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Charlotte d'Ornellas, après le licenciement de Geoffroy Lejeune de Valeurs actuelles : «Je ne pourrai pas rester dans ce journal, c'est impossible».

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Transcription
00:00 il faut bien refaire l'histoire. C'est-à-dire, il y a huit mois,
00:02 vous vous souvenez tous qu'il y avait eu des rumeurs de licenciement déjà
00:06 pour des raisons de ligne éditoriale.
00:08 C'était ça qui était paru dans la presse, sans aucun démenti
00:11 de la part de la direction de ce journal,
00:12 la direction au-dessus de Geoffroy Lejeune.
00:14 Et il y avait un appel qui avait été lancé par la rédaction elle-même,
00:18 qui s'appelait "Je suis là pour VA", avec un soutien extrêmement massif
00:22 de la rédaction à la ligne portée par Geoffroy Lejeune,
00:24 de l'entreprise tout entière, parce qu'il y a d'autres gens, évidemment,
00:27 qui travaillent avec les journalistes à Geoffroy Lejeune en tant que patron,
00:30 et des lecteurs, non seulement des lecteurs existants,
00:33 mais on avait 10 000 lecteurs qui s'étaient abonnés
00:35 pour soutenir la ligne portée, à l'époque, par Geoffroy Lejeune,
00:38 et la rédaction tout entière.
00:40 À l'époque, ça c'était il y a huit mois.
00:44 Là, aujourd'hui, on sait que le licenciement est effectif
00:47 pour des raisons, encore une fois, étalées dans la presse,
00:50 parce qu'en interne, il y a une communication qui est un petit peu floue,
00:56 étalée dans la presse pour des raisons de différence sur la ligne éditoriale.
00:59 Vous me connaissez un peu, Pascal, vous devinez ce que je vais faire
01:02 dans les jours qui arrivent.
01:05 Je ne pourrai pas rester dans ce journal.
01:08 C'est impossible.
01:11 [Musique]
01:14 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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