03/07/2023 - Le 6/9 de France Bleu Hérault en vidéo

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Transcript
00:00 Que le diable les emporte
00:02 Et quand venait l'été
00:04 Je traverse à la mer
00:06 Un diamant, il m'inquiète
00:08 Comme le disait ma mère
00:10 Comment c'est chez toi mon frère
00:14 Assez libre mon frère
00:18 Je t'aime même si j'en ai pas l'air
00:22 Mais c'est mieux quand t'es là
00:26 Beaucoup mieux quand t'es là mon frère
00:28 Comment c'est chez toi mon frère
00:30 Pas si différent mon frère
00:36 Je t'aime même si j'en ai pas l'air
00:40 Mais c'est mieux quand t'es là
00:44 Beaucoup mieux quand t'es là mon frère
00:46 Les boulevards effrayants
00:48 Les pavés d'acclichis
00:50 Le petit Meluizier
00:52 Compagnie de ses amis
00:54 Et si c'était là-bas
00:56 Que je crierais mes démons
00:58 Qu'on se retrouvera
01:00 Tous les deux à faire les cons
01:02 C'était la dernière chance
01:04 Un dernier rendez-vous
01:06 Les rêves c'est fatigant
01:08 Mais moi je tenais le coup
01:10 Et si c'était là-bas
01:12 Qu'on entendait mes peines
01:14 Et si c'était comme ça
01:16 Que la vie est plus belle
01:18 Comment c'est chez toi mon frère
01:24 Pas si différent mon frère
01:26 Je t'aime même si j'en ai pas l'air
01:30 Mais c'est mieux quand t'es là
01:34 Beaucoup mieux quand t'es là mon frère
01:36 Comment c'est chez toi mon frère
01:38 Pas si différent mon frère
01:42 Je t'aime même si j'en ai pas l'air
01:46 Mais c'est mieux quand t'es là
01:50 Beaucoup mieux quand t'es là mon frère
01:52 Tout nous séparés
01:54 Ils diront que c'est pas vrai
01:56 Mais je t'aime quand même
01:58 Tout nous séparés
02:02 Ils diront que c'est pas vrai
02:04 Mais je t'aime
02:06 Comment c'est chez toi mon frère
02:10 Pas si différent mon frère
02:14 Je t'aime même si j'en ai pas l'air
02:20 Mais c'est mieux quand t'es là
02:22 Beaucoup mieux quand t'es là mon frère
02:26 Comment c'est chez toi mon frère
02:30 Pas si différent mon frère
02:34 Je t'aime même si j'en ai pas l'air
02:38 Mais c'est mieux quand t'es là
02:42 Beaucoup mieux quand t'es là mon frère
02:44 Extrait du dernier album de Slimane
02:46 Qui s'appelle "Les chroniques d'un cupidon"
02:48 Slimane qui sera en concert
02:50 Au zénith de Montpellier le 15 décembre
02:52 On vient de l'écouter en duo avec Claudio Capeo
02:54 Le titre mon frère
02:56 7h51, la météo des plages pour aujourd'hui
03:00 Ça se passe plutôt bien
03:02 Avec du beau temps pour aujourd'hui
03:04 Du côté de Palavas par exemple
03:06 Avec ce matin une température
03:08 De l'eau à 21°
03:10 24°
03:12 C'est la température dans l'air
03:14 Ressenti 29°
03:16 L'indice UV de 10
03:18 Cette après-midi, température de l'eau toujours de 21°
03:20 Le même indice UV, 10
03:22 15 km/h pour le vent
03:24 Température sur la plage 30°
03:26 Ressenti 37°
03:28 Bonjour Jean-François
03:34 Bonjour
03:36 Vous êtes à Lignon sur Orbe
03:38 Première question, est-ce que vous allez bien Jean-François ce matin ?
03:40 Très bien
03:42 En pleine forme ?
03:44 Avec un bon soleil pour ce lundi
03:46 Quel est le programme de la journée Jean-François ?
03:48 Boulot
03:50 C'est le passage obligé
03:52 J'ai envie de vous dire que je suis un peu dans le même bateau que vous
03:54 Thierry aussi qui réalise cette émission
03:56 Molly, Hélène, qui est au standard
03:58 Vous faites quoi dans la vie Jean-François ?
04:00 Je travaille dans la fabrication
04:02 et la pose de boutières en aluminium
04:04 Vous allez sur les maisons
04:06 et vous posez ça ?
04:08 Exactement ça
04:10 Vous n'êtes jamais tombé, rassurez-moi Jean-François
04:12 Non, ça peut arriver
04:14 mais on fait attention pour ne pas que ça arrive
04:16 Mais vous êtes prudent, tout va bien Jean-François
04:18 Je vous ai fait écouter tout à l'heure une voix
04:20 celle de la personnalité qui passe son été
04:22 dans la chambre numéro 19
04:24 du Grand Hôtel, je vous propose de réécouter cette voix
04:26 si vous avez la bonne réponse, vous le reconnaissez
04:28 vous repartez avec vos invités
04:30 pour les Folligrus qui sont de retour
04:32 à Béziers dès samedi, on réécoute la voix
04:34 Room service
04:36 Voilà les Etats-Unis c'est un grand pays
04:38 j'ai toujours aimé venir ici
04:40 donc d'avoir cette reconnaissance
04:42 ici dans cette belle ville
04:44 de New York c'est quelque chose de spécial
04:46 Moi je trouvais que c'était assez facile à reconnaître
04:48 Jean-François, est-ce que vous êtes d'accord avec moi ?
04:50 Absolument
04:52 Un timbre de voix assez particulier
04:54 c'est Monsieur Kylian Mbappé
04:56 Ah vous avez dit Monsieur, vous carrément
04:58 Ah bah quand même
05:00 Sacré respect quoi
05:02 On a une grande personnalité footballistique
05:04 depuis quelque temps
05:06 il faut savoir le reconnaître
05:08 Et qui reste au PSG, c'est plutôt une bonne nouvelle
05:10 en tout cas dans le championnat français
05:12 si vous n'aimez pas le PSG, ne m'en voulez pas
05:14 il reste en tout cas dans le championnat français
05:16 c'est l'essentiel. Jean-François, voilà pour vous
05:18 le Pâques Familles, ça veut dire 4 personnes
05:20 vous allez pouvoir profiter des Folligrus
05:22 c'est un spectacle équestre, aérien
05:24 acrobatique, comique, c'est vraiment
05:26 une belle soirée, 3ème été consécutif
05:28 pour les Folligrus, voilà pour vous
05:30 la soirée de dimanche Jean-François
05:32 - Merci beaucoup
05:34 - Je vous souhaite un bel été, bon courage au boulot
05:36 - Merci, à vous aussi, bon courage
05:38 - Et à très bientôt
05:40 Au revoir, dans un instant
05:42 nous allons vous faire découvrir un restaurant japonais
05:44 gastronomique à Béziers, ça s'appelle
05:46 Osakaya, le carnet d'adresse
05:48 c'est juste après Nars Barclay avec Crazy
05:50 sur France, Bleu Héro
05:52 *musique*
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08:43 Très bel été sur France Bleu Héro avec à l'instant Nars Barclay, c'est-y crazy !
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08:49 Nous étions à Béziers il y a un instant pour les Folies Gruses qui proposent tout l'été son spectacle de cirque sous les étoiles.
08:54 Je vous propose de rester à Béziers pour découvrir cette fois un restaurant japonais et gastronomique grâce à Agnès Mullor.
08:59 Et durant tout l'été on va continuer à vous donner de bonnes adresses et quand je dis "on" c'est bien sûr nos blogueurs et journalistes gastronomiques.
09:05 Aujourd'hui Fabien Soldevilla du blog Bobstronomie. Bonjour Fabien.
09:09 Bonjour Agnès.
09:10 Alors on découvre quoi aujourd'hui avec vous ?
09:12 Alors on va à Béziers, non loin de la place Jean Jaurès et on va au restaurant Osakaya.
09:17 C'est un restaurant japonais dont on m'a parlé déjà plusieurs fois et où je voulais absolument aller.
09:22 Donc c'est un restaurant japonais mais gastronomique.
09:24 Attention parce que oui c'est important de dire japonais parce que c'est pas du tout la cuisine qu'on connaît dans d'autres restaurants asiatiques,
09:30 voilà vietnamien, chinois, ça n'a rien à voir.
09:32 Exactement, c'est exactement ça.
09:33 Et la gastronomie japonaise c'est quelque chose.
09:35 Tout à fait et là c'est vraiment du gastronomique, c'est-à-dire assez haut de gamme on va dire.
09:39 D'accord.
09:40 Le chef il s'appelle Zhang Ping, donc il a notamment été classé deuxième au championnat de France de Sushi en 2019.
09:46 Il a été également dans le top 20 mondial à la World Sushi Cup en 2019.
09:50 D'accord.
09:51 Donc il a été formé par des maîtres sushi et il allie la cuisine japonaise traditionnelle avec également de la cuisine un petit peu fusion,
09:58 avec pas mal de recettes assez originales que ce soit sur les sushi, les tatakis, les rolls et également des plats.
10:06 Du mardi au vendredi on a un bento du midi à 23 euros, donc assez complet avec un très plat dessert et ça change régulièrement.
10:14 Il y a quatre menus. Il y a un premier menu découverte à 34,50 euros, qui comprend trois assiettes sans dessert.
10:21 Et le même menu à 39,50 euros avec le dessert.
10:24 D'accord.
10:25 Et on a également un menu dégustation à 60 ou 68 euros en fonction de si on prend le dessert ou pas, qui va jusqu'à huit assiettes.
10:31 On découvre.
10:32 On découvre, exactement.
10:33 Donc moi dans mon menu il y avait une petite mise en bouche d'abord, une petite entrée du moment.
10:39 C'était du poulpe, un petit peu sauce ponzu, avec des petits légumes en pickles, un petit jus, quelques gels d'agrumes, etc.
10:50 Dans une très belle assiette, c'était vraiment délicieux à tomber.
10:53 Le poulpe était magique, bien tendre, bien fondant dans la bouche, superbe.
10:58 Après on a pris des assortiments de sushi, maki, sashimi, super bien dressés.
11:03 Sur chaque sushi, sur chaque maki, on avait une petite sauce différente, une petite poudre, une petite herbe,
11:09 vraiment qui apportait quelque chose d'intéressant.
11:11 Une expérience quoi.
11:12 Une petite expérience sur chaque truc.
11:14 La bonne dose de riz, le petit wasabi qui va bien.
11:17 Franchement, un des meilleurs sushi que j'ai vraiment mangé depuis très très longtemps.
11:22 Après on avait le choix entre soit une création du chef autour d'une viande ou d'un poisson,
11:26 de la lotte qui était cuisinée un petit peu comme un ramen.
11:29 J'ai également goûté le suprême de poulet caramélisé, sauce soja, un petit peu tout ça.
11:35 Le poulet était parfait, il y avait toujours la peau dessus,
11:38 qui était vraiment croustillante comme un petit goût de poulet rôti du dimanche.
11:42 En tout cas, une expérience vraiment gastronomique.
11:45 Délicieux, délicieux, vraiment.
11:46 Après les desserts maison aussi, des moussis maison avec des ganaches à l'intérieur.
11:50 Il y avait un au chocolat et un au cheesecake à la fraise.
11:53 Délicieux.
11:54 Des pâtes de coco maison aussi, certainement.
11:56 Et le cadre est là, c'est-à-dire que la salle est vraiment en mode gastronomique, c'est sobre, c'est classe.
12:00 Très bien, on retient cette adresse aux Acaïa à Béziers.
12:04 Exactement, c'est ouvert du mardi au samedi, le midi et le soir.
12:07 Merci Fabien.
12:08 Très bonne matinée sur France Bleu Héro, l'info arrive dans 30 secondes.
12:11 J'ai besoin d'une formation qui me permettrait de développer mon activité,
12:16 mais ma trésorerie est un peu serrée.
12:18 Mais attends, tu es bien comme moi, chef d'entreprise artisanale avec un statut de non salarié ?
12:22 Oui, pourquoi ?
12:23 Parce que justement, tu contribues, tu peux demander une aide financière du FAVCEA.
12:27 Va voir sur leur site favcea.com ou contacte l'organisation professionnelle représentative de ton métier qui pourra t'aider.
12:34 France Bleu, connecté à notre région.
12:40 Ici, c'est France Bleu Héro.
12:43 Très bonne journée avec France Bleu Héro, 8h01.
12:48 La France Bleu Héro, 8h01.
12:52 Avant l'info, vos conditions de circulation.
12:54 Un peu chargé sur la National 109, quand vous voulez rentrer dans Montpellier en venant de Juviniac,
12:58 comptez une bonne dizaine de minutes de bouchon entre Fabregue et Saint-Jean de Védas,
13:03 sur la route de la prison de Villeneuve-les-Maglones pour rentrer dans Saint-Jean de Védas,
13:07 également entre Saint-Brest et Vendargue sur l'ouest de l'Héros.
13:10 Un petit peu de monde sur la sortie de la 9, Béziers-Cabriales, en direction du centre-ville sur la voie express.
13:16 La météo, Pascal Victory.
13:17 Du soleil, mais du vent qui va souffler fort, surtout autour de l'étang d'Auto.
13:22 Les températures cet après-midi, une minimale de 19 degrés seulement à la Salbetà.
13:27 Ailleurs, il fera bien meilleur, 28 à Ganges et 31 à Montpellier-Saint-Éric.
13:32 La responsabilité des parents dans les violences de ces derniers jours, pointée du doigt par le gouvernement.
13:38 Avec cette phrase notamment du garde des Sceaux, Éric Dupont-Moretti, qui a dit
13:43 "il faut que les parents tiennent leurs gosses".
13:46 Il s'appuie sur le fait qu'un tiers des personnes arrêtées pour les pillages de magasins sont des mineurs.
13:50 Certains n'ont pas plus de 14-15 ans.
13:53 Nous sommes allés rencontrer des parents à la Mosson-Quartier, qui a été théâtre de violences.
13:59 Et à cette occasion, on a rencontré Abiba.
14:01 C'est une mère de famille, mais elle travaille aussi à l'aide sociale à l'enfance au conseil général de l'Héros.
14:07 Alors, écoutez ce qu'elle en dit.
14:09 Quand on arrive à l'âge de l'adolescence, il y a des gamins, moi je le vois, 14-15 ans,
14:13 mais les parents sont démunis face à ça en réalité.
14:15 C'est facile de dire "gardez vos enfants", mais quand les parents se font eux-mêmes violenter
14:19 par leurs propres enfants et quand on a besoin de services de PGG, de structures, d'éducateurs,
14:23 même la zone n'y arrive pas.
14:25 Comment est-ce que vous voulez que les parents y arrivent ?
14:27 Avec les structures et avec les équipes adaptées, formées pour ?
14:30 Et vous dites aux parents "gardez vos enfants".
14:32 Non, mais il y a de la responsabilité des parents, mais c'est une responsabilité partagée.
14:36 L'État aussi s'est désinvesti.
14:39 Les écoles, les enseignants sont des missionnaires,
14:41 donc comment voulez-vous qu'on y arrive sans les moyens de l'État ?
14:44 C'est de la responsabilité de tous.
14:46 S'il n'y a pas de réelle volonté de chacun de faire avancer le problème, on n'y arrivera pas.
14:49 Le profil des auteurs de ces violences, le dispositif et les mesures de sécurité
14:55 prises par le préfet de l'Héros, on va en parler, on va savoir si ces mesures sont prolongées.
15:01 On va en parler directement avec lui, puisque Hugues Moutou sera notre invité à partir de 8h10,
15:07 ici dans les studios de France Bleu Héros.
15:09 Le président de la Chambre de Commerce et d'Industrie de l'Héros, André Deljari,
15:13 lui parle d'un million d'euros de dégâts dans les commerces montpolyruns,
15:18 principalement au cours de la nuit de vendredi à samedi.
15:21 Et puis il y a un hymne, une enquête est ouverte pour tentative d'assassinat.
15:25 Un policier de là-bas qui a été touché par une balle,
15:27 dans la nuit de vendredi à samedi, dans le quartier Pisse 20.
15:30 Il doit la vie à son gilet par balle.
15:32 A Montpellier, Béziers, à Castelnau, mais certainement dans d'autres villes de l'Héros,
15:36 des rassemblements sont prévus devant les mairies à la mi-journée.
15:40 C'est l'Association des maires de France qui appelle ces rassemblements
15:44 en réaction à l'agression dont a été victime Vincent Jeanbrun, le maire de l'Aïlée-Rose,
15:50 son domicile pris pour cible ce week-end, alors que sa femme et ses enfants en bas âge étaient à l'intérieur.
15:57 Après l'Association des maires de France, ce sont 150 mairies ou bâtiments municipaux
16:01 qui ont été attaqués depuis mardi.
16:03 8h04 sur France, Bleu Héros, un habitué du village naturiste du Cap d'Aigue,
16:07 de porte-plainte contre le service de sécurité.
16:09 Ce chef d'entreprise, Biteroit, de 54 ans, affirme avoir été agressé le 27 mai dernier
16:15 par des agents de sécurité du village.
16:17 Double fracture du tibia, mais il affirme aussi avoir été victime de propos racistes.
16:21 Il est brésilien et homophobe.
16:23 Au-delà de la blessure physique, Marcos ne pourra plus marcher avant plusieurs mois
16:28 et devrait garder de l'ours et qu'elle, mais au-delà de cette blessure, il est tout simplement traumatisé.
16:33 Il s'est confié à Stéphane Pocher.
16:35 « J'ai honte parce que c'est le regard des autres.
16:38 J'ai vu un mec de la même couleur que moi, avec une belle bagnole.
16:42 J'avais honte de lui demander au secours parce que je me voyais à sa place.
16:46 Je voulais être à sa place dans la voiture, pas par terre comme un déchet.
16:49 Il tombe sur moi, me regardant, étonné de voir quelqu'un comme moi, nu, à l'extérieur,
16:55 parce que c'est interdit.
16:56 Mais moi, j'étais.
16:58 Donc j'ai honte jusqu'à aujourd'hui.
17:00 Je suis suivi par un psy parce que je n'arrivais pas à dormir.
17:02 Je suis révolté, j'ai la rage.
17:04 Parce que, comme j'ai dit, mon mari, il a dit c'est ça, pédé.
17:07 Au début, pédé, et ensuite, sale nègre.
17:10 Donc, pas besoin de chercher plus loin.
17:12 Et en plus, il a dit que j'ai eu des gestes menaçants.
17:15 Je n'ai eu aucun geste qui puisse justifier ma situation actuelle.
17:20 Le témoignage dans son intégralité de Marcos a retrouvé sur francebleu.fr.
17:26 Le maire d'Acde, du Cap d'Acde, Gilles Dettor, lui, soutient son service de sécurité.
17:32 Il affirme qu'il n'y a pas eu de violence et qu'en fait, il était illégalement entré dans le village naturiste.
17:38 20 personnes jugées pendant 8 jours abaisées par le tribunal correctionnel
17:43 et près de 130 victimes ont été recensées dans une affaire où il est question de drogue, d'armes et de voitures trafiquées.
17:51 Le panier France Bleu augmente, mais beaucoup moins vite.
17:53 Oui, vous savez, notre panier qui permet de mesurer l'augmentation des prix chaque mois,
17:58 avec 30 souhaits produits du quotidien que l'on regarde et dont on regarde la hausse,
18:03 hausse de 15 centimes seulement au total ce mois.
18:06 Mais nous, on a décidé de nous intéresser à un produit indispensable l'été, la crème solaire.
18:12 Et elle a pris aussi un coup de chaud, Mathilde Anscaire.
18:14 Dans le sac de plage d'Agnès, les indispensables, chapeau, serviette, lunettes et bien sûr crème solaire.
18:20 Oui, c'est cher, mais dépenser 25 euros pour ne pas avoir le cancer de la peau, c'est bien.
18:24 Ah ben, il n'y a pas question, c'est comme ça, il faut mettre la protection 50 et puis c'est tout.
18:28 C'est vraiment protecteur et ça nous permet d'avoir un beau bronzage.
18:32 Et d'ailleurs, certains n'ont que deux semaines de vacances pour bronzer, alors un gros tube à 13 euros par an,
18:37 ça ne greffe pas le budget de la famille de Cécile.
18:39 Où on habite, on ne met pas beaucoup de crème solaire.
18:42 Vous venez d'où ?
18:43 De l'Auxerre. La crème solaire, on en met nettement moins qu'au bord de la mer.
18:46 D'autres restent plus longtemps à la plage, comme Éliane qui s'abrite sous un parasol.
18:51 Elle, elle a une combine pour économiser un peu.
18:53 Pour le visage, je prends une marque, je l'achète en parapharmacie.
18:57 Pour le corps, je l'achète en graines de surface, donc elle est quand même moins élevée.
19:01 Allongée sur le sable, Lucia et Lisa se tartinent le dos régulièrement.
19:05 Elles payent leur crème au prix fort, mais ne trouvent pas ça normal.
19:09 C'est quand même pour se protéger à la base.
19:11 C'est par exemple comme l'hygiénique, vous voyez, c'est un peu ridicule de faire payer de l'argent pour ça.
19:15 Ça devrait être accessible à tout le monde.
19:17 Et pourquoi pas des distributeurs gratuits de crème solaire, comme sur certaines plages de la côte basque l'été dernier.
19:23 En tout cas, les deux copines sont pour.
19:25 En tout cas, la crème solaire, il va en falloir aujourd'hui encore.
19:27 Parce que il va faire beau avec, je pense, un indice du soleil assez fort.
19:38 Indice suivé 10 pour aujourd'hui.
19:41 Une journée effectivement bien ensoleillée, quelques nuages.
19:43 Je sais que vous êtes sur le Haut Minervois et le relief de l'Espinouse en début de matinée.
19:46 Le vent va souffler fort sur Frantignan 7, Metz et Marseillais en fin de matinée.
19:51 Côté température, les dernières sur la page Facebook de France Bleu Héro.
19:54 Pour Julien, à Saissonon-sur-Orbe, 17 degrés.
19:57 Au Gros d'Agde et chez Gisèle, 19.
19:59 Pour Christina Bézier et pour Yvonne Hamez, 20 degrés.
20:02 Pierrette au Cap d'Agde et Alane à Agde, même, relève 21 degrés pour cet après-midi.
20:07 La Minimale pour la Salvetà, 19 degrés.
20:09 Puis vient le Calard avec 20 au 3 et Bédarieux avec 27.
20:12 Pour Gange et Saint-Chignon, 28 degrés.
20:14 Si vous êtes à Bézier, Pézonas, Clermont-les-Roues et Gignac, 30 degrés.
20:17 A Montpellier, 7 et Agde, 31 degrés.
20:19 La Maximale, c'est donc pour Lunel avec 32 degrés.
20:22 Pour la météo, c'est Météo Marine.
20:24 La Méditerranée sera belle, un peu agitée.
20:26 Température de l'eau comprise entre 20 et 22 degrés, selon la plage où vous allez vous baigner.
20:30 La qualité de l'air passe à moyenne aujourd'hui à Montpellier et Bézier,
20:33 avec un indice atmosphérique de 2 sur 6.
20:36 Dans un instant, c'est Hugues Moutou, le préfet de l'Hérault, qui est notre invité.
20:39 Nous allons revenir avec lui sur les violences et les dégradations
20:41 intervenues depuis la semaine dernière dans notre département.
20:44 Hugues Moutou, invité du 6/9 sur France Bleu Hérault,
20:47 juste après Patrick Hernandez avec Born to be Alive.
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23:35 Très belle été avec France Bleu Hérault, c'était Patrick Hernandez qui vous accompagnait
23:40 avec Born to be Alive.
23:42 France Bleu Hérault.
23:44 Et c'est donc ce matin Hugues Moutou, le préfet de l'Hérault qui est notre invité.
23:47 Nous allons revenir avec lui sur les violences et les dégradations intervenues depuis la semaine dernière
23:50 dans notre département. Elisabeth Badigné.
23:52 Bonjour Hugues Moutou.
23:53 Bonjour.
23:54 Merci d'être avec nous ce matin.
23:55 Merci de m'avoir invité.
23:56 Après ce week-end de violences, d'émeutes, de pillages, quel est votre ressenti ?
24:00 Est-ce que c'est la colère, le découragement, l'incompréhension, peut-être même l'impuissance ?
24:05 Alors je vais revenir sur les faits.
24:09 Cinq nuits d'émeutes au niveau national, plutôt trois dans l'Hérault.
24:16 Cinq nuits d'émeutes, plus de 5000 véhicules brûlés, 1000 bâtiments endommagés gravement,
24:24 des tentatives d'homicide à la fois sur des policiers, sur des élus et leurs familles.
24:28 Voilà, ça c'est le bilan national.
24:30 À grands traits.
24:32 Dans le département, deux villes ont été concernées par ces émeutes urbaines.
24:37 Montpellier, à la fois le coeur de ville, ce qu'on appelle les cuissons,
24:41 et puis le QRR, le quartier de la Mousson, Petit-Bar-Pergola, les Sévènes, la Pompignane.
24:51 Et puis Béziers, bien sûr.
24:52 Et puis Béziers, deuxième ville du département lourdement impactée.
24:56 Béziers avec la Devese et la Grangette, le quartier de la Grangette.
25:00 Voilà la localisation des émeutes.
25:03 Le bilan est très lourd, avec de nombreuses dégradations bâtimentaires, des bâtiments publics,
25:10 des commerces et boutiques privées, des locaux associatifs.
25:13 Pour les bâtiments publics, j'ai été particulièrement frappé de ce que j'ai pu voir.
25:19 Vous avez le bureau de poste de la Mousson, qui a été entièrement brûlé après avoir été pillé.
25:26 Et puis à Béziers, vous avez un centre culturel Albert Camus,
25:30 vous avez l'annexe de la mairie où on remettait les passeports et les cartes nationales d'identité à nos administrés.
25:39 Vous avez la mission locale, vous avez toute une série de locaux, bâtiments publics, locaux associatifs.
25:47 Des boutiques ont été pillées à Montpellier, une dizaine, Orange, Bouygues, Marionneau, Aldi.
25:56 La liste est très longue.
25:58 Donc le bilan est peut-être moins lourd chez nous qu'à Marseille, Lyon, dans d'autres très grandes métropoles.
26:05 Mais il est déjà beaucoup trop lourd.
26:07 Avec heureusement une réponse ferme des autorités, de l'État et bientôt de la justice,
26:15 puisque nous avons eu 48 interpellations de mineurs, souvent jeunes.
26:21 Alors pour des infractions très variables, violences contre les dépositaires de l'autorité publique,
26:27 c'est-à-dire essentiellement des policiers, des gendarmes et des sapeurs-pompiers,
26:32 des incendies volontaires, du vol et du roncel de vol.
26:37 - Et face à tout ça, quel est votre ressenti à vous, monsieur le préfet ?
26:40 - Moi je suis à la fois très en colère par rapport à ce qui s'est passé et totalement écœuré, dégoûté.
26:47 Moi je crois que tout le monde doit assumer ses responsabilités.
26:52 L'État, nous essayons de le faire en permanence.
26:56 Je rappelle que les quartiers politiques de la ville, dans le département,
27:02 font l'objet d'une attention permanente de la part des autorités publiques.
27:06 C'est ce qu'on appelle la politique de la ville et la rénovation urbaine.
27:09 À la Devese, où il y a eu autant de dégradations, nous avons engagé 60 millions d'euros.
27:15 60 millions d'euros pour la Devese.
27:17 La Mousson, le plan de rénovation urbaine, 180 millions d'euros.
27:20 - Alors vous parlez seulement de la politique de la ville ?
27:23 - Systématiquement et depuis maintenant une trentaine d'années, l'État investit.
27:27 On délocalise des fonctionnaires.
27:29 Le centre des impôts de la Mousson qui a été dégradé, avec des tentatives d'incendie,
27:34 fort heureusement qui n'ont pas pu prospérer parce que vous avez un gardien de bâtiment et sa famille qui habitent à l'étage.
27:44 Il y a un projet d'installation d'énormément de fonctionnaires des impôts de main à la Mousson.
27:51 - Ce sont les chiffres ?
27:53 - C'est simplement pour vous dire que les quartiers en France ne sont pas abandonnés.
27:56 C'est un mensonge de le dire.
27:58 - On entend quand même cette personne dans le journal 8h qui travaille en social et qui dit
28:03 "on demande aux parents, et c'est normal de s'occuper des enfants".
28:07 C'est le message qui a circulé tout le week-end parce qu'il y a beaucoup de jeunes,
28:10 beaucoup de mineurs qui étaient dans ces émeutes.
28:12 Mais nous, il y a des parents qui sont déjà démunis et on n'a pas l'aide qu'il faut pour aider.
28:17 - On ne découvre pas que l'on a des responsabilités par rapport à ses enfants lorsque ces enfants sont adolescents.
28:23 Une éducation, ça commence à la naissance.
28:25 - Oui mais vous savez bien que dans certains quartiers, ils n'ont pas...
28:28 - Non, il n'y a pas de certains quartiers, il n'y a pas d'effet culturel.
28:31 Quand on a des enfants, on met au monde des enfants, on s'en occupe dès la naissance.
28:35 Si effectivement, dans les 12-13 premières années, ces enfants sont élevés comme des herbes folles,
28:41 il ne faut pas s'étonner qu'à 12-13 ans, on les voit caillasser des véhicules de police ou piller des magasins.
28:47 - Tout le monde ne parle peut-être pas à égalité.
28:49 - Je sais qu'en 2019, le Parlement a interdit la fessée.
28:53 Mais très franchement, de vous à moi, si demain vous attrapez votre gamin qui descend dans la rue
28:59 pour brûler des véhicules de police ou caillasser des pompiers ou piller des magasins,
29:04 la méthode c'est quoi ? C'est deux claques et au lit.
29:07 C'est ce que faisaient nos grands-parents.
29:09 - Vous êtes pour le recours de la fessée ?
29:11 - Moi je vais vous dire franchement, il y a un délit pénal qui s'appelle la mise en péril de son enfant mineur.
29:17 C'est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.
29:21 Il y a dans le Code civil ce que l'on appelle l'autorité parentale.
29:25 L'autorité parentale, c'est un ensemble de droits et de devoirs qui s'exercent dans l'intérêt exclusif des enfants.
29:31 Vous savez qu'on a interpellé sur Montpellier un jeune enfant, un jeune adolescent de 14 ans
29:37 avec son beau-père en train de piller un magasin.
29:39 Est-ce que vous croyez que ça c'est de l'éducation ?
29:42 Moi je m'interroge d'une part sur l'éducation et d'autre part sur le sens moral.
29:46 Le sens moral de ses enfants et de ses parents.
29:48 - Monsieur le préfet, est-ce que vous allez suggérer au procureur de poursuivre les parents dont les mineurs ont été interpellés ?
29:54 - Alors je n'ai aucune suggestion à émettre vis-à-vis d'une autorité qui est indépendante.
29:58 - J'entends bien, mais vous pouvez suggérer.
30:00 - Il y a 48 personnes qui sont déférées.
30:02 Le boulot d'un préfet c'est de la police administrative, c'est de mettre des policiers dans la rue
30:07 et c'est d'empêcher que ne soient commis des exactions.
30:10 A partir du moment où les délits sont constatés, c'est l'action publique qui s'exerce sous l'autorité exclusive des magistrats.
30:16 Mais je sais que naturellement les condamnations doivent être fermes parce qu'il y a un exemple.
30:22 Moi je vais vous dire franchement, on peut être en colère,
30:25 mais aller caillasser des policiers, percuter des élus, essayer de brûler la maison d'un élu,
30:31 tirer au 9mm comme à Lyon sur un fonctionnaire de police,
30:34 piller des magasins comme par hasard Mike, Bouygues, Orange, voler des iPhones.
30:40 Est-ce que ça c'est l'expression d'une colère ? Non c'est du pillage, c'est un délit.
30:44 Et ça veut dire qu'il y a un défaut parental, un défaut de l'autorité parentale dans notre pays.
30:48 - Alors justement vous parlez des pillages, on a vu circuler des vidéos,
30:52 je pense notamment à celle du pillage de la boutique Orange dans l'écusson.
30:56 - La boutique Mariono également.
30:58 - Elle a eu lieu à 18 interpellations, Mariono, 18 interpellations.
31:02 - Et Orange, pas d'interpellations ? - Si, si, bien sûr.
31:04 - Mais quand on voit cette vidéo, on se dit "mais où sont les policiers ?"
31:07 - Alors vous savez ce qui se passe...
31:09 - Est-ce que vous aviez donné des consignes de ne pas intervenir pour éviter l'affrontement ?
31:12 - Non, non, la consigne est claire, c'est intervenir.
31:15 48 interpellations, ça veut dire que nous sommes présents.
31:17 Vous savez, Montpellier c'est très grand, Béziers c'est très grand,
31:20 j'avais 180 fonctionnaires de police et militaires pour assurer la sécurité,
31:25 c'est déjà beaucoup, je peux vous dire, plus,
31:27 et je rends hommage au travail à la fois des pompiers mais de la police municipale.
31:30 La police municipale à Montpellier a interpellé et mis à disposition de la police nationale
31:35 des jeunes émeutiers.
31:36 Alors voilà, je crois qu'aujourd'hui vous avez compris,
31:39 je suis dégoûté parce que je pense que chacun n'assume pas ses responsabilités
31:43 et très en colère.
31:44 - Quels sont les moyens que vous allez proposer pour venir en aide aux commerçants ?
31:48 On entendait le président de la Chambre de Commerce et d'Industrie dans le journal de 7h,
31:52 Adel Jarry, qui parle d'un million d'euros de dégâts dans les commerces privés.
31:55 Vous avez parlé aussi de bâtiments publics bien sûr dégradés,
31:58 mais pour les commerces privés, est-ce que l'État va faire un geste ?
32:01 - Alors écoutez, le ministre de l'économie et des finances s'est déjà prononcé,
32:06 je crois qu'il y aura une aide qui sera apportée naturellement aux commerçants
32:10 qui ont été impactés.
32:12 Ça fait quand même beaucoup, entre les gilets jaunes,
32:14 les manifestations pour la retraite, plus maintenant ces émeutes,
32:18 beaucoup trop de commerçants sont touchés.
32:20 Donc je pense que l'État, naturellement, sera à leur côté.
32:23 - On note un retour au calme la nuit dernière quasiment.
32:27 - Oui, il y a eu trois interpellations cette nuit.
32:30 - Voilà, trois interpellations.
32:31 - Déjà trois de trop.
32:32 - C'est trois de trop, mais on voit que ça a un retour au calme.
32:34 Comment vous expliquez ce retour au calme ?
32:36 Les jeunes sont fatigués, leurs grands frères trafiquants de drogue l'ont dit,
32:39 "Oh ça va, maintenant on n'en peut plus."
32:41 Ou est-ce que les moyens ont été vraiment dissuasifs ?
32:45 - Je pense qu'il y a un épuisement.
32:47 Vous savez, passer la nuit à galoper, c'est fatigant.
32:51 Je pense que la répression est présente aussi.
32:53 Ils savent qu'ils n'agissent plus en toute impunité,
32:56 parce qu'ils ne sont pas très courageux, il ne faut pas se leurrer.
32:59 Je crois qu'à partir du moment où il y a une réponse policière et pénale
33:02 qui est présente, qui est forte,
33:04 ces jeunes sortent moins pour commettre des exactions.
33:08 Moi, je suis vraiment abasourdi,
33:13 à la fois par les discours qui incitent parfois à la commission de ces exactions.
33:18 Je note que l'Orgue de Triomphe à Montpellier a été tagué,
33:21 sans doute par l'ultra-gauche,
33:23 avec les slogans classiques des manifestations de l'ultra-gauche.
33:26 Dégradation également d'un bâtiment historique.
33:28 Je pense que chacun doit assumer ses responsabilités,
33:31 à la fois la classe politique et puis, je vous le dis, les parents.
33:35 - Merci beaucoup Hugues Moutou, préfet de l'Hérault, d'avoir été notre invité ce matin.
33:38 - Il est 8h22 sur France Bleu Hérault.
33:42 - On rejette un coup d'oeil à vos conditions de circulation chargées.
33:44 Ce matin, même si c'est le mois de juillet,
33:46 notamment entre Montpellier Sud et Montpellier Est,
33:48 dans le sens de la remontée sur la 709,
33:50 également sur la fin de la nationale 109,
33:52 quand on venait de Saint-Georges-aux-Dorcs pour entrer dans Montpellier côté Nord.
33:55 On comptait 10 minutes de bouchons,
33:57 également entre Fabregne et Saint-Jean-de-Vedas,
33:59 sur la route de la prison de Villeneuve-les-Maglones,
34:01 en direction de Saint-Jean-de-Vedas,
34:03 et aussi entre Castry et Vendargue, sur l'ouest de l'Hérault.
34:06 Ça va plutôt bien, un léger ralentissement sur la sortie de la 9.
34:09 Bézier Cabriel, en direction du centre-ville, sur la voie express.
34:11 Côté circulation des trains, pas de retard,
34:13 notable en tout cas sur les gares de Montpellier et de Bézier.
34:17 Cet été, Francis Cabriel est à l'honneur sur France Bleu,
34:21 chaque jour à travers une chanson de son répertoire.
34:23 Laurent Petit-Guillaume vous fait découvrir la vie de ce chanteur incontournable de la chanson française.
34:28 Et pour ce premier rendez-vous, on s'intéresse au titre "Petite Marie",
34:31 sorti en 1977.
34:33 1977, c'est l'année où tout démarre pour Cabriel, vous confirmez Laurent ?
34:37 Absolument ! L'aventure débute pour Francis Cabriel, cette année-là.
34:41 Les Français découvrent Francis, un jeune chanteur avec l'accent du sud-ouest et l'allure d'un mousquetaire.
34:47 Dans sa première chanson, "Petite Marie",
34:49 il rend hommage à celle qu'il a épousée trois ans plus tôt, Mariette d'Argeaux.

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