• l’année dernière
Le chirurgien, Laurent Alexandre, dans Punchline, au sujet de l'impact de l'intelligence artificielle dans les années à venir : «Il y a une partie de ce que propose l'Union européenne qui n'est pas applicable. Il n'y a pas un seul journaliste qui ne va pas se servir de ChatGPT [...] C'est une nécessité qu'on se serve de l'IA, et pour un médecin en 2030, ne pas se servir de ChatGPT, ce serait une faute professionnelle». 

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Transcription
00:00 partie de ce que propose l'Union
00:01 européenne, qui n'est pas
00:02 applicable, notamment parce qu'il
00:03 n'y a pas de logiciel capable de
00:05 repérer un texte créé par
00:06 ChatGPT dès lors qu'on le réécrit
00:08 un petit peu.
00:09 Et puis, comme tout le monde va
00:10 sortir de se servir de ChatGPT
00:12 pour écrire des textes, il n'y a
00:13 pas un seul journaliste qui ne va
00:14 pas se servir de ChatGPT pour
00:15 écrire.
00:16 Non, non, non, non, non.
00:19 Et puis, ce serait une perte de
00:19 temps. On voit bien qu'aujourd'hui,
00:21 92 % des informaticiens
00:23 se servent de ChatGPT pour leur
00:26 boulot.
00:26 Ça va être pareil pour les
00:27 journalistes, ça va être pareil
00:28 pour les médecins, pareil pour les
00:29 avocats. Il serait d'ailleurs
00:31 criminel pour nos patients.
00:32 Il serait criminel pour les
00:34 clients des avocats de ne pas
00:35 servir de ChatGPT et de faire
00:37 nous seuls avec notre petit
00:39 cerveau sans l'intelligence
00:40 artificielle.
00:41 Donc, c'est une nécessité qu'on
00:42 se serve de l'IA.
00:43 Et je le répète, pour un médecin
00:45 en 2025, en 2030,
00:48 de ne pas se servir de ChatGPT,
00:49 ce serait une faute professionnelle
00:51 et ce serait diminuer les chances
00:53 de nos patients.
00:54 Non.
00:54 [Musique]
00:57 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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