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Sabrina Agresti-Roubache : «Dans les quartiers, la première figure d'autorité c'est la police. Ça doit être les parents, puis les profs, et le dernier échelon c'est la police» 

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Transcription
00:00 Absolument, mais de renouer aussi la relation entre les policiers
00:04 et les quartiers populaires et les zones.
00:07 Un lien qui s'est distendu.
00:08 Police de proximité, c'était une erreur de l'abandonner.
00:10 Je ne sais pas si c'était une erreur de l'abandonner.
00:12 Ce qui est sûr, c'est que c'est pas tellement un échelon,
00:16 mais peut-être une certaine culture qu'il va falloir réinjecter.
00:21 Une certaine culture, parce que vous savez, dans ces quartiers-là,
00:23 la première figure d'autorité qu'ils voient, c'est la police.
00:26 Donc, en fait, on reprend par les parents.
00:28 Ça doit être les parents, la première figure d'autorité.
00:30 La deuxième, c'est le prof, c'est l'instituteur.
00:32 Et le dernier échelon, c'est la police.
00:35 Mais il va falloir bien sûr retravailler.
00:36 Et puis, je vous dis, cette nomination dans ce ministère,
00:39 avec cette double appartenance à Beauvau et à la transition écologique,
00:43 est un signal fort post-émet.
00:45 [Musique]
00:48 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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