Jordan Bardella : «Le sentiment que donne le gouvernement, c'est qu'il y a une prime à l'émeute.»
Jordan Bardella : «Le sentiment que donne le gouvernement, c'est qu'il y a une prime à l'émeute. [...] Il faut appliquer le principe du casseur payeur. Et si tu ne peux pas payer, ce sont tes parents qui paieront.»
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00:00 Le sentiment que donne le gouvernement, c'est qu'il y a une prime à l'émeute.
00:03 Il y a des émeutes, des gens qui cassent, et donc le contribuable français va devoir déverser
00:08 des dizaines de millions d'euros, si ce n'est plus, pour éponger les dégâts.
00:12 Moi, je n'accepte pas l'idée que les Français qui se lèvent tôt,
00:16 les Français qui travaillent dur, et plus généralement la classe moyenne
00:18 qui supporte aujourd'hui l'intégralité de l'effort dans notre société,
00:23 soient contraintes de payer davantage.
00:25 Et nous, nous souhaitons que les aides sociales et les allocations familiales
00:28 aux parents de mineurs récidivistes soient supprimées, soient retirées.
00:32 Je pense que c'est un principe non seulement de bon sens, mais un principe de justice.
00:36 Les casseurs doivent payer.
00:38 Il faut appliquer le principe du casseur-payeur.
00:40 Tu casses, tu payes, et si tu ne peux pas payer, c'est tes parents qui paient.
00:44 [Musique]
00:48 Merci à tous !