Los mejores líderes que el Tri ha tenido

  • l’année dernière
Jorge Campos, Rafa Márquez, Andrés Guardado, entre otros son algunos de los líderes que hacen falta actualmente en la #SelecciónMexicana.

#PalabraDelDeporte
Transcript
00:00 des leaders, qui c'est ce qu'il faut.
00:03 On va voir si ces nouveaux futbolistes de la sélection...
00:07 Quelqu'un aille se lever, il faut que quelqu'un aille se lever.
00:10 Voir Edson Alvarez prendre un rôle de protagoniste
00:14 et ne pas être un leader en tirant des coups et en faisant de la foule dans un match.
00:18 Ce n'est pas être un leader.
00:20 Être un leader, c'est d'une autre manière, c'est essayer de gagner le match.
00:24 Ne pas t'énerver et mettre le mauvais exemple en faisant t'expulser.
00:27 Je le dis en meilleur des termes, un joueur qui me semble très bon,
00:31 qui a ce qu'il faut pour prendre ce rôle,
00:34 un titulaire dans un équipe historique comme l'Ajax,
00:36 je pense que ces futbolistes sont ceux qui devraient lever la main.
00:39 Maintenant qu'il n'est plus gardé, par exemple,
00:41 qui était un leader naturel de la sélection,
00:43 certains de ces joueurs sont partis.
00:45 R, qui était leader dans sa bonne époque dans la sélection,
00:47 et qui n'est plus partie,
00:49 il faut, je suis d'accord avec toi, mon cher Christophe,
00:51 il manque des joueurs qui, quand le match devient compliqué,
00:54 ne s'étonnent pas, ne s'éloignent pas,
00:57 mais qui disent "non, on va avancer,
00:59 on va se battre avec Jamaica, on va empêcher le match et on va gagner".
01:02 Il faut ça.
01:03 Oui, oui, je crois que le dernier grand leader
01:05 que la sélection mexicaine de football a eu,
01:08 tu l'as mentionné, Juan Carlos,
01:09 c'était Andrés Guardado,
01:11 mais derrière Andrés Guardado, sincèrement, pas beaucoup.
01:14 Par là, peut-être, Chicharito,
01:17 qui lui accompagnait en sa carrière, Rafa Marquez.
01:21 Oui, Rafa, le leader qui s'est mis à erreur à un moment donné.
01:24 Bien sûr.
01:25 Oui, c'était un peu tempéramental.
01:27 Le coup de pied à Kobe Jones.
01:28 Pardon ?
01:29 Le coup de pied à Kobe Jones,
01:30 dans le match de la Ligue mondiale.
01:32 Il avait déjà perdu le match, mais il s'est mis à erreur.
01:35 Ces joueurs sont restés en arrière.
01:37 Et tu parlais d'Edson Alvarez.
01:40 Edson Alvarez a déjà un parcours important
01:42 dans le football professionnel.
01:43 Il a déjà essayé la Ligue MX,
01:45 il s'est consolidé, ils lui ont donné son temps,
01:47 il va en bon moment au football d'Europe.
01:50 Je crois que Edson Alvarez peut être un bon leader.
01:53 Mais je crois qu'il n'a pas accompli,
01:56 ou qu'au final, il n'a pas la taille pour le faire,
01:59 mon cher monsieur Juan Carlos Beraza.
02:01 Et le pire, c'est que derrière Edson Alvarez,
02:04 il n'y a pas trop d'Ervin Lozano.
02:07 Peut-être qu'on pensait que, par sa carrière,
02:09 il pouvait avoir ce caractère, cette personnalité,
02:12 ce critère pour calmer un peu les eaux
02:15 dans des moments difficiles dans le terrain de jeu.
02:18 Je ne le vois pas, sincèrement.
02:20 On a déjà parlé, bien sûr, du cas de Guillermo Ochoa,
02:23 un grand porteur, mais qui, je crois,
02:25 n'a pas la taille pour être un grand leader
02:27 dans la sélection mexicaine du football.
02:29 Moi aussi, j'ai eu le temps de témoigner
02:31 de ces élections dont tu parlais,
02:33 dirigées en ce moment par le seigneur Menotti,
02:35 qui prend, bien sûr, le poste de M. Miguel Mejia-Barón,
02:39 avant, le seigneur Bora Milutinovic
02:41 avec le Mondial de Mexique 86,
02:45 puis les équipes destinées à l'Italie 90,
02:48 dont on connaît déjà la catastrophe.
02:51 Le Mexique reste hors du thème des cachirules.
02:54 Une autre sélection qui arrastrait
02:56 beaucoup d'éléments et d'autres nobles
02:58 qui pourraient bien être, bien sûr, des grands leaders.
03:01 Dans la sélection mexicaine du football,
03:03 il y a toujours eu un, deux, trois, quatre,
03:05 même cinq leaders.
03:07 Je me souviens aussi de la France 98.
03:10 Juan Carlos "Le Matador" Hernández
03:12 était un grand leader.
03:14 À ce moment-là,
03:16 Jorge Campos était un grand leader.
03:18 C'était Coutemoc.
03:20 C'était Coutemoc Blanco, un grand leader.
03:22 Il y avait aussi Beto Garciaspe.
03:24 Beto Garciaspe.
03:25 Pabel Pardo.
03:26 Même Ramon Ramirez, qui a toujours été
03:28 un grand meurtrier, mais qui pesait
03:30 dans le vestiaire.
03:31 Beaucoup de personnalité.
03:32 Beaucoup de personnalité, bien sûr.
03:34 Et ainsi, nous pouvons y aller.
03:36 Ces derniers processus, j'ai l'intention de dire,
03:38 ces derniers trois processus mondialistes,
03:40 comme Rafa Marquez, je crois qu'il doit y avoir
03:42 un leader particulier, principal, le numéro 1,
03:45 et derrière lui, un autre qui peut,
03:47 au mieux, résoudre certaines situations.
03:50 Et aujourd'hui, la sélection est simplement
03:52 dans l'oubli.
03:55 En ce sens, bien, non pas dans l'oubli,
03:56 elle est pratiquement faible, dans ce sens.
03:58 Alors, ça va être compliqué.
04:01 Et sincèrement, en regardant le futur,
04:03 Juan Carlos, je ne vois pas des joueurs
04:06 qui aient aussi cette capacité
04:08 de prendre les liens.
04:09 Je m'imaginerais, ou au mieux, j'aimerais,
04:11 au mieux, un homme comme César Montes,
04:14 Johann Vázquez, ces hommes hauts,
04:17 avec des personnalités, de toute façon,
04:18 mais qui oublient, à l'heure de jouer la balle,
04:21 à l'heure d'être sur le terrain,
04:23 qu'ils peuvent prendre un autre rôle,
04:24 ou simplement qu'ils se rendent compte
04:25 qu'ils n'ont pas cette capacité.
04:27 En regardant le futur, sincèrement,
04:29 dans ce sens, je ne vois pas les choses
04:31 si allagantes.
04:32 Si je peux, Juan Carlos, très vite,
04:34 comment est-ce que la sélection mexicaine
04:36 est-elle prête aujourd'hui contre le Jamaïque?
04:38 Guillermo Ochoa, inamovible,
04:40 en défense centrale, César Montes,
04:42 Johann Vázquez, et à côté,
04:45 il y aurait Jorge Sánchez et Jesús Gallardo
04:48 dans le milieu.
04:49 Si Edson Alvarez n'est pas là,
04:51 il y aurait Luis Romo, Eric Sánchez,
04:54 qui a déjà eu de l'activité, bien sûr,
04:56 dans cette Copa Oro, et Luis Chávez.
04:58 Pour l'avant-garde,
04:59 pratiquement tout se respecterait.
05:01 Il y aurait Orbelín Pineda, Uriel Antuna,
05:04 et le monsieur, comme extrême, évidemment,
05:07 et à l'avant, le monsieur Henry Martin.
05:09 Alors, c'est l'alignement
05:11 de la sélection mexicaine de football,
05:13 ce soir, contre son similaire du Jamaïque.
05:17 Jamaïque dirigée par le monsieur Halgrimson,
05:19 qui est devenu célèbre,
05:20 parce que c'est celui qui a eu, en duo,
05:24 qui a guidé l'Islande jusqu'à la quarte finale
05:27 de la Coupe d'Europe,
05:29 et qui a ensuite qualifié,
05:31 en tant que technique, en solitaire, l'Islande.
05:33 Il a été le premier technique au monde
05:35 à la Coupe du Monde en 2018,
05:37 et il a déjà une expérience.
05:39 Je vois les noms des joueurs du Jamaïque,
05:41 et je les reconnais,
05:42 de la Ligue Première,
05:43 certains qui sont aux États-Unis,
05:44 ce peut être un match compliqué.

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