• l’année dernière
La 7e étape, longue de 169,9 km, a été marquée par l’échappée du Français Simon Guglielmi, rejoint ensuite par ses compatriotes Pierre Latour et Nans Peters. Mais comme prévu, c’est au sprint que s’est jouée la victoire. Et sans surprise, Jasper Philipsen l’a emporté, comme à Bayonne puis à Nogaro.

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Transcription
00:00 Je prends un petit coup d'eau quand même parce que là, 40 degrés.
00:07 Tu n'as pas pris les mignons.
00:10 J'ai la moto.
00:12 Qu'est-ce qui vous est passé par la tête de sortir avec Pierre comme ça ?
00:17 C'est Pierre qui m'a chauffé juste avant le sprint intermédiaire.
00:20 Il m'a dit viens on relance quelques uns et tout.
00:23 Je lui ai dit bon allez si tu y vas je te suis.
00:26 Ce n'était pas trop coûteux en énergie jusqu'au petit GPM.
00:31 On avait vraiment un vent dans le dos qui poussait beaucoup.
00:34 À 3 devant, ce n'était pas plus dur que dans le peloton.
00:37 Je regardais le compteur.
00:39 Je savais que ça ne servait à rien de bourriner.
00:41 C'est toujours le peloton qui a le dernier mot.
00:43 Après, on s'est pris au jeu.
00:45 Les 40 derniers kilomètres, Pierre a accéléré dans le GPM.
00:48 Quand on est devant, on joue le jeu à fond jusqu'au bout.
00:51 On se fait plaisir quand même sur des étapes comme ça
00:54 qu'on ne s'est pas forcément réservé pour ses caractéristiques.
00:57 On savait très bien que c'était voile échec.
00:59 C'est toujours un bon moment.
01:01 On est sur le Tour de France, on est devant.
01:03 J'étais avec des copains.
01:05 Pierre, on a été coéquipés ensemble chez AG2R.
01:07 Simon, on s'entraînait ensemble la semaine.
01:09 C'était un bon moment entre nous.
01:11 On en a rigolé un petit peu.
01:13 Simon a dit une petite échappée de Ronald Pint.
01:15 C'était sympa.
01:17 Ça fait longtemps non ?
01:19 Ce qu'on n'avait pas vu dans Spitters à l'avance
01:21 sur les routes du Tour de France ?
01:23 La dernière fois, ça remonte à 2020.
01:25 Puisque 2021, je l'avais quitté un peu prématurément.
01:28 C'est toujours bon à apprendre de devant sur le Tour.
01:32 C'est plaisant avec le public.
01:34 C'est des bons moments.
01:36 L'étape de demain n'aurait pas pu être plus dans votre profil
01:39 par rapport à une étape vouée au sprint ?
01:41 Oui, mais après, l'un n'empêche pas l'autre.
01:44 Quand vous partez aujourd'hui, vous dites que vous avez une chance
01:47 ou alors vous y allez pour...
01:49 Non, j'y vais parce que c'est Pierre qui m'a dit "Viens, on y va".
01:52 Après, il restait 70 bornes.
01:55 On n'a pas non plus fait une journée de vent de face
01:58 de 200 bornes pour se poncer non plus.
02:01 Vous nous dites que vous y allez, vous y allez, vous y tentez quand même.
02:07 Mais les équipes de sprinters sont très bien organisées sur ce temps-là.
02:10 Notamment les Alpecin.
02:12 Oui, il y a 10 équipes de sprinters.
02:14 Donc si ce n'était pas Alpecin, c'était une autre.
02:16 On savait qu'une fois qu'ils s'entendent,
02:18 à deux devant, on ne fait pas le pouvoir.
02:20 Merci.
02:21 Oh oh oh oh oh !
02:23 Sous-titrage Société Radio-Canada

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