:34:51 Donc, tout est encore dans un temps de poche.
00:34:54 Olaf Koi, il est aussi le leader du classement par points devant Nils Eckhoff.
00:35:00 Et au classement des meilleurs jeunes, c'est encore une fois Olaf Koi qui est le meilleur jeune.
00:35:08 Olaf Koi, si vous le découvrez, il n'a seulement que 21 ans le Sprinter néerlandais.
00:35:16 Il est tout simplement le tenant du titre de ce ZLM Tour.
00:35:19 C'est lui qui s'était imposé l'année passée,
00:35:21 mais il n'y avait pas de prologue à la différence, par exemple, de cette édition 2023.
00:35:26 Mais Olaf Koi qui a parfaitement négocié cette étape inaugurale
00:35:31 en restant au contact de Nils Eckhoff qui avait remporté ce...
00:35:36 On ne va pas dire ce contre la montre, parce qu'il faut être exact dans les termes, ce prologue.
00:35:40 Il faisait moins de 9 kilomètres, il faisait 6,6 kilomètres pour être tout à fait exact.
00:35:45 Voici donc les trois hommes de tête qui s'entendent bien depuis tout à l'heure.
00:35:49 Mais l'écart, Johan, n'a pas été au-delà des 1 minute 15.
00:35:54 On veut garder du côté du peloton et du côté des équipes de Sprinter,
00:35:57 notamment des équipes World Tour de premier plan,
00:35:59 on veut garder ces trois hommes à portée de fusil.
00:36:03 Oui, et deux choses.
00:36:05 Déjà, c'est le peloton qui veut garder les trois hommes en visu, de ne pas perdre au loin.
00:36:11 On sait que les coureurs devant ne s'impliquent pas pour l'instant à 100%.
00:36:16 On l'a vu sur leur faciès et sur la cadence de pédalage.
00:36:20 On n'est pas impliqué pour l'instant à 100%.
00:36:23 Vous voyez, on est sur un rythme, j'allais dire de croisière.
00:36:27 Non, pas de croisière, effectivement, mais le but, c'est de creuser à ce moment-là de la course,
00:36:33 d'essayer de faire la différence sur le peloton.
00:36:36 C'est simplement de tourner, de continuer à pédaler.
00:36:40 On rappelle la moyenne, quand même depuis le début de l'étape, 45,6 kilomètres/heure.
00:36:45 C'est qu'on a roulé, mais c'est toujours le peloton qui décide à quel moment on va aller chercher les échappés.
00:36:52 Du coup, l'idée, à ce moment-là, c'est de jouer au chat à la souris,
00:36:56 c'est de garder un écart assez sain, voire, dans le final,
00:37:00 essayer d'accélérer un peu à l'image de la première étape
00:37:05 où les hommes ont réussi à résister aux sprinters.
00:37:09 On a encore une maillot jaune pour cette Jumbo Visma, pour l'instant leader du classement général,
00:37:19 mais qui n'a toujours pas remporté d'étapes sur ce ZLM Tour.
00:37:22 C'est à noter lui qui sort de la flèche de Heist,
00:37:26 qu'il avait aisément remporté il y a de cela quelques jours.
00:37:30 Et puis, on l'avait vu en bonne forme également sur les 4 jours de Dunkerque,
00:37:35 en allant chercher la première et la quatrième étape de la course nordiste
00:37:40 disputée dans la deuxième partie du mois de mai.
00:37:43 Et regardez cette potence dont je vous parlais tout à l'heure.
00:37:47 Il a un différentiel entre sa hauteur de sel, et d'ailleurs, regardez,
00:37:51 cette tige de sel qui est complètement, qui oblique vers l'intérieur,
00:37:55 ce qui lui permet d'avoir un recul de sel plus important.
00:37:59 Et cette potence qui est énorme, on n'a pas l'habitude de voir ce genre de gabarit.
00:38:04 Comparé à Aaron Von Kool qui lui a une potence beaucoup plus petite.
00:38:08 Et on l'a vu s'étirer d'ailleurs, parce que forcément, quand on mesure 1m94,
00:38:12 et de maintenir cette position, il faut être gainé,
00:38:16 puisque à la fin de la journée, ça fait travailler énormément les lombaires, les fessiers.
00:38:21 Il faut penser à s'étirer de temps en temps, sinon on a des douleurs un peu partout.
00:38:26 Le petit signe qu'il y a fait avec le coude pour David Martin,
00:38:53 c'est tout simplement qu'il va se mettre en danseuse.
00:38:57 Il l'avertit à Aaron Von Kool qui est dans sa roue,
00:39:00 en bougeant un peu les coudes comme ça, qu'il va se mettre en danseuse.
00:39:04 Pourquoi ? C'est simplement que lorsque l'on se met en danseuse,
00:39:09 on ralentit un peu, et le vélo a tendance à un peu reculer.
00:39:12 Donc si la roue du coureur, qui est juste derrière nous,
00:39:17 est à moins d'un centimètre, on risquerait de faire tomber le coureur de la Top Sport baloise.
00:39:25 Donc c'est simplement un petit signe de précaution.
00:39:29 Comme le font la plupart des coureurs aussi, quand il y a un virage,
00:39:32 on met sa main à droite quand on tourne à droite, sa main à gauche quand on tourne à gauche.
00:39:35 On lève parfois les deux coudes quand il y a un dodan,
00:39:39 et on fait un signe avec les deux doigts derrière le dos quand il y a un chemin de fer par exemple,
00:39:45 ou un danger.
00:39:47 À moins de 6 kilomètres avant le deuxième sprint intermédiaire de la journée,
00:39:56 il y aura 3 secondes, 2 secondes et 1 seconde à se partager entre ces 3 hommes de tête,
00:40:02 à moins que le peloton n'embraye derrière.
00:40:05 Mais ça ne semble pas être le cas pour l'instant, même si l'écart diminue encore.
00:40:09 10 petites secondes encore de perdues pour ces 3 hommes de tête.
00:40:12 Ce trio devrait rallier la ligne d'arrivée de Rosendahl pour un premier passage.
00:40:17 Il devrait se partager ses bonifications.
00:40:20 Nul doute qu'Aaron Van Poek, c'est le mieux placé du classement général.
00:40:24 On le rappelle, il est 12ème à 30 secondes.
00:40:26 Il va vouloir aller et chipper ces 3 secondes et faire son entrée dans le top 10.
00:40:32 Oui, d'ailleurs je ne pense pas qu'on lui dispute ce point.
00:40:37 Les autres coureurs se comptent plus loin.
00:40:40 On est quasiment à 1 minute pour ces 2, des autres compagnons d'échapper.
00:40:45 L'idée et son opération sera réussie aujourd'hui à Aaron Van Poek,
00:40:50 seulement s'il vient marquer encore une fois des bonifications, forcément.
00:41:02 C'est longue route, plate, des Pays-Bas qui nous occupent depuis le début de ce ZLM Tour.
00:41:10 Si vous mettez cette course, Johan, en février ou en mars, avec un peu de pluie, pas mal de vent,
00:41:18 il y a pas mal de tronçons exposés, on pourrait se dire que ce serait une sacrée course.
00:41:23 Quasiment une classique tous les jours au vu des paysages.
00:41:27 Mais c'est vrai que le climat actuel qu'il y a aux Pays-Bas fait qu'il y a grand soleil et assez peu de vent.
00:41:35 Même si c'est une course assez nerveuse, il ne se passe pas grand-chose dans le peloton.
00:41:43 Non, à ce moment-là de la course, il ne se passe pas grand-chose, effectivement.
00:41:47 Le cyclisme est un sport où on doit combiner avec les éléments.
00:41:51 On l'a vu sur le dernier Giro, qui a été catastrophique de par la pluie.
00:41:56 Le froid a été très difficile.
00:41:58 Aujourd'hui, c'est la chaleur.
00:42:00 On voit la plupart des coureurs qui s'arrosent pour faire baisser la température du corps.
00:42:05 On a vu tout à l'heure Yann Hélène Van Schipp mettre des glaçons dans son cou.
00:42:11 C'est tout simplement pour faire baisser la température.
00:42:14 Alors que les voitures remontent, ce n'est pas bon signe, ça ne va pas leur donner du beau moqueur.
00:42:19 On va certainement rentrer avant le sprint intermédiaire.
00:42:24 J'y pensais tout à l'heure, mais finalement, ce n'était pas si idiot.
00:42:27 On est sur des routes assez étroites et les voitures font un peu le forcing pour passer.
00:42:32 On avait vu cela déjà sur la deuxième étape précédemment.
00:42:36 Regardez ce plan d'hélicoptère, le peloton qui n'est vraiment pas loin.
00:42:41 Désormais, il y a peut-être moins de 40 secondes sur cet écart GPS.
00:42:49 Si vous travailliez de route là, sur des courses amateurs en FGT ou en UFOLEP,
00:42:56 je peux vous dire qu'il y a des coureurs qui ne seraient pas contents.
00:42:59 Alors que pourtant, là, on est bien sur une course de professionnels.
00:43:02 On est sur des routes pas larges avec beaucoup de virages, où il y a des changements de direction,
00:43:07 où il y a beaucoup de mobilier urbain, on l'a vu hier.
00:43:10 Mais regardez, c'est toute petite route.
00:43:12 Et pour revenir à ce que vous disiez, Théo, tout à fait.
00:43:15 Si on avait fait cette course là, à une partie de la saison où la météo est capricieuse,
00:43:22 à savoir pendant les classiques, avant ou après, on n'aurait pas du tout la même course.
00:43:27 On aurait des coureurs dans les panneaux solaires, dans les champs,
00:43:31 on aurait partout, dans les rivières ou les différents canaux qu'on a vus depuis tout à l'heure.
00:43:39 Ce serait un vrai chantier. Il n'y aurait pas beaucoup de coureurs à l'arrivée.
00:43:45 C'est cette formation Tudor.
00:43:47 C'est Kingol qui s'est compté à l'avant, et puis il y a la Tudor d'Harvide, de Klein.
00:43:51 Allez-y, Ivan, je vous en prie.
00:43:53 Non, mais cette formation Tudor, finalement, est assez discrète depuis le début de ZLM.
00:43:59 On attendrait peut-être un peu plus de sensi dans les voies, peut-être échappées sur ce genre de groupe.
00:44:07 Ils sont un peu timides pour l'instant.
00:44:10 On a compté sur Harvide de Klein pour l'instant lors des arrivées massives,
00:44:14 septième de la première étape, cinquième à Bourton de la deuxième.
00:44:20 On trouve l'ouverture pour l'instant sur le seul sprint massif de cette édition.
00:44:28 Un petit peu enfermé à l'issue de cette arrivée à Bourton,
00:44:32 qui a vu Yakoub Marechko, le petit gabarit de cette équipe Alpecin de Konink.
00:44:37 Faire coup double puisqu'il avait gagné dans cette même localité l'année passée.
00:44:42 Devant également Olaf Koei, alors que là on a eu un problème mécanique pour le Dossard 153.
00:44:49 Lars Rommann, son équipe mécanique.
00:44:57 Parce que Lars Rommann, ce qu'il a voulu faire, c'est tout simplement faire l'extérieur.
00:45:01 Dans le virage, on l'a vu prendre l'extérieur.
00:45:03 Vous parliez de ces routes qui sont étroites.
00:45:07 C'est difficile de remonter quand on a un peloton qui, pour l'instant,
00:45:10 prend la plus grande partie de la chaussée.
00:45:14 Du coup, on essaie de remonter sur les bas.
00:45:16 Et c'est ce qu'il a voulu faire, Lars Rommann.
00:45:19 Et il a tout simplement crevé.
00:45:22 Quand on remonte sur les bas côtés, c'est le risque.
00:45:26 Vous voyez, à l'image, le peloton qui prend la plus grande partie de la route.
00:45:31 Tout simplement pourquoi ?
00:45:32 Les équipes qui se positionnent à l'avant, la Jumbo sur la gauche, la Tudor sur la droite,
00:45:37 la DSM au milieu, les Astana un peu plus sur le côté,
00:45:39 eh bien ils font barrage.
00:45:41 Qu'est-ce qu'il s'appelle faire ?
00:45:42 C'est qu'une fois qu'on a sa position en tête de peloton,
00:45:45 on la garde et on empêche les autres coureurs, tous les autres,
00:45:49 de se faire barrager.
00:45:51 Et à chaque fois que la route s'élargit un petit peu,
00:45:53 les différents coureurs s'écartent et font l'extérieur du virage
00:45:58 pour empêcher toute équipe de vouloir prendre leur place.
00:46:02 Et on arrive dans cette localité de Rosendal,
00:46:06 où sera placée la ligne d'arrivée tout à l'heure.
00:46:09 On va passer justement sur cette ligne et on va se disputer le deuxième sprint
00:46:12 intermédiaire de la journée.
00:46:14 On y arrive à 8h30.
00:46:16 On va se disputer le deuxième sprint intermédiaire de la journée.
00:46:19 On y arrive dans 800-900 mètres.
00:46:22 Le peloton qui ne reviendra pas avant sur ce trio.
00:46:26 Peloton emmené toujours par la Jumbo-Visma de Lafcoy,
00:46:28 par la Bingole, également bien présente à l'avant pour Matteo Maluccelli
00:46:33 ou encore cette équipe Tudor avec ses maillots noirs pour Harvey The Cline.
00:46:36 On l'a dit, le sprinter néerlandais, vainqueur de 1 000 en Turin,
00:46:40 notamment cette saison.
00:46:48 Avec la Jumbo-Visma, on n'avait pas intérêt à rentrer avant le sprint intermédiaire,
00:46:53 puisqu'on aurait pu assister à une bataille entre Nils Eikhoff,
00:46:58 voir Edmondson faire un sprint et aller grappiller quelques points.
00:47:03 Le but, c'est de laisser passer ce sprint intermédiaire,
00:47:07 de laisser les courants de tête qui ne sont pas spécialement dangereux
00:47:11 pour le classement général, de se disputer les bonifications.
00:47:17 Ce sera l'occasion d'apercevoir pour la première fois
00:47:22 les petites subtilités de cette arrivée à Rosendahl.
00:47:26 C'est un peu le cas sur toutes les étapes du ZM Tour.
00:47:29 On fait des tours de circuit dans le final.
00:47:32 Et regardez, l'entente avec David Martin qui se retourne.
00:47:38 Tout simplement parce qu'Aaron Van Poelke ne roule.
00:47:41 Il sait que son objectif, c'est d'aller marquer des points de bonification
00:47:45 du côté de la formation.
00:47:47 On commence à resserrer les chaussures,
00:47:50 les calepiers, mais ce n'est plus le cas.
00:47:52 Les coups de port ont des pédales automatiques, bien évidemment.
00:47:55 La voici, c'était le finish de l'arrivée.
00:47:57 Belle ligne droite en tout cas.
00:47:59 Aaron Van Poelke est venu se poser en 3e position.
00:48:04 Alors, est-ce que David Martin va vouloir faire les bonifications ?
00:48:09 Oui, regardez, le coureur de la formation, Edole Okometa,
00:48:11 qui dispute le sprint à Aaron Van Poelke sur la ligne d'arrivée.
00:48:15 On va voir un premier sprint pour les bonifications,
00:48:17 un peu moins de 30 km de l'arrivée.
00:48:19 Aaron Van Poelke qui a lancé de très très loin.
00:48:21 Est-ce qu'il ne va pas se faire sauter par David Martin sur la ligne ?
00:48:25 C'est le cas.
00:48:26 3 secondes de prise par l'Espagnol.
00:48:29 12 secondes pour Aaron Van Poelke.
00:48:31 Quel intérêt pour David Martin, Johan ?
00:48:37 Il est 32e maintenant.
00:48:40 Il était à 1 minute 0.3.
00:48:43 Javier Serrano était à 57 secondes, il a pris 4 secondes.
00:48:48 Il se retrouve 31e, je ne sais pas.
00:48:51 Pourquoi pas, après tout.
00:48:56 En tout cas, Aaron Van Poelke a mal joué.
00:48:59 Il a lancé de trop loin.
00:49:00 Regardez, là on voit toutes les formations bien en ligne.
00:49:03 La formation Jumbo, la formation Alpecin,
00:49:06 et ça a désorganisé cette échappée.
00:49:09 Il s'est fait contrer, tout simplement, David Martin.
00:49:12 Puisque Jan-Willem Van Schiep, c'est lui qui est à l'avant.
00:49:16 Alors est-ce qu'il est parti à la poursuite d'Aaron Van Poelke ?
00:49:19 Est-ce qu'il est sorti seul ?
00:49:21 On va voir la moto qui rattrape le nez irlandais.
00:49:25 J'ai l'impression que Jan-Willem Van Schiep est parti pour un barreau d'honneur.
00:49:29 Lorsque le peloton franchit à l'instant la ligne d'arrivée,
00:49:32 on a repris du champ après ce sprint.
00:49:35 Forcément, on est allé un peu plus vite que le peloton.
00:49:38 Et Jan-Willem Van Schiep, désormais, est seul à l'avant sur cette 3ème étape
00:49:42 avec un écart qui tourne autour de la minute sur le peloton.
00:49:46 Il se retourne quand même, mais c'est vraiment désorganisé le groupe.
00:49:53 Ce sprint intermédiaire, chacun avait des intérêts différents.
00:49:58 C'est pas mal joué de la part de Van Schiep,
00:50:02 puisque de toute façon cette échappée avait vocation à disparaître.
00:50:07 Les deux coureurs qui ont fait le sprint, Van Koepen et Martin.
00:50:12 David Martin, Martin, Martin, Martin, Martin, Martin, Martin.
00:50:17 Et on voit que ce groupe ne s'entendait plus.
00:50:24 On a passé cette ligne d'arrivée.
00:50:28 Et Van Schiep qui en a profité pour se faire un amal, tout simplement.
00:50:32 C'était bien joué.
00:50:35 C'est bien joué.
00:50:38 À 30 kilomètres de l'arrivée, c'est peut-être un peu ambitieux.
00:50:42 Mais en tout cas, le peloton, une fois qu'il va savoir qu'il n'y a plus qu'un homme en tête,
00:50:47 va se relever pour ne pas vouloir rentrer trop tôt une nouvelle fois.
00:50:52 Et c'est peut-être l'occasion pour lui de voir cet écart s'accroître davantage sur le peloton.
00:50:58 Une fois que l'avant-garde et les deux coureurs
00:51:02 sont groupés, les deux autres rescapés d'échapper.
00:51:08 Moins de 30 kilomètres dans cette troisième étape,
00:51:24 quatrième journée du ZLM Tour, puisqu'on a eu un prologue inaugural.
00:51:28 Jan-Willem van Schiep est désormais seul en tête de cette troisième étape.
00:51:32 Il a faussé compagnie à ses deux autres compagnons d'échapper, David Martin et Aaron van Poek,
00:51:37 qui se sont fait la peau sur le deuxième sprint intermédiaire de la journée.
00:51:41 Et juste après ce sprint sur la ligne à Rosendal,
00:51:45 Jan-Willem van Schiep a profité de ce moment de temporisation du côté des deux hommes.
00:51:49 Il a fallu récupérer après un gros effort, un gros sprint de 300 mètres.
00:51:53 Et voici que Jan-Willem van Schiep est lancé contre la montre,
00:51:58 en espérant résister le plus possible.
00:52:01 Mais derrière, regardez, cette Jumbo-Visma de la FCOI,
00:52:04 accompagnée de la Tudor et de l'équipe Astana de Mark Cavendish,
00:52:08 contrôlent ce peloton et contrôlent l'écart.
00:52:12 Oui, et c'est fini pour Aaron van Poek,
00:52:18 qui se fait reprendre par le peloton.
00:52:22 Ça va être le cas pour David Martin.
00:52:26 Il n'y aura plus qu'un seul homme en tête, très certainement.
00:52:30 On voit un point contre la monte.
00:52:32 Alors vous disiez contre la monte, effectivement.
00:52:34 Il reste 28 kilomètres et en tout cas, il a toutes les aptitudes
00:52:38 pour être un excellent rouleur.
00:52:40 Il est très grand. Vous voyez qu'il a des très grands bras de levier.
00:52:43 Il est quand même bien posé sur sa machine.
00:52:45 Il a même un casque aéro.
00:52:47 Il a choisi une combinaison, ce qu'on appelle un sprint pack.
00:52:51 Un sprint pack, qu'est-ce que c'est ?
00:52:52 C'est tout simplement, ce n'est pas un cuissard avec des bretelles plus haussées,
00:52:56 c'est comme une combinaison de contre la monte,
00:52:59 sauf qu'il y a un peu près jusqu'au nombril.
00:53:04 Et là, il est parti pour faire un exercice en solitaire.
00:53:07 Il ne faut pas se soucier de ce qu'il y a derrière.
00:53:09 Il faut appuyer sur les pédales et c'est ce qu'il est en train de faire.
00:53:20 En tout cas, ce n'est que la formation de Moubis Mink qui, pour l'instant,
00:53:23 vient se positionner à pied.
00:53:25 On voit ce qu'il s'est passé.
00:53:26 On est dans le peloton avec la chute d'un coureur à l'arrière
00:53:31 avec le terre-plein central.
00:53:33 Il a l'impression de se tenir la clavicule.
00:53:37 Une grosse chute. En tout cas, on n'a pas aperçu le dossard
00:53:41 pour avoir l'identité de ce coureur à terre.
00:53:44 Il avait l'air de souffrir.
00:53:47 Il y a sûrement un coureur de la formation Alink Continental Cycling Team.
00:53:52 On va peut-être voir sur ces images.
00:53:56 Il n'était pas attentif, il me semble.
00:53:59 Ah non, c'est beaucoup plus loin à gauche là-bas.
00:54:02 Regardez, sur la gauche, il y a un trottoir.
00:54:05 Sur la droite, il y a un trottoir.
00:54:06 Il faut passer soit à droite, soit à gauche.
00:54:08 Ce qui se passe dans la plupart du terrain,
00:54:10 c'est que sauf qu'il y a tellement d'îlots directionnels
00:54:13 et tellement de mobiliers urbains,
00:54:15 je vous disais tout à l'heure que les coureurs font des petits signes
00:54:20 pour dire attention à droite, à gauche,
00:54:22 mais à la vitesse où ça roule et dans ces moments d'intensité de course,
00:54:27 on ne fait pas forcément attention.
00:54:29 On va peut-être rencontrer les différentes difficultés
00:54:32 et on va voir, on va assister à un final nerveux
00:54:36 et les chutes forcément vont être encore nombreuses.
00:54:41 C'est le jeune coureur de la formation à l'Inc, Mike Brunswick,
00:54:47 qui est tombé à l'arrière de ce peloton,
00:54:51 alors que David Martin, à son tour, est en train de se faire reprendre
00:54:55 par ce groupe mené toujours par Liam Bovisma,
00:54:59 du leader du classement général Olaf Koei.
00:55:03 Vous retrouvez Jan-Willem Van Schiepp,
00:55:06 et si vous êtes un habitué du cyclisme,
00:55:08 et surtout du cyclisme sur piste,
00:55:10 Jan-Willem Van Schiepp, vous le connaissez bien,
00:55:12 champion du monde de la course au point,
00:55:14 champion d'Europe de l'Américaine également.
00:55:17 Cette dernière victoire à Jan-Willem Van Schiepp,
00:55:25 on lui dit que c'était il y a quasiment 4 ans,
00:55:28 il y a 3 ans et 363 jours.
00:55:30 Alors peut-être qu'il est grand,
00:55:33 donc à quelques jours près,
00:55:35 il pourrait réclamer sa dernière victoire sur route,
00:55:40 c'était la dernière étape du Tour de Belgique.
00:55:43 Il s'est relevé du côté de Mike Brunswick,
00:56:02 on est en train de rentrer dans les voitures,
00:56:06 alors que Van Schiepp a pris un petit peu de champ,
00:56:09 mine de rien, il a repris 20 secondes,
00:56:11 là en l'espace de 5-6 kilomètres,
00:56:13 depuis qu'il est seul à l'avant.
00:56:15 Et là c'est parti, on est en train de se mettre
00:56:17 en ordre de marche du côté des équipes,
00:56:19 des sprinters.
00:56:21 C'est très impressionnant cette position-là,
00:56:26 on en a beaucoup parlé,
00:56:28 mais elle est, je pense, du point de vue du RCI,
00:56:33 il a bien les mains sur les cocottes,
00:56:35 mais c'est assez tangent,
00:56:38 on a mis en tête de peloton,
00:56:41 c'est toujours la formation de Jumbo-Visma qui roule,
00:56:44 mais malgré les efforts de Tom Laurent,
00:56:48 Jan-Willem Van Schiepp, ça va être compliqué.
00:56:52 [Vrombissement du moteur]
00:56:55 - Je vous parlais tout à l'heure que le maillot vert,
00:57:14 en tout cas au classement du maillot vert,
00:57:17 c'est un half-coil,
00:57:19 et étant donné qu'il a le maillot jaune,
00:57:21 c'est lui le porteur du maillot jaune,
00:57:23 le porteur du maillot vert, c'est tout simplement son dauphin,
00:57:25 Nils Seckhoff, de la formation DSM, on l'a vu,
00:57:28 de la formation DSM avec ses maillots noirs,
00:57:30 et on va pouvoir repérer le matériau de Nils Seckhoff
00:57:32 avec le maillot vert,
00:57:34 porteur du maillot vert et le porteur du maillot blanc,
00:57:36 c'est Martin Rasenberg,
00:57:39 le coureur de Jumbo-Visma,
00:57:42 qui porte par procuration le maillot blanc,
00:57:45 puisqu'il est lui un des deux half-coils
00:57:48 qui porte, lui, le maillot jaune.
00:57:51 (bruit du moteur)
00:57:55 (bruit du moteur)
00:57:58 (bruit du moteur)
00:58:01 (bruit du moteur)
00:58:04 (bruit du moteur)
00:58:07 (bruit du moteur)
00:58:10 (bruit du moteur)
00:58:13 (bruit du moteur)
00:58:17 (bruit du moteur)
00:58:21 (bruit du moteur)
00:58:25 (bruit du moteur)
00:58:29 (bruit du moteur)
00:58:33 (bruit du moteur)
00:58:38 Ce ne sont pas des routes qui sont forcément propices à un homme seul.
00:58:42 Ce sont des routes assez rectilignes,
00:58:47 parfois à l'abri du vent,
00:58:49 mais derrière le peloton qui, tout simplement, met la pression.
00:58:54 Chaque équipe essaie de venir se replacer en tête
00:58:58 à l'approche des derniers kilomètres,
00:59:01 de prendre son train, d'éviter les chutes.
00:59:04 On a vu qu'avec le mobilier urbain
00:59:07 et les différents virages, on pouvait avoir des relances et des caissures,
00:59:10 ce qui a été le cas sur la première étape,
00:59:12 quand la formation de Jumbo a accéléré dans le final
00:59:15 pour tenter de revenir sur les hommes de tête.
00:59:18 On va certainement assister à ce même scénario dans les prochains kilomètres.
00:59:23 (bruit du moteur)
00:59:27 - Justement, l'équipe DSM qui se replace en tête de paquet
00:59:34 autour de Nils Sekhoff et de Sam Welsford, notamment.
00:59:38 On rappelle également la présence, tout à l'heure,
00:59:41 dans les bordures d'Alexey Edmondson.
00:59:43 C'était la carte de cette formation DSM qui avait pris le bon groupe.
00:59:48 Ça s'est regroupé ensuite.
00:59:50 Plus de peur que de mal pour ceux qui n'étaient pas devant,
00:59:54 comme Nils Sekhoff ou encore Sam Welsford.
00:59:57 Alexey Edmondson toujours bien placé au classement général
01:00:01 grâce à son prologue inaugural
01:00:03 où il avait pris la deuxième place derrière son coéquipier Nils Sekhoff.
01:00:07 On rappelle les victoires de Jentel Vandevelde sur la première étape en ligne.
01:00:16 Le Jakub Maryshko sur la deuxième étape, la troisième journée.
01:00:22 À l'issue d'un sprint un peu plus tortueux
01:00:26 que celui qu'on aura normalement sur cette troisième étape
01:00:29 puisqu'on est déjà passé sur la ligne de Rosendahl.
01:00:32 On a une belle ligne droite d'arrivée.
01:00:34 Johan, on devrait se faire un tout petit peu moins la guerre au niveau du placement.
01:00:38 En tout cas, c'est plus propice à des remontées de derrière.
01:00:42 Oui, mais il va falloir faire attention, surtout dans les 7-8 derniers kilomètres.
01:00:46 On voit que les virages, là, regardez si vous faites l'intérieur.
01:00:50 Dans ce virage-là, il y a des gravillons.
01:00:53 On peut assister à des chutes.
01:00:55 Il va forcément y avoir de la nervosité, même s'il y a eu de l'intensité.
01:00:59 Sur la course, il y a généralement de l'intensité.
01:01:02 Sur la course, il y a moins d'intensité dans le final
01:01:06 puisque les coureurs sont émoussés et chacun a sa place.
01:01:10 Quand la course est si bordure, qu'il n'y a pas eu trop de difficultés,
01:01:16 il y a beaucoup de coureurs qui veulent se mêler au sprint
01:01:19 et ça rend des stress douleux, voire très très dangereux.
01:01:23 [Bruit de la mer]
01:01:32 [Bruit de la mer]
01:01:54 [Bruit de la mer]
01:02:15 Un peu plus de 20 kilomètres toujours dans cette troisième étape.
01:02:19 Le peloton a accéléré sous la houlette des Jumbo-Bismarck.
01:02:24 Les cars ont été montés jusqu'à 1,20 m pour Jan-Willem van Schiepp.
01:02:28 Forcément, à l'arrière, ça se tend comme un élastique.
01:02:31 Yohann Offredo ?
01:02:33 Oui, ça fait plus que stand.
01:02:35 On a vu un des coureurs de la Team Flanders-Balbois.
01:02:38 L'image de Noah van den Branden, le Dossar 111.
01:02:42 En dernière stint, il a fait toutes les relances.
01:02:45 A chaque fois que l'avant-garde du peloton passe sans freiner,
01:02:50 on est obligé de freiner dans un premier temps,
01:02:56 de perdre de vitesse et qui dit perdre de vitesse,
01:02:58 dit forcément se relancer.
01:03:00 C'est compliqué.
01:03:02 Il faut se ré-establir dans le premier cadre.
01:03:06 On le répète, c'est très important d'être à l'avant.
01:03:10 On entend les difficultés.
01:03:16 Une difficulté, ce n'est pas forcément une bosse.
01:03:21 Une difficulté, ça peut être un rétrécissement.
01:03:24 Quand on est dans cette première partie du peloton,
01:03:27 on a la possibilité de voir.
01:03:29 Avec un hélicoptère entre l'homme de tête et le peloton,
01:03:38 un peu moins de 30 secondes désormais.
01:03:41 Le voici qui passe ce virage à gauche.
01:03:44 Il va y avoir une grosse relance dans le peloton derrière.
01:03:48 On rappelle Olaf Koei qui n'a toujours pas gagné sur ce ZLM Tour.
01:03:55 Il veut accrocher un succès d'étape.
01:03:58 On avait gagné 3 sur l'édition 2022.
01:04:05 On a battu lors de la deuxième étape à la régulière par Jakub Maryszko.
01:04:09 Superbement lancé par son coéquipier Robert Reiss.
01:04:14 C'est un peu perdu du côté de la Jumbo Visma.
01:04:18 C'est lors de cette deuxième étape et on veut forcément rectifier le tir.
01:04:22 Pour Team Van Dijk et Consor.
01:04:25 Rieslem Reiss, le grimpeur qui fait le tempo.
01:04:28 L'équipe Astana qui a remonté Mark Cavendish dans les premières positions de ce peloton.
01:04:34 On perçoit l'équipe Tudor avec les maillots noirs pour Harvey Ducklein.
01:04:38 On s'arrose un tout petit déjà.
01:04:48 Puisqu'il fait chaud, on appelle un 30 degrés.
01:04:51 C'est important de s'hydrater, de boire, mais aussi de rafraîchir un peu sa grande carcasse.
01:04:56 Et on se débarrasse des bidons.
01:04:59 Il y a des spectateurs sur le bord de la route de séparer des bidons.
01:05:04 Il reste 21 kilomètres. Il n'y a désormais plus de bidons.
01:05:08 La règle de l'UCCI, c'est que dans les 20 derniers kilomètres, on ne peut plus avoir de ravitaillement dans le peloton.
01:05:14 Cet endroit-là, c'est toujours beaucoup de nervosité.
01:05:17 Le vent vient légèrement de la gauche. Il n'est pas très fort, mais il permet de tendre le peloton.
01:05:23 Les courants de la Jumbo Visma l'ont bien compris.
01:05:25 Marc Kamenic également est bien calé en 10e position.
01:05:30 On se rappelle les déclarations de Team Van Dijk, notamment à l'issue de la première étape,
01:05:35 où le peloton des sprinters et des favoris au général avait été piégé par Jentel Van De Velde, membre de l'échappée matinale.
01:05:43 On avait regretté durant cette journée qu'il n'y ait pas assez de vent pour faire péter un petit peu le peloton.
01:05:50 Aujourd'hui, on roule à fond, mais pour l'instant, les dégâts ne se font pas à l'arrière.
01:05:56 Ce qu'on veut forcément, c'est arriver groupé, c'est favoriser une arrivée pour Olaf Koei, qui aura comme principal rival,
01:06:05 vous le voyez, le maillot de champion de Grande-Bretagne, de Marc Kamenic, un petit peu frustré,
01:06:10 puisqu'il n'a pas pu sprinter lors de la première étape en ligne.
01:06:12 Il a eu un problème mécanique sur la deuxième étape à moins de 2 km de l'arrivée.
01:06:17 Il n'a pas pris part au sprint, à ce sprint du ZLM Tour. Il n'était pas dans l'emballage final de la deuxième étape.
01:06:30 On a vu les cours de la Jumbo parler entre eux. Tout simplement, c'est un monstre tour.
01:06:36 On a vu que chaque relance, chaque virage fait le peloton, étire le peloton.
01:06:42 Il y a ce ventre mou aux alentours de la 20e, 20e, 30e place.
01:06:48 Et puis derrière, il y a la base en file indienne.
01:06:50 Donc ça fait mal, ça fait mal à tout le monde.
01:06:52 Et c'est aussi le point pour les différentes formations de rester en tête.
01:06:56 Il va falloir rester en tête maintenant, dans les 15 derniers kilomètres,
01:07:00 de ne pas perdre la roue de son poisson pilote, ses équipes.
01:07:04 Le plus frais, c'est un équilibre qui est difficile à trouver.
01:07:08 Le fait de rester en tête tout en s'économisant le maximum et en reprenant.
01:07:14 Dans tout, c'est là le rôle d'un bon équipier.
01:07:17 C'est de rester avec son leader, de le protéger, de le remonter dès que ça recule,
01:07:24 dès qu'il y a des vagues qui reviennent de l'arrière.
01:07:26 Et ça, il y a des très bons équipiers qui se réunissent.
01:07:30 Il y a Villamanship qui se relance à 16 kilomètres de l'arrivée.
01:07:35 L'écart qui est désormais plus que de 20 à 25 secondes avec la tête de peloton,
01:07:39 le ravitaillement donné par son soigneur.
01:07:42 Ça fait quelques kilomètres qu'il est désormais seul.
01:07:44 Il faisait partie d'un trio tout à l'heure avec Aaron Van Poot,
01:07:47 qui est David Martin, vous appellez le groupe de la tête de peloton.
01:07:50 Il est désormais seul.
01:07:51 Il est parti d'un trio tout à l'heure avec Aaron Van Poot,
01:07:54 qui est David Martin, vous appelez le groupe de la tête de peloton.
01:07:57 Il est désormais seul.
01:07:59 Il est désormais seul.
01:08:00 Le groupe de la tête de peloton, c'est le groupe d'Aaron Van Poot,
01:08:02 qui est David Martin, vous apercevez le peloton d'arrière en arrière plan.
01:08:05 Il a fait un numéro.
01:08:17 Il a eu le plus de 20 parties un peu trop tôt.
01:08:20 Il a faussé, il a tout simplement un tour à Pagnon d'échapper.
01:08:24 Et tout simplement, c'était peut-être un peu trop tôt.
01:08:28 On aurait su rester ensemble lors du dernier tour pour les coureurs.
01:08:33 Ça aurait été envisageable.
01:08:34 Désormais, c'est...
01:08:36 C'est compliqué quand on entend la cloche et qu'on se retourne et qu'on voit le peloton.
01:08:40 Il reste 15 kilomètres à parcourir pour Jan-Willem van Schiepp.
01:08:45 Et désormais, c'est les formations des sprinteurs qui vont se mettre en ordre de rang.
01:08:53 Vous voyez cette ligne droite très large.
01:08:55 À la différence de cette deuxième étape un peu plus escabreuse,
01:08:59 on va avoir une belle explication si Jan-Willem van Schiepp se fait reprendre comme c'est prévu.
01:09:05 Pour l'instant, malheureusement pour lui, ce n'est pas cher.
01:09:08 Alors qu'il y a eu une grosse chute sur la ligne, l'embouchure du dernier tour.
01:09:14 On a des coureurs de la formation Tudor qui sont pris au piège.
01:09:17 Il y a des dégâts.
01:09:23 Il y avait de la tension dans le peloton.
01:09:25 On voyait qu'on revenait sur l'homme de tête.
01:09:27 On essayait de se placer.
01:09:29 Je l'avais aperçu sur le côté gauche.
01:09:33 Sur la gauche, il s'est accrouté des épaules.
01:09:36 Mathias Baïs, il me semble, qui est pris dans cette...
01:09:38 C'est lui qui tombe d'ailleurs le premier alors qu'un coureur de la formation Burgo,
01:09:41 ça a pris les barrières également.
01:09:43 C'est Mathias Baïs, le frère de Davidé Baïs qu'on a vu à son avantage sur les routes du Giro
01:09:49 et Yachtz là, il y a quelques jours, qui tombe le premier.
01:09:51 Et derrière, forcément, ça fait jeu de quilles.
01:09:53 Alors on va voir s'il n'y a pas de sprinter pris au piège.
01:09:56 Bon, c'est tombé quand même dans la deuxième ou troisième partie de ce peloton.
01:10:00 Il y a des coureurs touchés.
01:10:06 Regardez ce coureur de la formation Flanders-Balouaz qui est pris en charge par le médecin.
01:10:11 Alors est-ce que ça ne va pas être à l'avantage aussi de Jan-Willem Van Schiepp ?
01:10:17 Est-ce qu'on ne va pas un petit peu tergiverser dans ce peloton ?
01:10:21 On fait donc tout de suite les comptes.
01:10:24 Alors il y a des chutes comme ça, souvent, c'est les mêmes coureurs de la même équipe qui tombent tout simplement.
01:10:28 Pourquoi ? Puisqu'on était dans une partie très en fin de saut.
01:10:31 En revanche, les coureurs de la Jumbo n'ont pas été touchés.
01:10:34 Visiblement, les coureurs de la formation des SM, non.
01:10:37 Donc on ne se pose pas de questions, on ne se soucie même pas de l'homme de tête,
01:10:42 encore moins des hommes qui se sont arrêtés.
01:10:44 L'objectif désormais, c'est de rester ensemble.
01:10:47 C'est Gilles Develda qui est...
01:10:55 Au moins qu'il s'est remis debout, déjà c'est une bonne nouvelle.
01:11:00 Est-ce qu'il va pouvoir reprendre la route ? Ça, ce n'est pas sûr.
01:11:05 Généralement, quand un coureur s'enlève comme ça, il termine.
01:11:11 Oui, il termine.
01:11:14 Le principal enseignement de cette chute, c'est qu'il n'y a pas eu de sprinter de premier plan,
01:11:19 en tout cas impliqué dans cette chute.
01:11:21 Radio Tour nous annonce 15 coureurs qui sont allés à terre.
01:11:27 Parmi ceux-là, pas de coureurs dangereux au général.
01:11:31 On va revoir encore une fois cette chute, cette tursuite.
01:11:36 Il y a un écart qui se fait.
01:11:39 On voit la roue qui vole.
01:11:41 On voit pas mal de maillots noirs de l'équipe Tudor impliqués dans cette chute.
01:11:45 Pour Harvey The Climb, ce sera peut-être important tout à l'heure.
01:11:48 C'est un de ses lanceurs, Rick Ploimers, qui repartit assez vite.
01:11:54 Et sur la gauche, c'est le courant de la formation Unibet.
01:11:59 Ça se touche avec le courant de la formation Unibet et Eolo.
01:12:03 Il y a contact et ça déséquilibre Mathias Baïs, il me semble.
01:12:09 Je crois que le courant de la formation Burgo,
01:12:12 c'est un qui a tapé les barrières, c'est le cyclo-crossman, Philippe Eorts.
01:12:17 Alors que Jan-Willem Joenschip est à portée de fusil.
01:12:22 En tout cas, il est un point de mire pour la tête de peloton.
01:12:25 On n'a pas ralenti du côté de la Jumbo-Vismar.
01:12:28 Oui, et puis c'est surtout qu'on est désormais à la fin de la course.
01:12:33 Il a déjeuné, il était échappé depuis longtemps avec ses deux autres compagnons.
01:12:40 Et regardez, son style a désormais changé.
01:12:43 On pédale avec les épaules qui se dendent.
01:12:46 Et regardez, la cadence de pédalage n'est plus du tout la même.
01:12:50 Il est tout simplement incapable de les jambes.
01:12:53 Et il a compris que derrière, il y a des gens qui sont en train de se défendre.
01:12:57 Et il a compris que derrière, il y a des gens qui sont en train de se défendre.
01:13:00 Il est incapable de les jambes.
01:13:03 Et il a compris que derrière, ça revenait très, très fort.
01:13:06 Cette chute, en revanche, elle a rajouté de la nervosité au peloton.
01:13:09 On a envie de rester dans le tout premier tiers.
01:13:16 Un gros bras qui est mis là par Jan-Willem Joenschip.
01:13:22 On veut un peu compenser cette perte de vélocité dans les jambes.
01:13:29 Mais nul doute que là, dans ce qui va rester de ce kilomètre,
01:13:34 entre le 11e et le 12e kilomètre, Jan-Willem Joenschip risque de se faire reprendre.
01:13:38 Et derrière, ça va être la guerre pour se placer au niveau des trains, des équipes de sprinters.
01:13:45 On aperçoit la IUM Bovisma sur la droite de votre écran.
01:13:49 Vous voyez l'équipe Alpecin de Quenyn qui est de la DSM également qui se met en place.
01:13:54 On aperçoit les maillots verts de la Vardiani également pour Filippo Fiorelli.
01:13:59 Quelques huit équipes continentales, c'est-à-dire de 3e division,
01:14:08 qui ont envie de s'exprimer comme y a fait Jentel Van de Velst sur la première étape.
01:14:15 Ils ont envie de ratouiller à certains bons sprinters
01:14:19 qui ont l'habitude de courir des courses de moins grande envergure.
01:14:23 Ils se mesurent au sprint et là ils sont en capacité de le faire.
01:14:27 Donc forcément, au milieu du peloton, on a l'impression que c'est facile.
01:14:32 Sauf que quand on prend du vent, ça l'est nettement moins.
01:14:35 Et ça donne beaucoup de nervosité.
01:14:38 Des jeux d'épaule, les sprinters qui ont une grande expérience n'ont pas envie de laisser leur place.
01:14:43 Certainement pas Marc Camemlich qui n'a pas pu disputer le sprint sur la deuxième étape.
01:14:50 Ça s'annonce tortueux et périlleux.
01:14:54 En tout cas, un peloton qui s'est nettement amégré parce qu'on a percevé un groupe d'arrière
01:15:05 tenter de rentrer sur la queue du peloton.
01:15:08 On est à une quarantaine, une cinquantaine de cours dans ce peloton principal
01:15:12 avec les maillots de la DSM autour de Sam Welsford.
01:15:17 Là, Jumbo Visma est bien empaqué autour de Olaf Koi
01:15:21 alors que Jan Willem Van Schiep va se faire reprendre alors qu'il va rester moins de 10 km
01:15:25 à couvrir dans cette troisième étape.
01:15:28 Et là, c'est parti.
01:15:30 Les trains qui se mettent en place de par les mètres de la route.
01:15:32 On aperçoit la Burgos pour Manuel Penalver.
01:15:36 Les bingos, le maillot fluo, en train de jouer des épaules.
01:15:40 Alors que Atilio Viviani qui était tombé sur la première étape en ligne est distancé.
01:15:44 Il ne fera pas le sprint.
01:15:46 Et là, on voit aujourd'hui le frère d'Elia Viviani
01:15:50 pour cette équipe Koratec.
01:15:53 Il était abîmé, Atilio Viviani.
01:15:57 Il a la tête de sa chute d'hier complètement brûlée.
01:16:00 Ça montre que les cyclistes ont cette capacité
01:16:03 de repartir le lendemain.
01:16:07 On va assister désormais à une prise de position certainement de l'équipe Jumbo
01:16:14 qui ne va plus pas vouloir laisser le lead.
01:16:17 Ne pas vouloir se faire remonter.
01:16:19 Et ça, c'est l'ordre du leader de dire attention à droite, à gauche.
01:16:24 La vare fermée sur la droite pour ne pas que les autres équipes remontent.
01:16:28 Et un coureur, qui ne prend pas un pet devant depuis le début.
01:16:34 Qui n'a pas quitté les 20 premières positions.
01:16:37 Il est dans la situation idéale.
01:16:39 Un peu comme hier, vous me direz.
01:16:41 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:16:44 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:16:47 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:16:50 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:16:53 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:16:56 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:16:59 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:17:02 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:17:05 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:18:02 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:18:05 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:18:08 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:18:11 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:19:38 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:19:50 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:19:53 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:19:56 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:19:59 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:02 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:05 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:08 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:11 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:14 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:17 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:20 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:23 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:26 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:20:29 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:20:44 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:21:26 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:22:17 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:24:32 C'est un peu comme hier, vous me direz.
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01:24:47 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:24:50 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:24:53 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:24:56 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:24:59 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:25:02 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:25:05 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:25:08 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:25:11 C'est un peu comme hier, vous me direz.
01:25:14 On a la DSM sur la droite de la route.
01:25:17 La Tudor sur la gauche.
01:25:20 Ça va être full gaz jusqu'à l'arrivée.
01:25:35 Bien négocier ses relances.
01:25:38 Regco, le petit gabarit italien, vainqueur de cette deuxième étape.
01:25:41 Allez c'est parti, moins de 2 km pour cette explication
01:25:44 entre les meilleurs sprinter de ce ZLM Tour.
01:25:47 Qui d'Arvid De Clijn, qui de Lafcoe, qui de Mark Cavendish
01:25:50 ou de Sam Welsford va triompher aujourd'hui ?
01:25:53 Ce sont les 4 grands favoris.
01:25:56 Jacques De Gaulle comme toujours là.
01:26:09 On va passer autour de Sam Welsford.
01:26:12 Il y a Lund Andresen qui est là.
01:26:15 Le maillot vert de Nils Eckhoff.
01:26:18 Une grosse relance pour l'équipe Alpecin de Cunin
01:26:25 qui a très bien viré.
01:26:28 Tout le monde est en file indienne derrière.
01:26:31 Où est Olaf Koei ? Le maillot jaune.
01:26:34 Il est un peu plus loin.
01:26:37 Il est en 15ème ou 20ème position.
01:26:40 C'est Keesbolle qui attend Mark Cavendish.
01:26:43 Encore mal placé.
01:26:46 Jakub Mariszko semble le mieux placé.
01:26:49 Il est en 5ème position, bien entouré de ses coéquipiers.
01:26:52 On a un gros effort plein centre pour la DSM
01:26:55 pour aborder ce dernier gros virage vers la droite.
01:26:58 Lafcoe en 20ème position.
01:27:01 C'est un peu bis repetita par rapport à la deuxième étape.
01:27:04 On l'avait vu revenir très vite, mais un peu trop tard.
01:27:07 John Delcalco qui va faire l'effort
01:27:10 à 900 mètres de l'arrivée.
01:27:13 Il ne faut pas se faire remonter trop tôt.
01:27:16 On ne voit pas le maillot de Mark Cavendish
01:27:19 pour l'entour de la 10ème position.
01:27:22 15ème place pour Mark Cavendish.
01:27:25 Olaf Koei qui est un peu plus loin également.
01:27:28 Il est toujours en train de l'équipe Alpecin de Cunin
01:27:31 qui travaille très très gros travail.
01:27:34 Cette équipe Alpecin de Cunin
01:27:37 pour mettre en place Jakub Mariszko.
01:27:40 C'est parti pour Robert Reiss.
01:27:43 Alors qu'Arvide De Klein est également dans la roue de l'Italien.
01:27:46 C'est parti pour Jakub Mariszko
01:27:49 qui va lancer plein centre, la gauche de la route.
01:27:52 Arvide De Klein qui semble dépasser désormais Jakub Mariszko.
01:27:55 Ça va être un duel entre Mariszko et Arvide De Klein.
01:27:58 C'est normalement et assez largement victoire de la Tudor
01:28:01 aujourd'hui à Rosendal.
01:28:04 Oui, on parlait de cette équipe qui était un peu
01:28:07 en demi-teinte depuis le début de ce ZLM Tour.
01:28:10 Finalement, ils attendaient une belle victoire d'étape
01:28:13 et c'est sur la 3ème étape qu'elle arrive.
01:28:16 Finalement, il a pu bénéficier du train
01:28:19 de la formation Alpecin.
01:28:22 Ensuite, des roues de John Duggan
01:28:25 comme de la formation DSM.
01:28:28 On va revoir certainement ce sprint,
01:28:31 mais il a su remonter au bon moment.
01:28:34 Le sprint lancé par l'équipe Alpecin de Queninck
01:28:43 par Robert Reiss. Jakub Mariszko
01:28:46 qui fait peut-être son effort 100 mètres trop tôt.
01:28:49 Mais il était obligé parce que Reiss était en fin de course.
01:28:52 Vous allez le voir sur la gauche Arvid De Cleyn
01:28:55 qui va venir coiffer. Jakub Mariszko.
01:28:58 Derrière, on a sans doute peut-être
01:29:01 Matteo Maluccelli pour la bingo.
01:29:04 On avait Fiorelli également pour la Bardiani.
01:29:07 Milan Frétin peut-être pour la Flanders Balouaz.
01:29:10 On va voir l'officialisation des résultats
01:29:13 et surtout pas de lafcoy dans cet emballage final.
01:29:19 On l'a vu au plein centre de ce petit peloton qui arrive.
01:29:22 En tout cas net et sans bavure.
01:29:25 Il y a une troisième place.
01:29:28 Ça va être serré.
01:29:31 Ça va être serré entre Moschetti.
01:29:38 Même si Olaf Coyne n'était pas dans cet emballage final,
01:29:41 il va conserver son maillot jaune
01:29:44 puisque aucun des membres du groupe
01:29:47 n'est allé chercher des bonifications ici à l'arrivée.
01:29:50 De Cleyn qui va prendre 10 secondes
01:29:53 mais il était loin au classement.
01:29:56 Il était 24e.
01:29:59 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:02 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:05 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:08 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:11 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:14 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:17 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:20 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.
01:30:23 Il va faire un petit peu plus de 10 secondes.